A cette époque j'habitais à Tours et cette ville comportaient plusieurs lieux de drague gay (sex-shops, Club privée, sauna et j'en passe). C'est dans l'un de ces paradis de débauche que j'ai rencontré Pierre. On s'est tout de suite plu et on a niqué assez vite dans un backroom. Il m'a pénétré avec sa longue bite bien épaisse et m'a besogné jusqu'à remplir sa capote. Après cette première baise, on a discuté un peu et on est allé chez lui pour plus d'intimité. En chemin on a poursuivi notre conversation et on s'est présentés plus en détail. Il m'a parlé de ses fantasmes et moi j'ai parlé des miens puis on en est venu à aborder des aspects pratiques liés à la santé et aux MST. Je m'étais fait dépister quelques jours plus tôt et je me savais clean. Il m'assura être sain lui aussi et je lui ai proposé de ne plus utiliser de capotes la prochaine fois qu'il me prendrait. Bien entendu, cela l'a ravi et il m'a promis de me prendre sans préservatif au plus vite.

Pierre était comme moi, grand, barbu, avec un petit bidon bien rond et il était très poilu. Par contre, à la différence de moi, il était très bien monté et bandait dur alors que j'ai une petite bite et que je bande mou.

Une fois dans son appartement, on est allé tout de suite dans sa chambre et on s'est déshabillés mutuellement en nous embrassant puis je l'ai sucé en m'appliquant à bien l'avaler. Content de ma prestation, il m'a pris la tête et a commencé à remuer du bassin. Il m'a baisé la bouche pendant cinq minutes en envoyant sa bite épaisse loin dans ma gorge. J'avais du mal à respirer et j'ai eu quelques haut-le-cœur mais j'étais par ailleurs terriblement excité et désireux de la prendre encore dans le cul. Il m'a gentiment poussé vers le lit et je me suis allongé sur le dos. J'ai relevé mes jambes, il m'a glissé un coussin dans le bas du dos et il a pointé sa verge décalottée et bien baveuse contre mon anus palpitant de désir. Il m'a pénétré dans la position de l'enclume, les pieds posés sur ses épaules, et j'en ai aussitôt gémi de plaisir. Pierre m'a dit que je l'excitais et j'ai répondu que je le trouvais beau et que je voulais lui appartenir, devenir sa chose et son vide couilles. Il m'a ramoné le fondement avec beaucoup de vigueur et d'entrain et je me suis mis à jouir du cul. Mes gémissements sont devenu des cris et j'ai prié pour que ça ne s'arrête jamais. Il n'a pas démérité et m'a baisé très longuement puis il a senti monter sa jouissance et m'a proposé d'éjaculer dans ma bouche. J'ai accepté, il a déculé et j'ai changé de position pour le terminer avec une fellation. J'ai pris en bouche la bite qui sortait de mon cul et je l'ai sucée comme un affamé jusqu'à ce qu'il me donne sa semence. Il a éjaculé grassement dans ma bouche et j'ai avalé son jus de couilles tandis qu'il m'y encourageait. Ensuite, j'ai bien essoré sa bite pour en extraire les dernières gouttes et je me suis redressé pour l'embrasser à pleine bouche. On s'est allongés sur son lit, il m'a pris dans ses bras et on a recommencé à parler.

— Tu me plais beaucoup, Olivier, m'a-t-il dit entre deux baisers langoureux. T'as le cul serré mais tu encaisse bien et j'ai vraiment pris mon pied.
— Pour moi aussi, c'était génial, Pierre, et tu recommences ça quand tu veux. Mon cul, ma bouche et tout mon corps t'appartiennent. J'ai envie de me soumettre et de satisfaire tous tes désirs.
— Oui, j'ai cru comprendre ça quand tu m'as dit que tu voulais être ma chose et mon vide couilles mais tu n'as pas peur que je te demande des choses que tu n'aimerais pas ?
— Oh, non, je n'ai pas beaucoup de tabous alors je n'ai pas trop peur de ça tant que tu ne me fait pas mal, tout va bien. Je n'aime pas les trucs sadomasos mais pour le reste je suis ouvert à tout.
— Et l'uro ? Tu as déjà pratiqué ?
— Oui, une fois, j'ai bu l'urine d'un copain. Il avait ses toilettes dans sa salle d'eau et je sortais de la douche quand il est venu pisser. Je ne lui ai pas demandé son avis et je me suis jeté comme un assoiffé sur sa bite. Je l'ai prise en bouche et j'ai avalé ce qui en sortait.
— Donc, tu ne verrais peut-être pas d'objection à ce que je marque sur toi mon territoire ?
— Comment ça ?
— Je vais te pisser dessus. Viens avec moi dans la salle d'eau et tu te mettras à genoux dans la douche pour que je t'arrose sans en mettre partout.

On est allé dans sa salle d'eau, je me suis agenouillé dans sa douche à l'italienne et il s'est mis devant moi. Il a pris en main sa verge molle et s'est mis à uriner sur moi en visant surtout mon visage et ma bouche ouverte. J'ai bu tout ce que j'ai pu mais je me suis quand même retrouvé trempé et, pour en rajouter, je me suis allongé dans la douche et me suis pissé dessus. Il a bien compris que l'uro faisait partie de mes fantasmes et m'a promis de belles expériences en la matière. Il m'a interdit ensuite de faire couler l'eau pour me rincer et il a sorti une serviette sale du panier à linge pour que je m'essuie avec. Pierre voulait que je conserve sur moi l'odeur de son pipi et m'a avoué trouver ça excitant.

C'est ainsi que notre histoire à commencée et que nous sommes devenus amants réguliers. On s'est donc revus tous les jours parfois chez lui ou parfois chez moi. Il me prenait chaque fois avec beaucoup d'entrain et marquait ensuite son territoire en me pissant dessus. Chaque jour, nous nous ouvrions un peu plus l'un à l'autre et c'est ainsi que, après une semaine, je lui ai fait un aveu qui eut de grandes conséquences.

— Tu sais, Pierre, chaque fois que je vais chez toi ou que tu viens ici pour me sauter, je fais un lavement et ce n'est pas super agréable. Tu pourrais me prendre si j'avais le cul plein de merde ?
— Bien sûr, mon Biquet, je te prendrai quand même mais ça veut dire que je ne pourrai plus jouir dans ta bouche. Ce serait trop sale.
— Non, pourquoi ? Au contraire, je crois que ça m'exciterait de sucer ta queue un peu sale à la sortie de mon cul… En fait je suis prêt à te la nettoyer avec la langue à chaque fois que tu m'enculeras.
— C'est un peu scato ton truc mais ça me va, a répond ...

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