Nicolas et moi étions ensemble pendant ma dernière année de fac. Notre relation était communicative, passionnée, avec beaucoup de bon sexe, de rires et de nouvelles idées pour se rendre un peu plus heureux à chaque fois. Un paradis sur terre sauf que nous nous cachions. Nico était grand, foncé, brun, mais avec une peau blanche et douce, comme s'il se baignait constamment dans du lait avec du miel. Il avait de grands bras et de longs doigts forts, ce que j'ai remarqué dès la première fois que je l'ai vu, mais malheureusement, après avoir obtenu mon diplôme, j'ai quitté ma résidence étudiante et je suis retourné à Paris, d'où je suis originaire. Les problèmes de notre relation étaient visibles à distance dès les quatre premiers mois et... finalement, la raison de notre rupture était un tiers qui a piqué mon intérêt quelques mois plus tard.

Mais prenons-les dans l'ordre. Nic et moi avons vécu des mois de tensions constantes et d'incompréhensions, avec quelques pauses lumineuses qui nous ont rappelé la merveilleuse année précédente que nous avons vécue ensemble. Quelque part entre ces tensions, je me suis laissé vulnérable à une tentation extérieure, quelque chose de sans précédent dans notre relation. Et j’ai été frappé par la facilité de passer un bon moment avec quelqu’un qu’on connaît si peu. Comme c'était évident, Nic l'a vite découvert et quelque part là-dedans, le générique de fin nous est tombé dessus. Épuisés et distants, nous sentions une autre barrière s'élever entre nous.

Cela ne faisait pas un mois que nous avions rompu lorsque j'ai appris que mon diplôme était prêt à être récupéré par le Secrétariat de l'école et j'ai donc décidé de me rendre dans ma ville étudiante, cette fois, pas pour NIc.

Je me baladais au centre-ville lorsque Nic a commencé à m'envoyer des SMS au hasard avec des articles qu'il trouvait intéressants ce jour-là.

- Je suis près de chez toi, tu veux descendre ?... Je lui ai envoyé un texto.

- Je suis seul à la maison, tu veux venir ?... répondit-il.

Et donc je me suis retrouvé chez lui, le traitant lui et sa maison comme si je ne les avais jamais vus auparavant, alors que nous étions censés regarder les informations à la télévision. J'ai dit pour briser la gêne :

- Ta chemise est très jolie, je ne l'ai jamais vu auparavant.

J'ai commencé à le taquiner et à lui chatouiller la taille alors qu'il hésitait à réagir et avait l'air nerveux. Il ne m'a pas fallu longtemps pour remarquer que même si je le chatouillais, il était devenu très dur, ce qui était très visible avec la combinaison qu'il portait. J'ai essayé de lui caresser les cheveux et le visage, principalement parce que la sensation de sa peau et de ses cheveux me manquait. Pas de réaction. Mais il m'a laissé tranquille et cela m'a fait continuer.

J'ai passé ma main dans sa chemise et j'ai commencé à caresser sa poitrine, tandis que je frottais son entrejambe avec mon coude dans des mouvements lents mais profonds et persistants. Il a ri nerveusement, m'a attiré plus près et je me suis précipité pour l'embrasser. Réaction instantanée. Il m'a attrapé la tête avec ses deux mains et a mis sa langue dans ma bouche, comme s'il attendait ce moment depuis longtemps. Il a pris ma main et l'a mise dans son pantalon, indiquant exactement ce qu'il voulait. J'ai commencé à jouer avec lui pendant qu'il m'embrassait et me pinçait partout. Il m'a amené sur lui et je l'ai monté pendant qu'il me posait la main par derrière. Sa main est passée à travers mon pantalon et a caressé mon cul rond jusqu'à ce qu'il atteigne ma bite. Il ne s'y attendait pas. Il poussa un petit cri d'admiration Et puis je lui ai montré sa propre bite. Son boxer avait une énorme tache et mes doigts jouaient avec la tête de sa queue alors qu'ils restaient collés ensemble.

- Allons dans ton lit, ordonnai-je.

- Dis-moi ce que tu veux et je le ferai.

Je l'ai pris par la main et je l'ai amené debout devant son lit. Je me suis assis sur le lit, devant lui et avec des mouvements rituels j'ai baissé son pantalon. Ses yeux n'ont jamais quitté les miens.

Je l'ai pris dans ma bouche. Au début tout ça, pour bien le faire saliver. Nic grognait. J'ai léché ses mamelons et les ai réchauffés avec mon souffle. Il était prêt et m'excitait tellement que j'en dégoulinais encore plus. Je nous ai complètement déshabillés tous les deux et je me suis allongé, commençant à me caresser la bite. Il est devenu fou. Il est venu me lécher et m'a sucé le gland comme un fou.

Il a commencé à me lécher tout autour, pour réchauffer la zone. Il me caressait la poitrine et les cuisses avec ses mains. Je ne pouvais pas arrêter de le regarder. Il était si beau.

Il savait exactement ce que j'aimais. Mon cul avait maintenant un doigt ...

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