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RACHID ET SA BEURETTE SUITE .

Publié par : CHOBEUR le 13/04/2020

Je regarde l’intérieur, il y avait une mini jupe, des strings, des bas, porte jarretelle etc.
« Allez file, sois de retour ce soir après 20H30 »


Une fois chez moi je repense à ce moment passé avec mon Rachid le voisin. Je me dis que j’ai de la chance d’avoir trouvé le coup du siècle qui plus est mon voisin.

Comme prévu j’organise les plannings pour les jours à venir. Je valide quelques dossiers de retraite complexes et me lance en cuisine.
Je suis vraiment fatigué. J’ai bien dormi dans le lit de mon Beur, mais j’avoue avoir besoin de me repos au lieu de rejoindre le voisin comme prévu, en salope pour lui servir de vide-couilles. Oui le soir, il me veut chienne, salope de beurette. En revanche la journée, il me préfère douce, féminine, femelle. Du moins c’est qu’il prétend.

Pendant ce temps au rez-de-chaussée, Farid prend l’apéro chez Rachid. Ils échangent sur le prochain voyage en Algérie mais également sur les attentes de la caisse de retraite.

Farid ne fait aucune allusion à ce qu’il vu ce matin. Il a cru voir une femme se faire défoncer par son ami sur le balcon. Il a cependant un doute mais il a du mal à croire que son pote, viril comme il l’est, puisse démonter la chatte d’un mec.

20H30, j’adresse un sms à Rachid, et lui écris que je préfère rester chez moi pour ce soir, que l’on se verrait dans la semaine.
Il me répond, qu’il est déçu mais qu’il souhaite m’appeler.
« Salut Karim, j’ai question pour toi, j’ai un ami qui a également un problème avec son dossier retraite, je peux te l’envoyer ce soir. Demain il ne pourra se déplacer à la cram, car il travaille ».
- Mais c’est que là je me fais à manger, tu sais et puis il se fait tard.
« Je te remercie, on monte, je savais que je pouvais compter sur toi.
Je n’en revenais pas, il venait de s’inviter carrément chez moi avec celui qui nous matait ce matin à depuis son balcon du rez-de-chaussée.

Il m’adresse un sms dans les secondes qui ont suivies : espèce de salope, la prochaine fois ne t’amuses pas à me refuser.


20H35, ca sonne à ma porte, j’ai le cœur serré, je me suis refusé à mon Beur et je me dis que j’ai tout foiré.
« salut l’ami, voici Farid il aurait quelques questions à te poser, je vous laisse, Salam Farid à demain ».
Rachid s’envole dans l’ascenseur et me laisse avec ce homme très sexy.


Pas plus grand que moi, plutôt fin, imberbe. Il me dit avoir 61 ans et qu’il a passé une grande partie de sa vie dans un boîte internationale du côté d’Oran en Algérie.
Je lui dis que je suis également de cette ville et nos échanges débutent enfin.

Il m’explique sa situation et j’en profite pour valider son dossier. Au moment de partir il me lance
« c’est toi qui était avec Rachid ce matin en train de te faire baiser ? je vous ai vus depuis mon balcon. Je sais aussi que Rachid m’a vu, mais bon je préfère ne pas lui en parler. Tu me dire, je t’ai reconnu »


- Oui, c’était bien moi.
Tu es plutôt sexy, tu as de la lingerie ma petite salope.
J’étais comme tout excité, ma fatigue s’est envolée et à cet instant je veux gouter à cet autre rebeu qui se présente à moi.


Il tourne dans mon appartement et me lance : « va vite t’habiller salope j’ai besoin de me vider ».
Ni une ni deux j’ouvre le sac et je m’habille en bonne petite femelle.


« humm ...

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Mots-clés : En partie vraie, Maghrebin(s)