Après les différents gang-bangs auxquels elle a participé, notamment chez C., un ami routier lyonnais, je me suis résolu à lui faire essayer l’abattage…Inquiet au départ de ses réactions, j’ai été rapidement rassuré par le coeur qu’elle a mis à l’ouvrage…Son passé, son éducation et son milieu ne la prédisposaient pas à tenter ce genre d’expérience et ma crainte de gâcher tout le travail de dressage antérieur était vraiment grande. Finalement, l’anonymat total dont elle a bénéficié lui a permis de profiter pleinement de cette expérience.
Grâce à C., pour débuter dans cette singulière activité, j’ai été mis en contact avec un chef de chantier de l’entreprise VXXXX, oeuvrant sur l’aménagement du noeud autoroutier de l’A6 et l'A89 au Nord de Lyon.
J’ai rencontré Manuel, c’est ainsi qu’il s’appelait, dans un bar de la Tour de Salvagny. La cinquantaine bedonnante, habillé d’un marcel et d’un short, employant le langage fleuri des routiers lyonnais, profession qu’il avait exercé, il m’a dit intéressé par la proposition que C. lui avait transmise. Ses équipes comportaient chacune une vingtaine de personnes, majoritairement d’origine africaine ou maghrébine.
L’idée fût alors d’offrir N., mon épouse, à ses équipes, à tour de rôle, pour les récompenser d’un labeur éprouvant dans des conditions météorologiques souvent difficiles, éloignés qu’ils sont de leur famille et de leur pays d’origine. Rendez vous fût ainsi pris pour une soirée de semaine, après la fermeture du chantier dans les bâtiments de chantier, style Algeco, dont il était le seul à disposer de l’accès en dehors des heures de chantier.
Ma femme ne sait jamais ce qui l’attend, tout à la fois pour qu’elle ne puisse pas se soustraire par crainte de ce qui va lui arriver et parce que cette même crainte induit chez elle une excitation qui rend sa chatte encore plus baveuse que d’habitude…
Un Mercredi en fin de journée, nous avons donc pris la route pour arriver à destination vers 19 heures. Avant d’être arrivés, je lui ai demandé de ne garder que son soutien gorge ouvert (90F) et ses chaussures à talons, puis lui ai bandé les yeux. Je l’ai couverte de son imperméable afin de prévenir les regards concupiscents des automobilistes que nous croisions.
Manuel nous attendait seul prés des bâtiments. Comme convenu, les gars de l’équipe B, qui avaient remporté le premier passage de la bourge, étaient à l’intérieur et ne pouvaient ni voir ni entendre. J’ai aidé N. à ôter son imperméable et à sortir de la voiture, nue, en soutif ouvert et talons. La nuit était tombée, mais à l’aide de sa torche Manuel n’a pas manqué de tout détailler du corps de ma femme, ne pouvant s’empêcher de commenter…
- Eh ben! C. m’avait prévenu! Mais dis donc, tu ne t’ennuies pas avec un morceau pareil. La salope! Les gars ne se sont jamais tapé une blanche comme ça, je suis sûr! Quelle taille de bonnets elle fait? C’est pas des seins, c’est des pis!
- 90F, naturel.
- Salope! Elle aura du mal à marcher les cuisses serrées en repartant, je te garantis! Elle aime la bite, il paraît. Elle va être servie!
Je sentais bien que N. ne frissonnait pas uniquement à cause de l’humidité et du froid… Elle ne savait ni où nous étions, ni qui prononçait ces paroles délicates ni enfin ce qui l’attendait.
Très élégamment, Manuel la pris par le coude gauche pour la diriger avec précaution à l’intérieur, dans une pièce comportant essentiellement comme mobilier un bureau et deux chaises, et l’aida à s’asseoir aussi confortablement que possible, non sans avoir subrepticement effleuré ses seins dont les bouts étaient durs et sortis… Les cuisses bien serrées comme on le lui avait appris dans son pensionnat de jeune fille, elle exhibait malgré elle deux mamelles pleines, rondes et manifestement lourdes vu la tension des bretelles du petit soutif, agrémentées de deux grandes aréoles brunes dont la rugosité laissait deviner qu’elles pouvaient avoir froid.
- La petite dame prendra bien un café pour se réchauffer?
- Oui merci, s’il vous plaît. J’ai un peu froid.
- Je vous prépare ça tout de suite! Vous allez vite vous réchauffer, ne vous inquiétez pas!
Pendant que Manuel s’éloigne, je dégrafe le soutien gorge et l’enlève. Aussitôt le chef de chantier prend des photos dont je me demande où nous allons les retrouver…Mais N. a un bandeau assez large, lui couvrant les yeux et le nez - mais laissant la bouche libre, bien sur -, qui devrait permettre de préserver son anonymat.
Manuel revient avec le café et là, sans vergogne, palpe et soupèse les gros seins de ma femme avec une visible satisfaction, les claque un peu avec la paume, se touchant les couilles au travers de son pantalon aussitôt après…Heureusement, ma femme a l’habitude et laisse faire, en y prenant même, probablement, une dose de satisfaction et de courage pour affronter la suite.
- Sacré matos! J’en ai jamais vu en vrai d’aussi grosses! Putain, quelle paire! Ça doit être lourd à porter! Vu ce qu’elle trimballe, c’est sûr que t’as pas de problème pour la placer, la salope…Chérie, écarte les cuisses que je regarde ce que tu nous offres.
Ma femme s’exécute, manifestement intriguée par la voix rocailleuse qui l’interpelle en l’appelant « Chérie » et en la tutoyant, ce qui ne lui laisse aucun doute sur ce qu’on attend d’elle!
- Dis donc, belle touffe! On dirait presque une portugaise : ça va me rappeler le pays!
Ses gros doigts touchent la motte et s’introduisent dans la fente. N. sursaute mais laisse faire et s’appuie contre le dossier de la chaise. Manuel continue son exploration avec application et délectation…il remue les doigts à l’intérieur.
Elle est déjà trempe, la pute. Un vrai bourbier. Ça va pas changer mes gars qui ont l’habitude de travailler dedans! Et ça va être plus facile pour tout faire rentrer!
Les doigts trempés de cyprine, il ouvre la bouche de ma femme :
- Allez suce! Nettoie moi ça! Et suce moi le pouce comme une bite, pour voir ce que tu sais faire!
N. s’exécute en léchant les doigts qui lui fouillent la bouche. Pas de doute, elle est bien dressée…ma fierté, ma satisfaction et mon excitation me durcissent la queue. Elle suce le pouce de Manuel, faisant tourner sa langue autour, le sortant presque de sa bouche, puis l’enfournant à nouveau comme elle le fait avec un mandrin.
- Salope! La reine des pipes, dis donc! Tu vas avoir de quoi te goinfrer!
Manuel me fait signe qu’il va prévenir ses gars…N. semble un peu perdue assise sur sa petite chaise, à poil, en talons, les yeux bandés, la moule et la bouche pleines de mouille, sans savoir ce qui l’attend même si j’imagine que maintenant elle doit en avoir une petite idée…
Le bâtiment dans lequel nous sommes comprend un couloir qui mène à une pièce vide sans porte, sur le sol de laquelle a été posé un grand matelas, sans drap, à même le sol. Le chef de chantier réunit ses gars et leur donne ses instructions :
- Vous la baisez ou vous faites sucer. Vous pouvez lui bouffer la moule avant. Vous ne l’enculez pas. Tous avec capotes. Son mari et moi, on vérifie. Ce n’est pas une pro, donc faites gaffe. Si ça se passe bien, vous aurez droit, pour ceux qui veulent, à un deuxième tour. Si ça se passe mal, j’arrête tout et ceux qui ne l’auront pas niquée n’auront plus qu’à se branler. C’est compris?
- Oui Chef.
- Maintenant vous êtes combien? 20? Bon, vous vous mettez 10 de chaque côté du couloir et vous lui laissez le passage pour qu’elle aille dans la piaule. Elle est à poil. Au passage, vous pouvez toucher mais c’est tout. Ensuite c’est à tour de rôle, il y en aura pour tout le monde si vous ne faites pas les cons. Donc pas la peine de vous bousculer. Vous allez voir, c’est du premier choix, de la bonne, avec des nibards comme j’ai jamais vu en vrai. Son mari et moi, on vous surveille. Allez, go!
Un brouhaha s’ensuit et les mecs tous habillés de leur tenue de travail se rangent de chaque côté du couloir comme l’a demandé Manuel. Certains se préparent en se touchant au travers du pantalon, d’autres sortent carrément leur queue. Clairement, des braquemarts…des poutres…de vrais pieux! Et ils ont faim : ça doit faire un bail qu’ils ne se sont pas tapés une pute, une blanche à gros seins en plus…Ils doivent avoir les couilles bien pleines : elle va prendre cher, la nympho…
Manuel me fait signe d’amener N. dans l ...
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