Cette journée de mardi m’a paru interminable à la fac et même si les cours ont été aussi intéressants que d’habitude, c’est comme si les aiguilles de ma montre faisaient du sur-place. Dès la fin de l’ultime séance de théologie, je fonce vers le métro et prend le chemin de l’appartement.
Une fois arrivé à la maison, il n’est que 18h00 et je vais donc avoir le temps de me préparer pour mon rendez-vous de 20h30 chez monsieur Dubout. Ma mère est de garde cette nuit et elle ne rentrera donc pas, je peux donc profiter de son dressing pour choisir ma tenue. Initialement, j’avais envisagé de me rendre avec un sac à mon rendez-vous et de me changer sur place. Cependant, après réflexion, je me dis que c’est beaucoup plus excitant d’arriver en femme pour lui faire la surprise. La difficulté, pour ne pas dire le défi, c’est de réussir à y aller sans croiser quelqu’un de l’immeuble qui pourrait me reconnaître sous mon travestissement. Je me dis que le plus simple sera d’utiliser l’escalier de service au lieu de l’ascenseur. Cet escalier, autrefois réservé au personnel de maison qui travaillait chez les différentes familles de l’immeuble, n’est aujourd’hui emprunté que par les quelques étudiants qui occupent les chambres de bonne du dernier étage. Il y a donc peu de risque de rencontrer quelqu’un de connu !
Je suis donc nu dans la chambre de ma mère en train de choisir ce que je vais mettre pour me travestir. Histoire d’être crédible, je décide de mettre un soutien-gorge noir à armatures de manière à me faire comme une belle poitrine. En fouinant un peu dans les tiroirs de lingerie, je trouve un superbe porte-jarretelles noir et rouge. Je bande rien que de le toucher et de l’attacher autour ma taille. Lorsque j’enfile les bas et les attache aux jarretelles, cela est loin de faire retomber ma tension. Pour ce qui est des strings, je n’ai que l’embarras du choix. J’en choisis un noir qui me dessine de belles fesses musclées mais j’ai un peu de mal à y loger mon sexe bandé.
Il faut maintenant choisir ce que je vais mettre par-dessus. Pour le haut, je prends un chemisier facile à boutonner et je me décide pour une petite jupe assez évasée facile à trousser. Maintenant, il n’y a plus qu’à mettre les escarpins que monsieur Dubout m’a offerts. Pour la suite, je vais rapidement sur internet pour voir les secrets d’un maquillage réussi. Puis, devant le miroir de la salle de bain, une fois mon visage bien lavé, je m’applique une légère couche de fond de teint pour me donner un air un peu bronzé. Ensuite, je me m’attaque aux sourcils et aux yeux avec un peu de mascara et de far à paupières. Une fois que j’ai ma perruque blonde, je n’ai plus qu’à me mettre du rouge à lèvres pour terminer ma transformation. Dans le miroir, je me trouve très crédible en jeune femme !
Vers 20h25, j’ouvre la porte de notre appartement qui donne sur l’escalier de service et je tends l’oreille pour vérifier que personne n’est en train d’y monter. Une fois que c’est chose faite, je monte les marches une à une en faisant bien attention de ne pas me tordre les chevilles. Quand on n’est pas une vraie femme, marcher avec des talons hauts n’est pas une sinécure ! Lorsque je frappe à la porte de monsieur Dubout, il met bien une bonne minute à venir m’ouvrir et mon cœur bat la chamade tandis que je patiente devant sa porte. Si quelqu’un me voit ainsi, que va-t-on penser de moi ? Dès que mon hôte ouvre la porte, je me précipite à l’intérieur. Monsieur Dubout me met tout de suite à l’aide
- Bonjour ma belle ! Tu es vraiment très sexy et très crédible. Viens au salon, nous allons boire quelque chose.
Dans la pièce, il n’y a qu’une lampe orientale qui diffuse une lumière tamisée rouge et rend l’endroit très intimiste. Il me sert un petit porto puis s’installe en face de moi. Nous commençons à discuter et je croise mes jambes comme j’imagine le ferait une femme. Je vois tout de suite qu’il me mate de la tête aux pieds et me dévore des yeux. Au cours de la conversation, il me dit
- Je te remercie pour les photos de ta mère. Le produit semble avoir fait de l’effet si je ne me trompe pas ?
Je lui réponds
- Oui, elle s’est effectivement vite endormie et j’ai pu faire les photos sans problème.
Il poursuit
- Tu n’as pas essayé de prendre des photos plus osées ? C’était l’occasion rêvée !
Je ne sais nullement s’il croit mon mensonge
- Non, je n’ai pas voulu prendre le risque de la réveiller.
Il enchaîne
- M’as-tu rapporté le reste du flacon ? Il ne faudrait pas le laisser traîner n’importe où !
Là encore je lui mens
- A vrai dire, il n’en reste plus ! J’étais si hésitant au moment de le faire que je tremblais de peur et j’ai renversé le flacon sur la table de la cuisine après avoir mis les gouttes dans son café.
Il semble me croire et me répond
- Ce n’est pas grave !
Lorsque j’en suis à mon troisième ou quatrième verre de porto, il lance un DVD sur son téléviseur et je comprends bien vite qu’il s’agit d’un film érotique. Il vient s’asseoir près de moi et commence à me caresser les jambes. Sur l’écran de la télé, c’est une jeune femme en tailleur qui est assise entre deux hommes matures en train de la caresser et de l’embrasser.
Excité par le film et par les caresses, je décroise les jambes et monsieur Dubout en profite pour remonter jusqu’à mes cuisses. Il m’adresse un grand sourire lorsqu’il découvre que j’ai des bas retenus par des jarretelles. Il me félicite
- C’est parfait ! Tu es une bonne petite femelle comme j’aime. Je suis sûr que tu vas très vite apprendre à bien tenir ton rôle.
Le fait qu’il me parle au féminin, comme si j’étais une fille, m’excite encore plus. Je lui réponds
- Oui monsieur Dubout, j’ai très envie d’apprendre à me comporter comme vous le souhaitez.
Il m’embrasse sur la bouche puis me dit
- Appelle moi Henri. Et moi, comment dois-je vous appeler mademoiselle ?
Je lui réponds
- Davina ! Ce sera très bien !
Il se fait maintenant plus entreprenantt, reprend possession de ma bouche et me caresse sous ma jupe.
Je décide alors de lui faire un petit numéro de strip-tease. Je me mets debout, lui tourne le dos et je défais lentement mon chemisier que je lui jette. Ensuite, toujours avec lenteur, je fais glisser ma petite jupe le long de mes jambes et lui lance. Toujours de dos, j’ondule de la croupe, je me caresse la poitrine et les fesses. Lorsque je me retourne, il est nu et son sexe est dressé fièrement comme un étendard.
A l’écran, les deux hommes ont déshabillé la jeune fille qui s’avère être un travesti et ils sont en train de bien se faire sucer à tour de rôle. Henri me dit
- Viens, montre moi ce que tu sais faire.
Il est assis sur le canapé et je m’agenouille devant lui. Je prends sa queue en bouche et je commence à lui prodiguer une belle fellation. Comme j’ai vu faire dans les films X regardés sur internet, j’avale bien sa bite, je lui malaxe les bourses, je lui t ...
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