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piscine avec mon pote

Publié par : doct76 le 18/07/2016

François et moi étions amis depuis bientôt deux ans. Nous nous sommes connus en première et notre amitié n’avait fait que grandir durant cette période. Nous voici à présent à l’été suivant le bac.

À cette époque il faisait bien chaud dans notre belle ville de Montpellier. Mes parents ont une maison de campagne dans les alentours et nous avons une piscine... ce qui ravit une grand nombre de mes amis qui peuvent en profiter dès que le soleil pointe ces rayons. Mais je dois avouer que moi aussi ça me plaisait bien d’avoir une piscine qui me permet de voir mes amis en maillots de bain qui une fois mouillés, me divulguaient la forme de leurs sexes, et de tous mes amis, je crois que c’est François qui semblait avoir le plus bel engin.

C’était juste après les résultats du bac que François et moi avions eu sans problème majeur. Mes parents travaillent encore et la maison m’ouvrait les bras pour une semaine de détente. J’y ai convié François, histoire que nous nous reposions tous les deux.

Le premier jour s’est bien passé nous sommes arrivés en fin d’après-midi et avons goûté l’eau de la piscine, ma foi assez savoureuse. Après le dîner, la fatigue nous a gagné et nous sommes allés nous coucher dans le grand lit de ma chambre. Cela ne l’a jamais gêné de dormir avec moi, certainement car il ne sait pas que la nuit je mouille mes pyjamas en pensant que ce lit devient le lieu de mon dépucelage et que François en est l’acteur principal. Je ne lui ai rien dit car je n’assume pas encore mes tendances. La conversation dans le lit tourne autour de notre semaine d tranquillité et de notre programme. Je glisse dans la conversation qu’il n’y a rien de mieux que de se baigner nu, il me demande alors si il pourrait essayer. Et comment, plutôt deux fois qu’une. On se promet donc d’essayer le lendemain.

On n’avait pas mis le réveil mais on s’est quand même réveillé pas trop tard. Après un petit déjeuner que j’ai accéléré, le grand moment est arrivé. On était en caleçons et t-shirt, je suis allé chercher des serviettes et là il s’est déshabillé et j’ai enfin découvert ses splendides fesses bien rebondies mais très minces et sa bite qui même en berne me faisait très envie: fine, galbée et un peu brune comme le reste de sa peau. Sentant un immédiate érection je me suis précipité sous l’eau et j’ai nagé cinq minutes jusqu’à ce qu’elle disparaisse.

Mais je n’étais pas au bout de mes peines car la nudité semblait lui convenir, il m’a donc proposé un bronzage intégral, activité dont je suis adepte quand je suis seul. Bien entendu, j’ai accepté. Je lui ai conseillé de se mettre de la crème solaire sur ses bijoux de famille pour pas qu’ils ne prennent de coup de soleil, ce qui arrive vite avec ces endroits rarement exposés. Rien que de le voir se passer de la crème sur sa verge et sur ces deux belles couilles, je bandais à nouveau et pour pas qu’il ne le voie, je me suis mis sur le dos jusqu’à ce que ma «gêne» disparaisse. Mais cette intimité entre nous me faisait plaisir: cela monte que j’ai réussi à gagner se confiance ce qui me touche.

La matinée et l’après-midi se passent tranquillement entre baignade, discussion et lecture.

Nous ne nous étions toujours pas rhabillés. Il a eu envie de pisser et m’a demandé si il pouvait y aller dans le jardin, ça m’a une peu dérangé car ma mère est très jardinière mais je lui ai dit de se mettre dans la piscine près de la prise du tuyau d’aspirateur (dans ma piscine il y a un trou où on branche un aspirateur pour nettoyer le fond où se dépose de la terre et ce trou aspire de l’eau qui sera filtrée donc si il pissait devant, son urine deviendrait de l’eau sous l’effet des produits chimiques!). Après s’être soulagé de cette manière, il m’a demandé:

— T’as déjà foutu ta bite là-dedans? Ça doit être dément!

— T’es fou! Ça pompe fort, ça risquerait de te faire mal et de te déchirer quelque chose.

— Y’a pas moyen de réduire le débit?

Je me suis alors souvenu qu'on peu en-effet diminuer l’intensité d’aspiration. Je suis allé diminuer jusqu’à ce qu’il juge le force acceptable et qu’il tente de rentrer sa queue dans le trou. Et miracle, ça a marché et plus que marché: je suis allé me poser à côté de lui pour voir ce que ça lui faisait: il s’est mis à bander comme un porc et je pouvais voir sur son visage des expressions de plaisir. Il m’a dit qu’il ressentait un plaisir extra et voulait savoir si il pouvait éjaculer dedans. Vous me voyez dire non? Je lui ai donné mon accord et je lui ai dit que je prendrais sa place après.

Il a commencé des aller et retours dans le trou et s’est mis à grimacer de plus en plus fort. Il poussait de petits soupirs. Ce petit manège a bien duré dix minutes pendant lesquels je bandais dur comme dur fer. Je voulais me branler ou me jeter sur lui mais ma timidité a été plus forte que mon envie. Il a fini par juter au fond de ce trou dans un dernier râle hyper sexy et m’a cédé la place. Mais je n’ai pas tenu aussi longtemps que lui, l’idée de mettre mon sexe là où sa bite était passée n’a fait qu’augmenter mon excitation. Au bout de deux ou trois minutes, je me répandais dans cette bouche d’aspiration tout en ayant en tête le visage de mon ami qui jouit.

Après, on est allé dîner et puis ce petit manège a repris mais cette fois, c’est moi qui suis passé le premier et lui attendait sagement sur une chaise longue face à moi. Je pouvais donc admirer son bel engin pendant que j’enfourchai cette anus de fortune.

Ce soir là, on était samedi soir, le premier samedi de juillet... vous voyez ce que je veux dire? Pour les abonnés à Canal+ comme moi, ça veut dire un film de cul à minuit! J’ai alors pris mon courage à deux mains et je lui ai proposé de la regarder. Après nos occupations de la soirée et de l’après-midi, il n’a pas refusé. Je me suis alors dit que c’était le moment ou jamais. On s’est alors préparé à ce spectacle avec un petit verre d’alcool et des mouchoirs pour éponger nos spermes. Le film a commencé et nous sommes tous les deux mis à bander dur comme fer. François a commencé à se branler devant moi qui lui ai emboîté le pas. Mais je ne voulais vraiment pas en rester là. Devant une scène assez peu esthétique d’une blonde en train de tailler une bonne pipe, je me suis exprimé:

— Hoooooooo qu’est-ce que ça doit être bon!

— De se faire sucer grave! a répondu mon ami toujours en train de s’astiquer.

— Non de tailler une pipe.

Après cette réplique j’ai cru qu’il allait partir en courant.

— Si tu veux essayer, te gêne pas! La mienne attend que ça!

Un peu déconcerté par cette réponse, je n’ai pu bouger mais c’est lui qui l’a fait à ma place en se levant et en me présentant sa tige devant le visage.

— Hé ben t’as peur? m’a-t-il demandé.

En guise de réponse, j’ai pris sa queue et je l’ai enfournée. Quelle sensation étrange mais pas désagréable. Outre le goût très fort mais pas déplaisant, j’ai adoré la consistance de l’objet. Mais j’étais très hésitant et je ne savais que faire. Je l’ai alors sortie de ma bouche pour commencer par lécher le gland puis je l’ai mis dans ma bouche et enfin j’ai à nouveau entré son sexe entier. Pour m’aider, François a mis ses mains sur ma tête et m’a fait faire des aller et retours sur son sexe. Ce traitement ne lui déplaisait manifestement pas, vu les râles de plaisir qu’il expulsait.

À mon tour, je me suis fait provocateur en lui proposant un soixante-neuf qu’il a accepté. On s’est alors allongé sur le sol et l’un face au sexe de l’autre, on s’est mutuellement sucé. Fantastique sensation que ce chaud écrin autour de mon sexe. En plus, il tournait sa langue autour de mon gland. Ma bouche descendait et montait sur son sexe. L’intensité du plaisir qu’il me donnait me faisait redoubler de vigueur dans ma pipe de plus en plus passionnée. Il me suçait avec une ardeur peu commune, j’avais envie d’hurler mais son sexe dans ma bouche m’empêchait de parler. Afin de pouvoir exprimer mon plaisir, j’ai sorti sa teub de ma bouche et j’ai pu pousser les soupirs que sa pipe déclenchait. Je n’ai pas pour autant laissé sa tige inoccupée je l’ai branlée d’abord lentement puis de plus en plus vite. Je sentais que son plaisir montait: des cris étouffés sortaient de sa bouche.

Sentant sa jouissance arriver, j’ai ré-enfourner se bite dans ma bouche et ma pipe a repris de plus belle. Je n’ai pas attendu longtemps car au bout de deux aller et retours, il m’offrait quatre longs jets de sa crème blanche que j’ai évidemment avalé sans en perdre une goutte. Sa semence était sucrée et liquide. Ne se laissant pas décontenancer, il a continué sa pipe en avalant ma queue en entier et en enroulant sa langue autour de mon gland. Ce traitement était si exquis que deux minutes après, j’ai joui en c ...

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