Je le croyais vraiment pas comme ça. Lors d’un déplacement sportif, je me retrouve à partager une chambre avec LE gars le plus lourd de l’équipe. Vous voyez le genre : grande gueule, monsieur-je-sais-tout, misogyne, et surtout, homophobe. Pour lui, "pédé" c’était l’insulte facile. Physiquement, il en imposait : grand, baraqué, un peu bedonnant, le mec viril à souhait. Autant dire, je m’attendais à une soirée pourrie.

Pendant le voyage, je commence à voir une autre facette. Le gars est cultivé, curieux, et finalement, pas si détestable. On discute, ça passe. Mais dans la chambre, ça part dans un tout autre délire. Une heure avant le dîner, il me demande s'il peut prendre sa douche en premier. Je dis "ok", pensant que c'était banal. Mais il se met à se déshabiller devant moi, sans aucune gêne, tout tranquille, comme s'il n’attendait que ça.
Je fais semblant de lire, mais je mate discrètement. Quand il a fait tomber son slip... là, je reste bouche bée. Pas pour la taille de son engin (on a vu mieux), mais pour cette virilité "100% lisse". Pas un poil. Ça ne collait pas du tout avec son personnage de gros dur homophobe.

Il fouillait dans son sac, tout nu, et là, ça se voit : il prend son pied à s'exhiber. Sa queue commence à réagir, en mode demi-molle, et il traîne volontairement. Il part sous la douche, mais laisse la porte grande ouverte, le cul à l’air, clairement pour que je regarde. Je suis resté choqué.

Mais bon, les signes étaient évidents, je sentais qu’il voulait que je le rejoigne. Alors, le cœur battant, je me déshabille à mon tour, tremblant, et je franchis la porte de la salle de bain. Il est là, sous la douche vitrée, en train de se masturber tout en se savonnant. Quand il m’aperçoit, il éclate d’un grand sourire et me fait signe d’approcher.

Là, c’est parti : on se lave, on se caresse, on s'embrasse. Bouches, mains, langues, tout y passe. On s’est sucé jusqu’à é ...

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