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Je restai immobile, le regard perdu dans les pales du ventilateur qui tournait lentement au-dessus de moi. Non. Je voulais l’attendre. Je voulais que ce soit lui qui me touche, lui qui me prenne, lui qui me fasse jouir. J’avais besoin de sa peau, de son odeur, de ses yeux plantés dans les miens au moment où je me perdrais.
Je restai ainsi, nu, tendu, brûlant d’attente, jusqu’à sombrer dans un demi-sommeil agité où son visage m’apparaissait sans cesse, mêlé au bruit lointain de la mer.
Je restai allongé un long moment, les yeux fixés au plafond, le ventilateur brassant l’air chaud au-dessus de moi. Mais je ne parvenais pas à trouver le sommeil. Mon corps était trop tendu, mon esprit trop agité. Je pensais à lui, sans relâche, à ses gestes précis sur le bateau, à la lueur rapide de son sourire, à la façon dont ses yeux m’avaient cherché avant que je ne détourne le regard.
Finalement, je me redressai d’un coup, attrapai un short propre et sortis de l’appartement. Je marchai vite jusqu’au port, le soleil brûlait la pierre des quais, l’air vibrait au-dessus du bitume. Je longeai les bateaux jusqu’au petit local en briques rouges du club, celui où étaient stockés le compresseur et le matériel de gonflage.
Avant même d’entrer, j’entendis le vacarme sourd et régulier du compresseur. Un bruit assourdissant, presque étouffant, qui faisait vibrer la tôle du toit et résonnait contre les murs étroits. Je poussai la porte.
Il était là.
Il me tournait le dos, penché en deux sur la batterie de manomètres, ses mains gantées serrant un robinet de bloc. Le local était minuscule, saturé d’une chaleur étouffante, traversé par l’odeur âcre de l’huile chaude et du métal, mêlée à celle, plus humaine, de la sueur et du sel. La lumière entrait en biais par un vasistas, découpant son corps dans une clarté blanche et poussiéreuse.
Je restai figé un instant, le souffle coupé.
Une chaleur brutale me monta à la poitrine, irradia dans mon ventre. C’était comme un flash, violent, presque douloureux. Je sentis mon sexe se tendre aussitôt, gonfler lourdement dans mon short. Je le regardais, hypnotisé, incapable de détacher mes yeux de son corps ainsi offert à la lumière crue, de ses jambes fines et musclées, de ses reins creusés, de la tension presque animale de sa posture.
Je fermai les yeux un instant, pour reprendre mon souffle, avant de les rouvrir et de faire un pas dans le local. Le vacarme du compresseur continuait à emplir l’air, assourdissant, comme un battement de cœur mécanique. Et lui, là, sans savoir que j’étais là, continuait son travail, concentré, penché sur ses manomètres, la nuque luisante de sueur sous le néon poussiéreux.
Je fis un pas dans le local. Le vacarme du compresseur emplissait l’air, un grondement sourd qui vibrait jusque dans ma poitrine. Il ne m’avait pas entendu. Il restait penché sur les instruments, le dos trempé de sueur, ses cuisses légèrement écartées, son bermuda toujours colllant à sa peau, si mouillé qu’il épousait chaque détail. À travers le tissu trempé, je distinguais la ligne de son sillon fessier, la forme de ses testicules tassées contre lui. Un flash violent me traversa, me coupant presque le souffle.
Je m’approchai encore, jusqu’à sentir la moiteur brûlante de son corps. Lentement, je posai mes mains sur ses hanches. Il sursauta à peine, mais avant qu’il ne tourne la tête, je me plaquai contre lui, mon torse nu collé à son dos luisant. Mon sexe, déjà dur, se pressa contre la naissance de ses fesses. Je crois qu’iI trembla, ses mains se crispant sur les manomètres.
Je passai mes bras autour de lui, glissai mes paumes sur son ventre trempé. Il respirait fort, son souffle court, haletant. Je le redressai contre moi, jusqu’à sentir toute sa colonne épousant mon torse, sa nuque contre ma mâchoire. J’enfouis mon visage dans ses cheveux mouillés de sueur et je mordillai lentement le lobe de son oreille. Il gémit, un son rauque, presque couvert par le vacarme du compresseur.
Je murmurai, ma voix grave, basse, rugueuse de désir, sans aucune retenue :
- Putain… regarde-toi… t’es trempé… tu pues la sueur et le sel… t’es bandant comme jamais… T’as envie que je te défonce là, hein ? Que je te prenne comme une chienne, que je te baise jusqu’à ce que tu pleures… Dis-le… dis-moi que t’es qu’une petite salope en chaleur… que t’attends ma bite depuis ce matin…
Je sentis son ventre se contracter sous mes bras, son bassin bouger légèrement contre mon sexe durci. Il posa sa tête en arrière, ses cheveux mouillés collés à ma joue. Sa voix jaillit, brisée, à peine audible sous le grondement du compresseur, mais nette, nue, sans détour :
- Oui… je suis ta chienne… prends-moi… défonce-moi… fais-moi mal si tu veux… je m’en fous… je veux juste te sentir… je veux sentir ta bite me remplir… je veux que tu me démontes… que tu me fasses jouir comme un porc…
Ses mots me traversèrent comme une lame brûlante. Mon sexe pulsa violemment contre lui, prêt à éclater. Je resserrai mes bras autour de son ventre, l’écrasant contre moi, respirant son odeur dense, mélange de sueur, d’huile, de graisse et de pure envie offerte. Je fermai les yeux un instant, étourdi par la violence de mon désir. Le compresseur continuait de gronder, comme un battement de cœur mécanique, couvrant nos souffles et nos voix.
Et je sus qu’à cet instant précis, rien au monde ne m’aurait empêché de le prendre.
Je tendis la main derrière moi et refermai doucement la porte du local. Le claquement sec résonna à peine sous le vacarme continu du compresseur. L’air était brûlant, saturé de l’odeur d’huile chaude, et de métal rouillé. Je restai un instant immobile, le souffle court, à le regarder, toujours plié en deux devant moi, son dos luisant, ses cuisses tendues, son bermuda trempé moulant comme scalpel chaque ligne de son corps.
Puis je m’approchai. Je posai mes mains sur son bassin, glissai mes pouces sous l’élastique de mon short. Sans un mot, je baissai lentement mon short sur mes cuisses, juste assez pour libérer mon sexe tendu, déjà dur et lourd de désir. Je sentis l’air chaud du local effleurer ma peau, un frisson me traversa.
Je tirai sur son bermuda d’un coup sec. Le tissu, collé à sa peau, résista un instant avant de céder dans un bruit mat de couture qui craque. Il poussa un petit cri surpris, et je le sentis se crisper sous mes mains. Le short tomba le long de ses cuisses, révélant sa peau bronzée, la courbe de ses fesses et, plus bas, la lourde douceur de son sexe libre maintenant entre ses jambes.
Je restai à le regarder ainsi, plié en deux, offert, ses mains toujours posées sur les manomètres, son dos frémissant sous la lumière blanche et poussiéreuse. Je posai une main sur ses reins, les caressai lentement, sentant sa peau brûlante sous mes doigts. Mon sexe pulsa contre sa cuisse nue, le contact me fit haleter. Je baissai la tête et murmurai à son oreille, d’une voix grave et basse, presque tremblante :
- Regarde-toi… comme tu es beau… comme tu es offert… Tu sais ce que tu me fais, hein ? Tu me rends fou…
Il tourna un peu la tête vers moi, ses yeux mi-clos, noyés de désir et de fièvre. Sa bouche s’entrouvrit, laissant passer un souffle rauque.
- Oui… prends-moi… j’en peux plus… fais-moi ce que tu veux… je suis à toi…
Je le saisis fermement par les hanches, le redressai juste assez pour l’aligner. Son dos se cambra, ses fesses vinrent s’appuyer contre mon bassin. D’un mouvement lent mais assuré, je le pénétrai, mon chibre déjà couvert de transpiration et luisant de précum. Il poussa un cri, vite couvert par le grondement du compresseur. Un cri court, brisé, qui vibra jusque dans ma poitrine. Je fermai les yeux, submergé par la chaleur brûlante qui m’enveloppait.
Je restai immobile quelques secondes, simplement à le sentir offert autour de ma bite, à écouter son souffle saccadé, à sentir ses tremblements contre mes cuisses. Puis je me mis à bouger, lentement d’abord, mes mains plaquées sur ses hanches pour le maintenir bien en place. Chaque poussée faisait glisser un gémissement de sa gorge. Sa tête était basse, ses épaules tressautaient à chaque mouvement.
- Putain… souffla-t-il d’une voix rauque. Que c’est bon de te sentir en moi ! Oui… comme ça… plus fort… je veux te sentir… jusqu’au fond…
Je serrai plus fort ses hanches, accélérai le rythme. Le vacarme du compresseur emplissait toujours l’air, une rumeur assourdissante, mais je n’entendais que lui, que ses halètements brisés, que le claquement sourd de mon bassin contre ses fesses, que le martèlement de mon propre cœur.
Je baissai la têt ...
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