L’intérieur du camping-car grand standing, bien aménagé, spacieux, était idéal pour la scène qui allait s’y passer.
Nous commencions a discuter en sirotant une boisson, et tout en finissant leur collation les deux compères se déshabillèrent pour se retrouver complètement nus. Le plus grand avait le torse et le ventre très poilu. Ils vinrent s’assoir de chaque côté de moi sur la grande banquette. Leurs regards étaient attirés par mes croisements de jambes répétés. leurs mains caressantes et douces glissaient sur mes cuisses gainées de bas dim soyeux et remontaient vers mon bas ventre pour atteindre le haut de mes cuisses nues en s’attardant sur ma chatte. L’un d’entre eux me titilla mon sexe minuscule avec ses doigts. Il fut étonné que mon (clito) ne se raidit pas, et me questionna:
„C’est toujours comme ça, tu ne bandes jamais ma chérie ?“
„Non !, jamais, c’est pour ça que je me conduis comme une femme, et suis très attirée par les hommes et leurs jolies queues, ça me rend folle lorsque j’en vois une.“ répliquai-je.
Je pris leur sexe dans chaque main, je les embrassais, je me faisais caressante et docile, sourire à la clé, et entama une lente masturbation pendant que ma main s’occupait de l’autre, le maître des lieux me força la bouche avec son chibre déjà bien en forme.
„Salives et craches bien dessus pour bien lubrifier ma queue petite pute !“, m’ordonna t-il.
Je m’appliquais à le sucer en remontant le long de la hampe bien serrée entre mes lèvres et en redescendant jusqu’aux couilles pendantes pour les lécher et les gober, facilité pour moi d’avoir ces deux boules à l’intérieur de ma bouche pour mieux jouer avec elles et les malaxer avec ma langue.
Tous deux basculèrent leur tête en arrière en réaction de l’effet produit par la sensibilité de mes caresses. Le plus grand tira mes cheveux en arrière pour mieux voir ma bouche sucer et aspirer la bite que j’avais dans la bouche. Ma langue s’occupa ensuite à caresser le frein du gland déjà tout rouge près à éclater. Puis ma langue le lècha en tournant autour. A plusieurs reprises il se retira et prit plaisir à me caresser et battre mon visage avec sa queue pour m‘en montrer sa rigidité. Ça l’amusait de me voir soumise.
„Elle est gourmande cette salope, une bonne bouche à pipes, qu’en penses-tu ?“ demanda t-il à son pote se délectant de ma caresse buccale.
„Oui, c’est une véritable vide-couilles, elle a une bouche chaude et accueillante, cette femelle mérite qu’on la baise comme il faut“, répliqua l‘autre
J’étais émoustillée par leurs réflexions, le mâle se retira de ma bouche ne voulant pas décharger son sperme maintenant et le garder pour la fin.
C’est dingue comme un homme peut se faire sucer pendant un bon bout de temps sans décharger, c’est peut être ça la virilité, moi je ne la connais pas, étant une travlope.
Mon inconnu du bois, la soixantaine mais beau gosse me demanda de lui enfiler la capote qu’il avait réussi à se procurer, son sexe était bien en forme et l’épaisseur m’aurait presque décourager de continuer l’aventure. Mon petit cul était serré mais j‘avais trop envie d’un mec avec une bite pareille. En me prenant par le bras, il me tira et me retourna brutalement, me plaqua contre la table, ma tête collée sur celle-ci, en forçant sur le bas du dos avec ses grandes mains, j’étais cambrée. Il releva ma mini robe, laissant apparaître mon cul bien en vue qu’il contempla avec attention, il tira sur la ficelle de mon string pour l’enlever, et écarta mes jambes au maximum pour qu’il puisse voir ma chatte, et la tater. Il me claqua les fesses de ses grandes mains.
„Mets-toi à quatre pattes maintenant, je vais te prendre en levrette“ m’ordonna t-il. Il ouvrit mon orifice en y enfoncant ses doigts pour me masturber, ce qui commencait à m’exciter. Il présenta
ensuite le bout de sa bite à l’entrée de ma chatte accueillante pour en forcer le passage, le gland rentra facilement, il poussa toute la hampe à fond, je laissait échapper un cri de douleur, Il saisit mes poignets et tira mes bras en arrière collant ainsi mon cul sur son bas ventre pour qu’il puisse resté enfoncé en moi, c’était intense. Je me laissais à délirer en lachant ces mots
„Oui que c’est bon, c’est délicieux, oh ouiii….j’adore…ouiiiiiii viens , restes en moi, baises moi bien“.
Encouragé par mes paroles délirantes, il entama ses vas-et viens, et ses coups de reins devenaient plus réguliers, son dos ondulait à chaque coup et je sentais sa queue plus grosse, plus dure en moi, c’était divin. Lui aussi lacha quelques mots d’extase.
„Ha, Que c’est bon, tu la sens bien, elle te convient, car tu la mérites“. Et il continua de me besogner un moment.
Il se retira et dit à son pote de prendre sa place pendant qu’il prenait son appareil photos.
“Cette femelle est bonne, et chaude, le passage est fait, son cul est bien dilaté, profites-en bien, moi je vais prendre quelques beaux clichés“. „Oui, Je vais m’en occuper de cette salope, quelle chance de l‘avoir rencontrée“ affirma l’autre.
Ce dernier m’annonça avec certitude:
„Ca va durer un bon moment avec moi, car je viens de te regarder te faire baiser, j’ai les couilles pleines et je suis très excité“.
A son tour, il s’occupa directement à me fesser, Puis avec deux doigts et mes lèvres, je déroulais méticuleusement une capote le long de son sexe. Il lubrifia l’entrée de mon cul avec du gel, et ne tarda pas à enfoncer son dard déjà bien gonflé et raide, il bandait comme un âne.
Il était plus puissant dans ses élans, je le sentais bien, car en attendant son tour, l’envie de me prendre était telle, il était véritablement en rût, et j’aime ça.
“Quel cul, elle est chaude, huuummm !“ annonça t-il a son compère.
Il s’enfonça à fond, ses couilles battaient mes fesses à chaque coup de reins. Il rentrait et sortait en alternant avec des vas et viens plus lents. Puis il se remis à me pilonner avec vigueur.
„Cette bonne lope se donne à fond, ha! que c’est bon, huuuummmm, j‘aime ça“, Ajouta t-il.
Mon premier baiseur n’en pouvait plus de se masturber dans son coin, il revint à la charge pour nous rejoindre. Il plaça sa bite longue et épaisse à l’entrée de mes lèvres et commença à me limer la bouche, je bavais car parfois il me forçait en gorge profonde. J’étais toujours à quatre pattes la tête bien relevée coincée dans l’étau de ses mains, prise comme ça entre mes deux hommes, j’étais soumise. Notre hôte était toujours placé derrière moi en train de me baiser. Sa régularité et son endurance me plaisaient et me faisaient jouir. Il alternait en me donnant des fessées cinglantes, j‘avais les fesses toutes rouges. Il accéléra ses coups de bite dans ma partie la plus érogène et provoqua en moi des gémissements de plaisir.
„Huuummm!, qu‘elle est bonne cette petite pute, attends un peu, on va te régaler !“ ajouta-t-il.
J’étais chaude, le corps mouillé de sueur, je me donnais totalement à mes deux niqueurs. J’étais une salope insatiable entre leurs mains. Les deux complices voulaient me prendre en tournante. Je n’en pouvais plus, je les voulais tous les deux en même temps.
Ils me retournèrent brutalement en me tirant par les hanches, j’étais maintenant sur le dos. L’un prend ma jambe pour la tenir posée sur son épaule pour mieux les écarter et pour faciliter l’accès de sa queue. Le deuxième laron continua de pincer et torturer mes tétons, ça me faisait vibrer de plaisir.
Des spasmes fréquents envahissaient mon corps, c’était un moment de bien être et d’extase. Je m’étais faite à l’idée qu’ils feront de moi ce qu'ils veulent pour me possèder. Il étaient imaginatifs et pervers. Chacun leur tour commençèrent de longues et puissantes sodomies et j’avais toujours une queue en moi, et une autre dans la main ou dans la bouche. Ils se déchainaient en ...
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