Je travaille dans une petite boîte d'une dizaine de personnes. 6 hommes 4 femmes.
Ce soir là nous étions invités par René qui prenait sa pension à prendre son pot de départ dans un bistrot pas loin du bureau.
Tous les hommes étaient là et seulement deux employées : Natacha et Véronique.
Si cette dernière ne buvait que des softs, Natacha elle était à la bière, comme la plupart des hommes et donc moi. La soirée était plaisante, la bière délicieuse et à volonté. Véronique s'excusa pour rentrer chez elle. La soirée était amusante, on rigolait comme des gosses et les blagues allaient bon train ! Et surtout, l'alcool aidant, les blagues grivoises et même fort cochonnes !!! Et Natacha n'était pas la dernière à en raconter et ce n'étaient pas forcément les plus sages. A vrai dire, je ne la croyait pas si libérée.
Natacha était une femme d'une quarantaine d'année, divorcée. Je ne sais même pas si elle vivait seule ou avec ses enfants. Soit.
Elle avait, comme on dit, de beaux restes. Relativement grande, mais un peu ronde. Qu'importe, j'adore les rondes! Des hanches assez larges qui lui donnaient une silhouette parfaite à mes yeux. Mais ce que j'aimais le plus chez elle, c'était sa poitrine volumineuse.
Elle portait une jupe assez moulante jusqu'au g
J'estimais ses bonnets à du 100D ou peut-être même du E.
Mais je la connaissais peu, dans le travail nous n'avions que peu de contact.
Après une bonne dizaine de bières, finalement tout le monde décide de se quitter. A vrai dire nous étions tous un peu emêchés.
Tout le monde se salue et se souhaite bon week-end.
Il se fait que Natacha garait sa voiture dans le parking privé de la boîte et moi aussi. Nous avons donc fait un petit bout de chemin ensemble, bras dessus bras dessous, en tout bien tout honneur, juste l'esprit un peu embrumé.
Nous n'avions pas très loin à aller, quelques centaines de mètres, mais en cours de route, l'envie de pisser se faisait sentir de plus en plus pressante.
Je lui en fais part en lui disant que j'aurais du le faire dans le bistrot avant de partir.
Elle me dit que elle non plus n'y a pas été et que elle aussi a une envie pressante.
N'y tenant plus, je lui dis : zut je vais faire pipi ici contre la haie.
Je veux quitter son bras mais elle me dit : si tu me lâches je tombe. Tu peux pisser, je ne regarde pas. N'y tenant plus, je m'exécute. J'extirpe mon sexe de la braguette et je commence à pisser contre la haie.
Mais Natacha ne tourne pas le dos, que du contraire ! Elle me regarde en rigolant.
Mieux, elle me demande : tu veux un coup de main, tu veux que je te la tienne?
Sans attendre ma réponse elle s'empare de mon sexe en train de pisser.
Elle rigole de plus belle... et moi aussi, amusé par la situation.
Mais en rigolant, elle lâche mon sexe une seconde ce qui inonde sa main.
Vite elle reprend mon sexe pour que je continue ma miction. Après autant de bière cela dure ! Et mon sexe commence à se réveiller et à prendre du volume.
Finalement, ma vessie est vidée.
Elle lâche alors ma queue et porte sa main encore mouillé de ma passe sur sa langue. Pour goûter mon pipi !
Elle me dit, c'est bien dilué, ce n'est presque pas salé.
Comme nous sommes en rue et que des personnes s'approchent, je range péniblement ma queue dans mon slip car elle est maintenant bien en érection tant la situation me rend fou.
Moi aussi je dois pisser me dit-e ...

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