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Premier abattage (2)

Publié par : missboobs le 23/06/2024

Environ aux deux tiers de la file d’attente, je ne sais plus exactement, un beur baraqué arrive à l’entrée et dis à Manuel :

- J’la nique à 4 pattes, Chef, comme une chèvre.
- Si tu veux mais pas par le cul, on est d’accord?
- Oui Chef!
- T’as entendu? En levrette, cul en l’air et ouvre bien, il est est très épais Mouloud!

Ma femme s’exécute, se retourne, toujours les yeux bandés. Les mecs matent ses gros seins qui pendent…

- Tourne toi, face au couloir, Chérie! On veut voir tes gros nibards! Ça va secouer! Allez Mouloud, vas-y mon gars! Emboîte ta chèvre!

Mouloud ne se fait pas prier! Il se met en position derrière N., face au couloir et à ses potes qui matent. Il passe son gland dans la fente de bas en haut, puis de haut en bas et continue ainsi…elle doit avoir la moule en feu! Et d’un seul coup, brutalement, il enfonce son pieu au fond de la matrice, s’agrippe aux hanches de la salope et la pilonne comme un marteau piqueur. Les grosses mamelles s’agitent, se balancent, se tapent l’une contre l’autre en faisant un bruit sourd. Tous les mecs matent en s’astiquant la bite, Manuel et moi compris…N. couine puis crie lorsqu’elle se met a jouir au moment au Mouloud retire son mandrin. Il n’a pas encore craché. Il y retourne : pareil, un grand coup et il est au fond. Quelques allers-retours et il remplit sa capote!

Les quelques mecs qui restent à passer se pressent. Le spectacle les a sérieusement chauffé, Manuel et moi aussi d’ailleurs. Ils défilent rapidement pour se soulager entre les cuisses de ma femme en profitant de ses loches. Elle est restée à 4 pattes face au couloir…on la voit bien encaisser et les meules s’agiter. Elle crie de plus en plus souvent…

Le dernier passé, elle s’affale sur le matelas, les seins écrasés par son poids, les cuisses restées ouvertes, la tête enfouie dans ses bras.

- Chérie, tu en as oublié un…ouvre ta bouche, ma salope! C. m’a dit que tu pompais comme une pro, en aspirant les bites et en creusant les joues. C’est clair qu’il a l’habitude que tu te goinfres avec sa queue. Alors tu as de la chance. Je vais te prêter la mienne : elle est grosse, va falloir que tu ouvres grand. Tu vas me sucer et me lécher les burnes : j’ai une capote, t’inquiète. Je sais que tu n’avales que ton mari. Je te bourrerais tout à l’heure : tu mérites.

N. se relève sur les coudes, ce qui permet a Manuel d’avoir une superbe vue sur ses loches, puis s’assied sur ses talons, cuisses bien écartées pour être en position pour avaler le mandrin du chef de chantier qui le présente aussitôt à la pipeuse qui l’enfourne. Elle lèche la hampe, le noeud, les couilles, les gobe en les faisant rouler dans sa bouche ce qui fait immédiatement partir le jus dans la capote!

- Salope! Tu m’as fait jouir trop vite! Tu vas le payer ma petite! Tu mériterais que je t’encule tout de suite, à sec. Mais j’ai promis. Et tu ne perds rien pour attendre. On va se retrouver chez C.. Attends que je te bourre tout à l’heure…Tu vas bien la sentir te ramoner et tu prendras à chaque coup mes couilles contre ta fente!

Ma femme s’affale de nouveau. Elle n’en peut plus. C’est la pause. Les mecs matent en se touchant. Je vais la voir et lui caresse les cheveux.

- Ça va? Explosée? Tu n’as pas mal?
- Non, ça va, merci. Je suis explosée mais ça va. J’ai pris mon pied plusieurs fois.
- Je sais. On a entendu…
- Ah bon?
- T’étais trop occupée pour t’en rendre compte. Le bandeau ne te gêne pas?
- Non. Au contraire. Il me protège et me permet de me lâcher encore plus.
- Tu es prête pour une deuxième salve?
- Laisse moi un peu de temps et donne moi à boire. Mais oui, ça va le faire. Au fait, combien sont.ils?
- Tu n’as pas compté?
- Non. J’avais autre chose à faire…
- Ils sont 20 plus le chef de chantier et moi. Tu as compris que c’est une séance d’abattage dans un Algeco.
- Oui. C’est bien ce que je me suis dit.
- Premier abattage. Félicitations! On remettra ça…
- Laisse moi récupérer quand même un peu, s’il te plait!
- Pas de souci, ma belle salope! Mais t’es vraiment devenue une pute!
J- e sais. J’assume. Je m’envoie en l’air…et pas qu’avec toi! A notre âge, si on n’en profite pas, on n’en profitera jamais! En plus, c’est ce qui t’excite aussi…

Manuel un peu calmé, revient vers nous :

- Dis moi Chérie, si tu veux prendre une douche avant le deuxième tour, tu peux y aller. C’est juste là, au fond. Evidemment, on laissera la porte ouverte.
- Oui, merci. Je vais en profiter.
- Si tu veux pisser, écarte les cuisses, et fais debout. Comme ça, on profitera.

Ma femme pratique l’uro. Donc ce n’était pas pour l’effrayer, contrairement à ce que pensait surement le chef de chantier. Elle s’est donc levée, exposant toute sa nudité aux regards des mecs qui se paluchaient toujours. Arrivée dans la douche où Manuel l’a menée et dont il maintenait la porte grande ouverte, elle fit couler l’eau et, prenant la pomme dans sa main, face au couloir, elle s’aspergea la moule en l’écartant pour bien la laver. Manuel aux premières loges commençait manifestement à rebander : sa proposition n’avait évidemment pas été innocente.

Derrière le bandeau noir et manifestement inspirée pa ...

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