Cette histoire s’est déroulée il y a bien des années, lorsque nous étions adolescents. Avec mon ami d’enfance, Olivier, nous étions inséparables et nous traversions cet âge ingrat ensemble au gré des expériences que la vie nous offrait.
C’était l’été de nos 15 ans. Ce jour-là, nos parents travaillaient comme tous les autres jours. Très excité, j’explique à Olivier que je suis tombé par hasard sur une cassette vidéo appartenant à mes parents. Un véritable film porno comme on les faisait dans les années 80. Sans attendre, confortablement installés dans le canapé du salon, nous commençons le visionnage. Le film est à la hauteur de nos espérances. Les scènes et les pratiques s’enchainent, nous n’en loupons pas une miette. Nous avions déjà feuilleté des magazines de charme empruntés à d’autres, mais là, nous venions de passer un cap ! Du vrai sexe explicite et non suggéré.
Ma queue est gonflée et prête à exploser dans ce short trop petit pour l’occasion. Je suis excité au plus haut point. Je remarque qu’Olivier bande comme un fou lui aussi. Je vois très distinctement sa bite sous ses vêtements et elle me semble énorme. Il n’ose pas se toucher mais je note ces petits mouvements de bassin, comme s’il se faisait du bien dans son caleçon.
Même si nous avions déjà discuté de nos techniques de branlette respectives, et même si nous avions déjà comparé nos sexes à de multiples occasions, comme tous les ados le font, nous n’avions encore jamais partagé un moment aussi chaud et intime que celui que nous sommes en train de vivre.
Le film m’envahit. Tous mes sens sont tourmentés et mon pote semble lui aussi dans un état presque second. Il est prêt à jouir. Je le vois, je le sens. Dans un élan que je ne contrôle pas, je lance : « et si on se branlait ? »
Olivier me regarde et, sans un mot, se lève et se déshabille. Complètement. Il n’essaie même pas de cacher sa queue gonflée d’excitation et qui semble prête à exploser. J’ai même le sentiment qu’il veut que je la voie, il me l’exhibe. Je sens dans son regard qu’il attend que je sois nu moi aussi. Je m’exécute. A son tour, il regarde longuement ma bite. Moi aussi je bande comme un fou.
Nous nous asseyons à nouveau. La branlette commence. La timidité règne entre nous comme jamais. Un peu honteusement je regarde sa queue que je n’avais jamais vu comme ça. Aussi dure, aussi grosse et si près de moi. Je réalise que c’est la première fois que je vois un sexe d’homme en pleine érection. Cette queue m’excite presque autant que le film. Il se branle doucement et tout son corps transpire du plaisir qu’il se donne.
Submergé par toutes ces effluves je me lance à nouveau : « j’ai envie de te branler ! »
Pour toute réponse, Olivier me chuchote un « ok » tout en relâchant sa queue et en se cambrant comme pour mieux me l’offrir. Sans hésiter je la saisis à pleine main. C’est la première fois que je tiens un sexe masculin. La sensation est surprenante mais elle me plait ! Tout en commençant mes va-et-vient, je prends le temps de détailler chaque partie qui s’offre à mon regard. Le gland, déjà luisant d’excitation, gros, lisse et laissant perler une goutte de lubrifiant. La verge en elle-même, charnue, longue et bien dure. Elle diffuse une chaleur intense au creux de ma main. Enfin les couilles. Je les touche de ma main libre. Elles sont souples et suivent le mouvement que je leur applique comme pour me signifier que ces caresses sont agréables. Olivier semble aimer cette initiative. Il laisse échapper un petit gémissement tout en écartant bien les cuisses pour me donner un meilleur accès. Il en profite pour se cambrer un peu plus. Sa queue est prête à exploser. Je sens son cœur battre dans ma main. J’ai envie de lui faire du bien, que ma branlette soit parfaite.
Les minutes passent et je m’habitue à ces va-et-vient. Instinctivement, nous regardons à nouveau le film. Sa queue ne dégonfle pas. La mienne non plus.
Je te branle bien, tu aimes ?
Oui c’est très bon !
Tu bandes bien en tous cas !
Tu veux que je te branle moi aussi ?
Non pas pour l’instant. M’occuper de ta bite m’excite beaucoup et si tu me branles tu vas me faire juter !
Mon regard alternait maintenant entre le film et sa queue. Je ressentais une excitation que je n’avais encore jamais connu. Tous mes sens étaient en émoi. Dans le film, une nouvelle scène venait de commencer. Une belle blonde habillée de manière très sexy suçait passionnément la grosse et belle queue d’un homme qui se tenait debout devant elle. Elle l’enfonçait loin dans sa bouche n’en laissant apparaitre que les derniers centimètres. Elle semblait prendre un réel plaisir. Olivier aussi semblait aimer la situation. Je le sentais devenir encore un peu plus dur. Je vis alors cette goutte de lubrifiant a l’extrémité de son gland. Elle avait doublé de taille. Délicatement, du bout de mon index, je l’étalais et sur tout son gland. Cette nouvelle sensation le fit tressaillir. Je continuai à lui masser le gland pendant encore quelques minutes.
C’est alors que dans un élan que je ne maitrise pas, comme pour imiter cette scène du film, en me penchant vers ce gland brillant, je lui dis avec conviction : ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur