Samedi matin, je vais à la fenêtre. Une petite pluie annonce une journée pourrie.
Je prends une douche et le petit déjeuner et je retourne voir comment le temps évolue, pas mieux.
Je m'allonge sur le lit.
Allez voir mon pote blond? Y'a ses parents! Sans oublier que j'arriverais chez lui trempé.
J'entends parler dehors, je vais à la fenêtre et je vois 2 copains et une copine se diriger vers chez Pierrot.
Allez, on va écouter un peu de musique.
Je toque à la porte de Pierrot qui m'ouvre en caleçon.
Devant des mecs ok, mais devant une fille?
- tiens! On te voit plus!
Il me fait entrer.
- ah bon? On se voit presque tous les jours!
Puis je comprends à quoi il fait allusion quand j'entends la clé tourner.
Un rapide coup d'œil dans le studio et je ne vois personne.
Il me prend par le bras en m'entraîne vers son lit.
- arête tes conneries! Ils vont venir.
- alors on se dépêche!
- non, non, putain!
- allez, rends-moi service, je te revaudrai ça!
- ah ouais? Comment ça?
Je me retrouve sur le dos, il m'écarte les jambes et se frotte contre mon bas-ventre.
Je sens qu'il commence à durcir.
Après tout, les copains que j'ai vus ont dû aller ailleurs. Ils seraient arrivés avant moi.
Je l'aide à me déshabiller.
Moins d'une minute après, on frappe à la porte.
Je récupère mes affaires et je file au WC, je ferme sans faire de brui, et me rhabille.
Fausse alerte. Un couple venu voir des amis mais se sont trompés d'étage.
On reprend à zéro.
- ça fait trop longtemps, enculé! Je vais te démonter.
Il me fait mettre les genoux contre les épaules et approche sa queue de mon entrée.
- hé, mouille-le!
- tu mériterais que je te défonce à sec.
- fais pas le con! Ou c'est la dernière fois!
- je te crois pas, mais tu as de la chance.
Il se met un peu de salive et crache sur ma rondelle offerte.
Je ne la vois pas, mais je vois son membre disparaître sous mes couilles au fur et à mesure que je ressens une légère douleur.
Plus il s'enfonce, plus j'ouvre la bouche et il en profite pour y mettre la langue.
Il passe les mains sous mes épaules et commence à taper bien au fond et assez fort.
En fait, il a collé sa bouche contre la mienne pour ne pas que les voisins m'entendent souffrir.
J'ai mal mais j'en redemande.
La douleur atténuée, je le serré par la nuque.
- t'aimes ça salope!
- tu me baises bien enfoiré!
- alors pourquoi tu passes plus.
- j'ai pe ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite