Le lundi, le cinéma est moins cher. Avec un copain et une copine, on décide d'aller voir un film.
On s'installe, le film commence et un quart d'heure après, ils se bécotent.
Ça va un moment puis ça devient gênant.
- vous êtes venus voir le film ou quoi?
Ils ne répondent pas et continuent.
- on se voit à la fin!
Je me lève et je vais m'asseoir quelques rangées plus haut.
2 minutes après, un mec vient s'asseoir juste à côté de moi.
Y'a pourtant plein de places de libres.
D'un coup, je sens sa main qui essaie de passer sous ma fesse.
- oh, ça va?
- tu me reconnais pas?
Je le dévisage puis je le reconnais.
L'arabe éjaculateur précoce.
- ah oui! Lucy Luke!
Il ne comprend pas.
- Speedy Gonzales!
Toujours pas.
- un petit coup en 2 minutes puis tchao!
Il s'excuse et trouve plusieurs prétextes.
Je refuse à plusieurs reprises ses avances.
- vas-y, touche mais t'auras rien de plus!
J'ai l'impression qu'il se branle. J'essaie de voir dans la pénombre, et à un moment j'ai la confirmation.
Chose faite, il me laisse voir tranquillement le reste du film.
A la fin, la salle s'éclaire et on se lève pour sortir.
Il me freine et je vois les copains se rapprocher de la sortie.
- avance, je vais perdre mes potes.
Il laisse passer un max de gens devant nous.
Il prend la direction d'une sortie et je me dépêche vers celle qu'ont prise les copains.
Embouteillage. Ce sent la transformation, je m'écarte puis le moment venu, je passe la porte et je sens qu'on me retient. Je me retourne et je reconnais le branleur.
- arête tes conneries!
Je me retourne pour avoir une confirmation: il est plus mignon que je ne pensais.
Je le dévisage à 3 reprises pour être sûr d'avoir bien vu alors qu'il colle sa main discrètement.
Arrivé devant les escaliers je laisse passer pour ne pas encore sentir les odeurs.
- les WC, c'est derrière nous.
Je jette un œil derrière, il ne reste qu'un couple et je le redévisage. Il est assez mignon en fait.
Je le fixe pour lui dire que si c'est pour qu'il se vide en 30 secondes, ça ne m'intéresse pas.
Il me chuchote
- tu commences le premier.
Je descends quelques marches, il ne me suis pas.
Je le regarde, il est quand même mignon et bien roulé.
Demi-tour et il s'en réjouit.
On entre dans une cabine et sans attendre il se déshabille et me tourne le dos en s'appuyant avec les mains sur le mur d'en face.
Il tient sa promesse.
Je tombe mon pantalon et le slip aux chevilles.
Je mouille mon gland et lui se met de la salive à plusieurs reprises la rondelle.
J'ai du mal à entrer et il souffle fort.
- t'es ...

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