Je ne connais rien de plus beau que le corps musclé et nu d'un homme...
Une forme en X : les bras vigoureux, les épaules larges, la poitrine bombée, la taille mince, les fesses toniques, les cuisses et les mollets musclées, les jambes écartées.

Mon fantasme... serrer dans mes bras un rugbyman.
Jusqu'à aujourd'hui, ça reste un fantasme.
NB : rugbyman, si tu lis cette histoire et si mon profil te plaît, contacte moi...

Serrer un corps d'homme. Connaître des frissons de plaisir et des poils qui se dressent sous les caresses d'une main virile. Le cœur qui bat la chamade lors d'étreintes improbables, espérées ou inespérées, en parcourant les creux et les bosses d'un corps musclé.

Justement, ce jour là...

En hiver, à Paris, quand il fait gris et froid, beaucoup d'hommes vont au sauna se réchauffer le corps et le cœur, en mal de câlineries plus ou moins ''hard''.
Le week-end, j'avais l'habitude d'aller dans un sauna bien connu proche de l'Opéra à Paris.
Arrivé au vestiaire, devant son casier, la séance de déshabillage n'est pas innocente. Mine de rien, on commence par jeter un coup d'œil à droite, à gauche, on repère des sous-vêtements choisis spécialement et portés non sans arrière-pensée, des pectoraux saillants, des fesses bombées qui s'offrent à la vue quand, penché en avant, on ôte le pantalon ou les chaussettes. Puis vient le moment de baisser le slip, moment "crucial" "qui permet de décider, de choisir entre des hypothèses" comme dit si bien le dictionnaire Le Robert.

La serviette autour de la taille, la plus courte possible sur les cuisses pour exciter la curiosité sans déjà tout révéler, rester mystérieux, direction le labyrinthe des plaisirs entièrement masculins.

D'abord, faire un tour prospectif afin de faire un état des lieux en inspectant une par une les "cellules", garnies ou pas.

Puis, une séance de sauna, sec ou plutôt humide.

C'est là qu'aveuglé par la vapeur, à tâtons, je vais m'allonger sur la plate forme carrelée à l'endroit le plus haut du sauna afin de dominer la situation. Je ferme les yeux un instant pour savourer un moment de détente, de relaxation, de quiétude.
Mais, quand même, un œil aux aguets pour surveiller qui entre et qui sort.

Un corps, difficilement distinguable dans la brume, s'installe à l'étage juste en dessous de moi. Nous sommes allongés tête-bêche. La vapeur faiblit par moment. J'en profite pour porter mon regard sur ce corps nu et tatoué qui me paraît intéressant, compte tenu de mes critères de beauté mentionnés plus haut. Lui aussi a les yeux fermés, les mains jointes sur son ventre qui montent et descendent au rythme de sa respiration, lente et paisible.
J'hésite à perturber son "repos du guerrier" (je ne pensais pas avoir une expression aussi juste...)
Je tente une approche douce en laissant pendre mon bras pour que ma main touche légèrement sa cuisse. A priori, pas de réaction de rejet. Je prends de l'assurance et commence à le caresser en balançant mon bras. Toujours pas de réaction. L'excitation commence à monter. Je me redresse, me retourne et me replace toujours allongé sur ma plate forme mais dans le même sens que lui. De cette façon, en me tournant légèrement sur le côté, j’atteins facilement son torse avec une main. Pectoraux, abdominaux, biceps, triceps, tout y est ! Ma main glisse facilement sur sa peau humide, lisse et douce. J'ose une descente vers son pubis et caresse ses poils soyeux. J'effleure son pénis, en semi-érection, posé tranquillement sur sa cuisse. A mon touché, une contraction brutale le propulse sur son ventre. Plus de doute, il apprécie ma compagnie !
Je descends d'un étage et me place, tant bien que mal, à côté de lui, mais la place est étroite et inconfortable. Après quelques caresses sensuelles et réciproques, il m'arrête dans mes gestes. Sur le moment, je comprends, avec regret, qu'il souhaite en rester là. Pas du tout, au contraire, il me propose de nous isoler dans une cellule. Proposition inespérée ! Compte tenu du fait qu'il ne laisse pas indifférents d'autres mecs qui auraient bien voulu goûter à ma "conquête". Mais il me veut moi et moi seul !

Nous sortons du sauna, ruisselants, la serviette autour de la taille et il se dirige vers le couloir des box à la recherche d'une place libre. Je ne le quitte pas d'une semelle ! J'en profite pour admirer sa silhouette en X, un corps sportif, une peau halée. Sa coupe de cheveux, très courte, presque rase, laisse voir une nuque large, un cou puissant. Son dos, parsemé de gouttelettes d'eau, scintille sous le reflet des spots croisés dans le couloir. Sous sa serviette, ses fesses charnues, rebondies, montent et descendent en se contractant alternativement au rythme de ses pas.
L'espace d'une seconde, je me demande, un peu anxieux, ce que ce gaillard me réserve. Je pratique moi-même la musculation très régulièrement mais visiblement, lui a plus de prédispositions naturelles que moi dans le domaine du développement musculaire. État d'âme vite évaporé la seconde qui suit à l'idée de ce fantasme sur le point de se réaliser.

Au sortir du sauna, par contraste, j'ai un peu froid. Après une déambulation impatiente dans le labyrinthe des couloirs et des escaliers, une cellule est enfin disponible. Une fois dans la chambre très étroite, pas d'autre choix que de nous allonger l'un près de l'autre sur le matelas plastifié et froid, lui aussi !
Nous nous servons chacun de notre serviette pour nous sécher mutuellement, prétexte à rompre définitivement avec la frilosité par des préliminaires de caresses érotiques, extatiques, sur l'intégralité de notre corps. Une fois séchés et réchauffés, les choses sérieuses commencent...

D'abord, nous nous mettons à nouveau tête-bêche pour une frénétique séance de fellation. Son sexe est magnifique, ni trop petit, ni trop gros pour que je puisse l'enfourné tout entier avec délice. Avec sa langue, il parcours mon périnée, cette zone érogène hyper-sensible entre l'anus et les testicules. Il s'attarde ensuite sur ma bite, agaçant mon gland du bout de sa langue avant de l'engloutir entièrement jusqu'au fond de sa gorge. J'ai à faire à un expert !
Changement de position, toujours allongé, il se place derrière moi et, d'une main, commence à me caresser les fesses, entre les fesses, en prolongeant ses caresses entre mes cuisses écartées, jusqu'à mon sexe raide qu'il tire en arrière pour me masturber. Je sens dans mon dos son autre main qui bouge frénétiquement devinant qu'il se masturbe, promesse d'une belle pénétration sans possibilité d'y échapper vue la corpulence de mon amant du jour.

Mais ses gestes sont d'une grande douceur. Je sens son gland qui cherche un passage entre mes fesses jusqu'à l'anus. De ses bras costauds, il m'enserre le torse et commence à me pénétrer, accentuant progressivement les mouvements de va-et-vient de son bassin. Il ne veux pas jouir trop rapidement, il me retourne, nous nous f ...

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