J’ai des jours de RTT à poser et j’ai aussi un passe SNCF qui me permet de voyager à bas coût. Je me fais un itinéraire en consultant sur LDD qui pourrait me rejoindre à l’hôtel de la ville choisie ou plus économique et plus sympathique, qui pourrait me recevoir.
Ma première destination est Kemper (Quimper en français). J’échange avec une travestie nommée Travine (contraction de travestie qui aime la pine), la cinquantaine, de jolies formes et surtout, elle aime embrasser, cherche un sex friend, nature… Elle est d’accord pour venir me chercher à la gare et me reconduire le lendemain. C’est sa femme qui passera me prendre (lire la suite… lol !).
Sorti de la gare, je reconnais la voiture et me présente. Soazig est rousse, à forte poitrine, maquillée de façon discrète mais très efficace. Elle m’accueille chaleureusement (bises dynamiques) et n’hésite pas à me tâter le paquet pour vérifier la marchandise. Je lui rends la politesse en caressant sa chatte. Elle apprécie mon geste autant que j’ai apprécié le sien.
Nous arrivons dans un petit hameau où la maison est sans vis-à-vis. Elle me dirige directement vers ma chambre en me disant qu’a priori, je n’y dormirai pas. Il y a un coin toilette avec douche et elle m’indique que je peux me préparer à ma guise. Devant mon air interrogatoire, elle précise que si je veux me maquiller, m’habiller autrement, me faire un lavement ou autre, je suis chez moi. Je pose mon sac à dos, la remercie et me dirige vers le coin toilette. Elle reste à me regarder. Je lui demande si elle reste pour m’aider au cas où et elle me répond par un oui volontaire.
Directement, elle vient sur moi et me dégrafe la braguette en me regardant droit dans les yeux. Elle caresse mon sexe au travers du tissu avant d’entrer la main dans mon boxer et de se saisir de ma pine qui commence à se raidir. Elle sourit en me disant que ça devrait plaire à Jean-Marie, son époux. Elle ne me branle que quelques secondes et me relâche avec un air satisfait. « Mets-toi à poil, mignon » me lance-t-elle. Je m’exécute et elle me tire par la main pour me conduire dans la pièce attenante : leur chambre.
Au beau milieu de cette chambre, se trouve un grand lit rond à baldaquin. La pièce est magnifiquement décorée. Elle me pousse sur le lit et se déshabille en un striptease très bandant. Elle m’indique que son homme nous observe au travers du grand miroir sans tain qui se trouve face à moi ; il est derrière, dans un cabinet de toilette où il se prépare pour me recevoir.
Il y a une vitrine dans laquelle sont exposés des dizaines de sex-toys. Elle en sort un plug et me demande de me pencher fesses en l’air sur le bord du lit afin de me le rentrer pour « préparer le terrain ». Je m’exécute et elle commence à me lécher la rondelle. Elle sait y faire, elle m’excite le croupion comme peu d’hommes savent le faire. Sa langue examine chaque millimètre de ma raie et tournoie autour de ma rondelle qui s’ouvre comme fleur au soleil. Elle m’enfonce un doigt et le tourne et le recroqueville avant de le sortir puis de le rentrer. Elle introduit désormais un deuxième doigt en même temps et les écarte puis elle enfonce son plug. Elle me dit alors : « Mon chéri, tu es prête pour nous satisfaire ».
A cet instant Jean-Marie ouvre la porte et nous rejoint. Il pose directement ses lèvres contre les miennes et investit ma bouche de sa langue entreprenante. Il me prend la bite en main et Soazig s’exclame que je suis une bonne soumise prometteuse.
Jean-Marie est maquillé et habillé ...

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