De passage dans l’Isère, je me retrouve du côté de la Tour-du-Pin pour la première fois depuis un bon moment. Ça fait trop longtemps que je n’ai pas vu une bonne grosse bite et, ayant du temps devant moi, je me dis que ça vaudrait peut-être le coup de faire un détour par la Bâtie-Montgascon où j’ai déjà eu la chance de bien m’amuser pour ceux qui m’ont déjà lu.

Sur la route, je ne peux m’empêcher de me dire que cette fois je suis prêt : je vais me faire dévierger le cul. J’en ai envie depuis longtemps mais je n’ai encore jamais osé franchir le pas, malgré l’énorme envie que j’ai de vivre cette expérience. Après avoir dépassé Saint-Didier, j’entre donc sur la première aire (celle qui a les tables de pique-nique) mais, à mon grand étonnement, personne. Je décide alors de tenter ma chance de l’autre côté quand j’aperçois dans mon rétroviseur une voiture qui arrive sur l’aire et me suit. Mettant mon clignotant, j’indique à mon suiveur que je vais sur la seconde aire (celle donnant accès au bois) et je me gare sur le parking. À peine ai-je coupé le contact qu’il arrive, passe au ralenti à mon niveau. Je vois un homme d’une soixantaine d’années au volant, en costume, me dévisager puis se garer juste devant moi. Je suis hyper excité.

Prenant mon courage à deux mains, je m’approche de son véhicule. Il ouvre sa porte et me dévisage de nouveau. Un peu plus petit que moi, les cheveux blancs et le teint mat, il me salue et me dit qu’il m’a vu au feu à Saint-Didier et a décidé de me suivre. Je lui demande ce qu’il espère de moi et il me dit qu’il a envie d’une pute à baiser. Je lui réponds en souriant que je suis là pour ça, mais que je ne me suis jamais fait enculer et qu’il risque d’être déçu. Lui aussi sourit et me répond de ne pas m’inquiéter, que les choses vont se faire naturellement et qu’il va bien s’occuper de moi. Il commence à me caresser la joue. Il a une grosse main rugueuse et j’imagine que sa bite doit être un sacré morceau, au moment où il me tire vers lui pour m’embrasser. Il dégage une forte odeur de tabac qui n’est pas pour me déplaire. Collé à lui, je sens une grosse bosse se former sous son pantalon alors qu’il me roule une bonne pelle. Je le désire énormément et il le sent, car il m’attire vers sa voiture, s’assoit sur le fauteuil conducteur et me dit de me mettre à genoux pour le sucer.

Alors que j’ouvre sa braguette et sors sa bite, il allume tranquillement une clope et se met à fumer en m’observant. Ce mec me plaît et m’excite de plus en plus. Je caresse sa queue à travers son slip puis la sors : elle est longue (au moins 18 cm), bien épaisse et surtout son gland est énorme et pas totalement décalotté. Sa bite est un kiff absolu, elle est encore molle mais je la sens gonfler entre mes doigts.

Après nous être observés, en le branlant à genoux devant lui comme la bonne petite pute qu’il souhaite, il me dit de défaire mon pantalon et de baisser mon froc au cas où quelqu’un d’autre viendrait arriver, pour qu’il comprenne qu’une bonne pute soumise est dispo. Je m’exécute aussitôt et me retrouve le cul à l’air, à genoux sur le parking en train de le branler alors qu’il est assis dans sa voiture. Il me saisit alors par les cheveux pour me faire comprendre qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure. J’approche alors mon visage de sa grosse bite bien dure désormais et commence à caresser son gland sur ma joue et ma bouche, puis je commence à lui laper son gros gland avec ma langue. Je l’entends soupirer d’excitation. Il défait alors complètement son pantalon de costume pour être plus à l’aise et baisse son slip pour se libérer les couilles. Je commence à tâter ses couilles bien lourdes tout en léchant avidement son chibre tout gonflé. Je fais des va-et-vient baveux avec ma langue le long de son membre tout en lui malaxant les couilles. Mon beau mâle respire bruyamment, il me traite de bonne salope et lèche ses doigts pour commencer à me lubrifier la rondelle. Je sens sa salive chaude se déposer sur mon trou qu’il fouille avidement. Puis il me claque le cul violemment et, me tirant par les cheveux, me pénètre la bouche avec son chibre.

J’ai du mal à encaisser les premiers coups qu’il envoie violemment au fond de ma gorge et me retire pour déglutir. Ma gorge est pleine de bave, c’est alors qu’il me gifle et me dit qu’il ne m’a pas donné l’autorisation de me retirer. Je le regarde, son visage est fermé, il me regarde sans pitié. Il est clair qu’il veut me soumettre totalement, ce qui fait grimper en moi un mélange d’excitation et de peur. Les yeux larmoyants à cause de ses premiers assauts, je le regarde dans les yeux et lui dis que je suis prêt. Il me gifle une nouvelle fois, prend ma gorge avec sa main et me biffle violemment les lèvres avec son énorme gland, puis attire ma tête vers sa bite avec l’autre. J’ouvre alors ma bouche en grand et il se met à me défoncer la gorge de toutes ses forces. J’ai beau déglutir, son énorme sexe ne laisse aucun espace pour que je puisse évacuer la salive qui s’accumule dans ma gorge, il est en train de m’étouffer littéralement avec sa bite tandis que je sens son énorme gland fouiller le fond de ma gorge. Il relâche finalement son étreinte et, à moitié suffoquant, j’évacue toute la salive accumulée en bavant abondamment sur son sexe et ses cuisses. Il me sourit et me dit avec un air pervers qu’avec ça il va pouvoir bien me lubrifier.

Récupérant sur sa main un gros filet de bave bien épais, il commence à l’étaler sur mon cul et mon anus pendant que je reprends mon souffle. Puis il me colle le visage sur ses couilles que je commence à lécher, pendant qu’il me caresse la rondelle bien trempée par ma salive avec deux doigts. Me redressant la tête, il me dit alors qu’il en faut plus et de rouvrir la bouche. Mais cette fois, il me pénètre doucement. J’essaye de mettre ma main pour amortir son prochain coup de rein mais il m’attrape alors les deux mains pour me les coincer et me les maintenir dans le dos. N’ayant plus d’appui, je ne peux que m’empaler sur sa q ...

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