Il m’a juste dit de taper trois coups contre la porte en bois, qu’il serait derrière et qu’il fallait que je prenne à droite dès qu’il ouvrirait. Il était bien derrière la porte, j’ai eu juste le temps de voir qu’elle donnait sur un jardin, une pelouse, au loin une terrasse, une véranda, quelque chose de tout propre, bien rangé, le coin de maman. Il avait ajouté dans le message, déconne-pas, va pas tout droit, je veux pas que ma femme te voit. J’ai donc pris à droite et je me suis retrouvé dans un atelier, pas trop éclairé, pas trop propre, mais pas sale non plus, ni sombre, un coin comme on aime.
Il a fermé la porte, il m’a pris le paquet, il l’a lâché presqu’aussitôt, et de sa grosse main, il m’a fait me baisser. Le genre efficace. Je me suis mis à genoux, il a défait son froc, il a baissé son slip si vite que j’ai pas eu le temps d’imaginer ce qu’il y avait dedans et de fait, j’avais pas à le faire puisque j’avais sous les yeux sa bonne bite épaisse, pas trop longue mais bien noueuse et j’avais plus qu’à faire ce que je sais faire et pour quoi il m’avait fait venir, je l’ai gobée, la queue, je l’ai gobée comme un as.
Ça lui a tout de suite plu. Vas-y continue, il a dit, comme ça oui, t’es une bonne chienne vas-y, c’est bien fais-là durcir elle attend que ça. Elle a commencé à gonfler. C’est alors que son téléphone a vibré. Le gars, il a grogné, je trouve pas d’autres mots, il a grogné, il a laissé sa bonne queue dans ma gueule et j’ai compris qu’il se retournait pour essayer de prendre son téléphone, mais le téléphone était posé trop loin pour qu’il fasse deux choses à la fois : se faire pomper et lire son message.
J’ai laissé sa queue partir. Il s’est retourné et, le slip et le pantalon sur les chevilles, il s’est déplacé jusqu’à un établi au fond de l’atelier. Je pouvais voir son gros cul, un peu mou et poilu et je me demande s’ il a pas fait durer la lecture du message pour que je continue à l’admirer. J’avais la queue qui s’impatientait dans la culotte mais je suis pas intervenu parce que c’est le genre d’impatience qui la rend salope comme jamais et elle sait faire qu’une chose dans ce cas, mouiller, mouiller. Mouiller.
Il a posé le téléphone, il a remonté son slip en se penchant bien pour que je vois, de derrière, ses deux belles boules barbues, il a remonté son pantalon, il a fait demi-tour, je l’ai suivi des yeux en tournant sur moi-même sans me relever. Il m’a dit : toi tu bouges pas de là.
Il est sorti en laissant la porte de l’atelier ouverte. Je suppose qu’il avait pas peur que maman rapplique et que ça lui faisait plaisir aussi de laisser la porte ouverte pour que son visiteur puisse voir tout de suite de quoi il en retournait. Il a ouvert la porte du jardin et c’est bien ce que je pensais, il avait un visiteur qui devait avoir l’habitude de prendre à droite dès la porte passée. Un visiteur que la perspective d’un mec à genoux comme ça, la gueule ouverte - aussi bien parce que j’ai jamais voulu la fermer quand le vieux a retiré sa queue – c’était une perspective qui lui ferait plaisir. Et ça a été le cas. Le gars il est entré devant le vieux dans l’atelier et il a dit : je vois que je tombe bien. Tu t’emmerdes pas dis-moi.
-Un bon pompeur, il a insisté pour venir, il est en manque de queues, j’ai pas pu refuser. Si j’avais su que t’allais passer je l’aurais prévenu.
Quelle drôle d’idée je me suis dit. De me prévenir. Moi j’aime les surprises et le vieux plus son pote, c’est le genre de surprise que j’aime par-dessus tout.
Le gars, le second, il s’est penché vers moi. Je l’ai regardé d’en bas, il a ramené sa face au niveau de la mienne et il a pris mon menton d’une main, il l’a levé un peu comme on fait à un bon chien et il m’a regardé. Comme il disait rien, j’ai ouvert la bouche de nouveau. De toute évidence ça lui a plu parce qu’il a dit que j’avais l’air d’être une bonne chienne même si j’étais pas son genre mais ça avait pas trop d’importance aujourd’hui vu qu’il avait un besoin urgent de se vider. Il a ajouté c’est pour ça que je suis passé à l’improviste. Visiblement j’ai bien fait.
Le premier, le vieux, il s’est remis devant moi, il a baissé son froc, il a baissé son slip, il m’a retendu sa queue et j’ai repris le travail.
Je crois qu’elle était devenue meilleure que la première fois, mais je pense que ça tient au fait que l’autre il me regardait aller et venir. La queue du vieux elle avait le goût de ce qui est bon et qui ne fait que commencer à être bon.
-Putain il pompe bien il a dit et j’essayais de regarder de côté pour voir ce que l’autre faisait mais je n’y arrivais pas. De toute évidence, il faisait rien, rien d’autre que mater.
-Allez qu’il a dit le vieux en se retirant, occupe-toi de mon pote.
Il avait à peu près le même âge que le vieux mais il était plus grand, plus maigre aussi. Il portait un bermuda et j’avais vu ses pattes et ses bras quand il avait passé la porte du jardin, des pattes blanches comme ses bras, couvertes de poils noirs. Il a défait son bermuda, le bermuda lui est tombé sur les chevilles et il a présenté sa queue comme ça sans traîner, avec une odeur de pisse mais toute petite l’odeur, juste ce qu’il fallait pour finir de me faire tourner la tête. Parce que vous pensez-bien, de voir sa queue comme ça d’un coup, passé le bermuda, vous pensez bien que j’avais perdu la boule.
Il me l’a enfournée. Je peux pas dire que je l’ai gobée ou que j’ai ouvert la bouche non, c’est lui qui a pris les choses en main. Il m’a agrippé la gueule de ses paluches bien blanches et velues, il m’a écarté les mâchoires comme s’il voulait vérifier l’état de mes dents, comme si mes dents ça avait été des crocs, et il m’a enfourné son engin. Une queue longue, moins épaisse que celle du vieux, bien veineuse. Il a gardé ses mains sur mon crâne et c’est lui qui m’a fait aller et venir. J’essayais de regarder un peu de côté et j’y voyais un peu plus clair quand il me repoussait : il avait des poils jusqu’en haut des cuisses, des poils bien noirs et secs sur sa peau blanche. Mais j’avais pas le temps de m’attarder parce qu’il me lâchait pas et il m’enfonçait sa queue qui durcissait jusqu’au plus profond qu’il pouvait le faire. Si bien que j’ai vite eu envie de vomir. J’ai râlé mais j’ai fait en sorte qu’on sache pas en haut si je râlais de plaisir ou parce que j’allais rendre mon petit déjeuner.
Le vieux, le premier, il m’a donné une tape sur le bas du dos et j’ai compris qu’il fallait que je continue à pomper son pote et que je relève l’arrière-train. C’est le genre de chose que je sais bien faire. J’ai défait ma ceinture et ma braguette. Le vieux il a saisi mon pantalon, il l’a baissé d’un coup, vite, et il a fait pareil avec mon slip, comme si j’avais porté un truc de femelle et qu’il y avait urgence à me violer. Il m’a donné une tape sur une fesse aussitôt, ça devait être impossible à réprimer pour lui. Je suis certain qu’il n’avait pas encore pris le temps de regarder. Or j’ai un joli petit cul lisse. Même à mon âge, je dois dire je n’ai rien perdu de ma séduction de ce côté-là.
Il ne s’est rien passé en particulier. Pendant un petit temps durant lequel je continuais à aller et venir sur l’engin du visiteur. Du côté de mon cul, il s’est rien passé. J’ai saisi chacune de mes fesses de mes mains vu que le mec que je pompais me tenait bien, vu qu’il voulait par me perdre en me laissant tomber, et j’ai écarté les fesses pour bien montrer ma rosette.
-Joli qu’il a dit le vieux et ça m’a plu. Un compliment comme ça, ça m’a fait plaisir. Joli il a redit et j’ai senti que son pote tendait le cou et qu’il pouvait pas y voir et que ça l’agaçait un peu de devoir arrêter un temps d’aller et venir sans pouvoir mater ce qu’il y avait de si joli de ce côté-là.
-T’arrête pas de me limer qu’il a dit comme si j’étais responsable du ralentissement et j’ai pas rigolé avec ça parce qu’il avait quand même deux grandes mains et qu’elles avaient beau être velues comme je les aime, j’avais pas envie de prendre une claque.
Le vieux, il m’a passé un doigt sur la rondelle. Il a recommencé plusieurs fois. Entre deux passages, il devait se mouiller le doigt et il devait regarder avec plaisir ce que son bon gros doigt excitait doucement. Parce qu’il faisait que ça, regarder et passer le doigt. Je peux affirmer que j’ai senti une électricité me traverser le corps, de ma gueule bouchée par une queue bien raide à mon cul qu’on titillait comme ça en l’admirant. Dire qu’on peut torturer des gens en leur passant de l’électricité dans le corps. Dans mon cas, si j’avais eu quelque chose à avouer, il aurait suffi d’arrêter de me chatouiller la rosette et de retirer l’engin que j’avais dans la gueule pour que j’avoue tout, si ça permettait de faire que tout ça, le doigt sur ma rondelle, la queue dans ma gueule, ça s’arrête jamais.
Le gars devant il a repris son va et vient. Et le gars derrière il s’est arrêté. Peut-être qu’il a plus de salive j’ai pensé, ou peut-être qu’il a de l’imagination. C’était ça, le gars il avait de l’imagination. Il a dû se pencher parce que j’ai senti son bon gros pouce me passer sur le gland. Ou sur ce que mon gland laissait voir parce que je suis doté d’un prépuce un peu long, un peu trop long pour les amateurs de glands sans prépuce, mais long juste ce qu’il faut pour garder longtemps la première petite mouille. Le gars, il a passé et repassé son doigt et il a dit putain la petite salope elle mouille. Il a dû remonter son doigt et le dresser parce que l’autre a dit prépare-là, cette petite pute, prépare-la bien.
J’ai com ...
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