Cette histoire est la suite de deux autres récits « Découvertes à la hutte » que je vous invite à lire ou à relire avant de commencer celui ci.

Les vacances d’été se terminaient et c’est à ce moment là que Jean Michel appela mes parents pour savoir s’ils souhaitaient venir manger samedi midi et surtout si ça m’intéressait de retourner à la hutte.
Mais parents ont accepté et bien sûr moi j’étais ravi d’autant plus que pendant tout l’été il ne s’était pas passé grand chose pour moi au-dessous de la ceinture.
Quand le jour est arrivé je vous avoue que j’étais très pressé de retrouver Jean-Michel étant certain qu’il allait encore me faire découvrir de nouvelles choses à la hutte.
Comme il faisait très beau et surtout très chaud je n’étais vêtu que d’un short que j’avais choisi le plus court possible et d’un T-shirt très léger. Jean-Michel me félicita pour les belles couleurs que j’avais pris pendant l’été. Cela m’allait très bien .
Avant de passer à table et pendant l’apéro Jean-Michel m’a proposé d’aller dans son atelier pour préparer son matériel de hutte. Nous étions donc à deux dans son petit atelier au fond du jardin et il n’a pas attendu longtemps avant de me ploter les fesses.
Ça fait longtemps que j’attendais ce moment mon petit lapin j’ai trop envie de passer encore un bon moment avec toi. Et toi tu en as envie ?
Ah oui bien sûr. J’en ai rêvé également et j’ai hâte qu’on se retrouve tous les deux dans ta hutte et que tu t’occupes de moi comme l’autre fois.
Ah mais nous serons pas que tous les deux tu sais, je te l’ai dit que j’inviterai un ami. Il s’agit de Maurice, c’est un vieil ami chasseur dont la femme est morte il y a cinq ans. Je lui ai beaucoup parlé de toi et il va être très content de faire ta connaissance. Ça ne te dérange pas j’espère, tu verras à trois ce sera super.
Ben pourquoi pas je ne demande qu’à apprendre tu sais.
Nous avons rejoint les autres pour manger et Jean-Michel s’était placé à côté de moi. Plusieurs fois pendant le repas il me caressait délicatement la cuisse sous la table en toute discrétion. À un moment même, sa main est passée sous mon short. Cela m’a bien excité et fait bander.
En fin d’après-midi il était enfin temps que mes parents s’en aille et pour moi de prendre la route avec Jean-Michel pour aller à la hutte.
Sur la route, Jean-Michel continue de me parler de son ami Maurice et il me confia que la nature l’avait plutôt bien doté.
Je n’ai pas compris ce que ce qu’il voulait dire par-là. Lorsque nous sommes arrivés une voiture était déjà garée dans le petit chemin. C’est là que je fis la connaissance de Maurice. Je pense qu’étant plus jeune il aurait pu être rugbyman avec une carrure très large, il devait bien faire 2 m de haut. Lorsqu’il m’a vu, il me dit que Jean-Michel n’avait pas menti à mon sujet et que j’étais très mignon. T’es sûre que c’est pas une fille, on en dirait vraiment une
C’est là qu’avec sa main il a vérifié ce qu’il y avait dans mon short.
Ah ben non. C’est bien un petit gars.
Une fois à l’intérieur, j’ai bien compris qu’on allait très vite passer à l’action. Jean-Michel nous proposa à chacun un petit verre de vin histoire de s’échauffer et aussitôt après il dit à Maurice : regarde je vais te montrer comme il a un beau cul ce petit. Retire ton short et ton T-shirt et montre nous tes fesses.
Ni une ni deux me voici nu comme un ver devant ces deux pervers qui commençaient à se caresser le sexe.
Jean-Michel me fit mettre à quatre pattes sur le petit lit et aussitôt enfoui sa bouche entre mes fesses pour me lécher l’anus.
Moi étais aux anges. pendant ce temps Maurice enleva son pantalon ainsi que son caleçon se place face à moi et me dit d’un ton autoritaire : allez avale petite salope.
Son sexe faisait presque le double de la taille de celui de Jean-Michel. Un truc vraiment impressionnant et c’est là où je me dis que je ne pourrai jamais avaler un tel morceau. Je pris donc mon courage à deux mains et avala son gland bien dur.
C’est du gros calibre ça va mon petit. Tu vas t’y faire, crois moi. Ma femme avait une plus petite bouche que toi et ça y allait sans problème. Paix à son âme.
Je faisais coulisser son gros gland en essayant à chaque mouvement d’aller toujours plus loin sur sa longue tige.
Tu vois ma cochonne. T’as une vraie bouche à pipe.
Jean-Michel dévorait mon cul comme un vrai diable. Il s’arrêta pour se déshabiller complètement tout en disant à Maurice.
Tu vois c’est comme je t’avais promis. Une vraie chienne en chaleur. Et c’est moi qui l’ai dressée. Attend de voir comme elle aime se faire défoncer le cul. Tu veux y aller en premier ? Regarde son petit œillet. Il ne demande qu’à se faire prendre par une belle bite.
Non, vas y toi. Honneur au maître. Pour l’instant je suis très bien là. Une bonne pipe pour me mettre en forme.
Ok. Comme tu voudras. Je vais la lui mettre bien profond.
Leur conversation et leur langage m’excitait vraiment. C’était comme si j’étais devenu leur jouet sexuel, leur pute. Et j’aimais ça. Je voulais vraiment satisfaire à tous leurs désirs. Une chienne en chaleur comme ils disent.
Respire bien par le nez me dit Maurice. Je vais te la mettre toute entière. Je vais t’apprendre la gorge profonde. et me tenant la tête fermement il m’enfonça son énorme engin au plus loin qu’il pouvait, sauvagement.
Sur le coup de la surprise, j’hoquetais avec u ...

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