Maintenant, ma main se hasarde en une exploration plus attentive et, en délaissant les grosses boules roulant sous leurs doigts, elles entreprennent la découverte d'une colonne de chair douce et chaude, si ferme et si fière dans son érection magistrale ! Du bout des doigts j'effleure à peine cette chair soyeuse et joyeuse. Je sens le membre de Jan frémir sous ce léger toucher. Alors, je ne peux plus y tenir. En me glissant le long de son corps, je fais en sorte que ma tête arrive au niveau de ses reins et, lentement, avec un soin particulier, ma bouche vient se poser sur le gros gland violacé et mes lèvres viennent le couronner en l'enserrant avec lenteur. L'appétit vient en mangeant, dit-on souvent. J'avais une faim de loup en arrivant tout-à-l'heure. Maintenant, j'ai une faim d'ogre et je vais offrir à Jan un plat de résistance auquel, paraît-il, on ne peut résister...
Je goûte à présent à ce gland magnifique qui s'est découvert tout seul tant l'érection est tendue. Mes lèvres le sucent en insistant bien sur le bourrelet de chair, là où les terminaisons nerveuses accroissent la sensibilité. Ma langue ne reste pas inactive. Elle va et vient sur la chair ferme du gland en l'enrobant, en essayant de s'immiscer dans le petit trou comme pour y préparer le chemin de la jouissance qui y jaillira... Et c'est ma bouche entière qui s'attaque avec volupté à son membre chaud et vibrant. Ma main droite l'a saisi à sa base en le serrant fermement ( je sais que cela accroît les sensations et multiplie le plaisir... ). Et pendant que ma main gauche caresse la cuisse de mon amant, je fais avec ma bouche un mouvement lent en sensuel, de bas en haut et de haut en bas. Ma langue, elle, continue ses caresses, glissant sur le gland lubrifié par ma salive.
- Ah, tu aimes ça, hein ! c'est bon, continue... "
En guise de réponse, ma bouche libère son sexe dans un bruit de succion aspirante, ce qui provoque un grognement de plaisir de la part de Jan.
- Mais dis-donc, tu sais que tu suces bien, toi ?
- J'aime ça, oui, c'est vrai. J'adooore !...
- Si on avait le temps... "
Oui, mais le temps, je ne m'en occupe plus. Et pourtant, je n'en ai pas suffisamment pour pouvoir le prendre. Je voudrais qu'il s'arrête et je ralentis un peu la cadence en reprenant en bouche ce flamboyant bâton de maréchal... Je m'attarde à mordiller le prépuce, à passer ma langue à l'intérieur ou à souffler dedans ; trompette ou sucette, il est vrai que je suis mélomane. Les mains de Jan caressent ma tête, mes oreilles ( oh, ce chatouillement lorsqu'elles frôlent le léger duvet qui borde l'ourlet ! ), viennent sur mon cou.. Je tourne mon visage vers lui. Il me sourit, de ce sourire de bonheur qui illumine ses yeux d'enfant innocent ( ! ) et je comprends en le voyant qu'il me veut, qu'il attend que je monte à ses lèvres pour y goûter les siennes. D'ailleurs, elles m'attendent, entr'ouvertes sur une pointe de langue rosée que je devine très gourmande. En me rapprochant de lui, je sens nos deux sexes se frôler, puis se caresser tandis que nos lèvres apprennent à se reconnaître. Nos lèvres ? Plus que nos lèvres, nos langues !... Nos langues se cherchent, se rencontrent, se frottent, se sucent.
Elles s'apprivoisent en se reconnaissant. Dans la position à genoux que nous avons adoptée, il nous est facile aussi, tout en continuant nos études de langues, de nous caresser le corps, le sexe. Le sien ne manque pas à son devoir, il observe un impeccable garde-à-vous. Je pense que le mien n'est pas trop mal non plus... Je m'en assure en le touchant et en le prenant de façon à le tapoter sur celui de Jan. Il sourit en me regardant faire, tourne ...
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