Vers l'age de vingt ans j'ai fait un stage de deux mois à Reims. Je ne connaissais personne et je dois avouer que ma timidité aidant j'ai passé le plus clair du premier mois à manger seul matin midi et soir. Ce n'est qu'au bout d'un mois que j'ai sympathisé avec Denis un type de mon age qui bossait dans la boite où je faisais mon stage. On a commencé à manger ensemble et puis à la fin de la semaine il m'invite à un diner/fête chez lui avec ses amis.
Quand je suis arrivé il y a avait une dizaine de personnes dont quatre filles. L'ambiance était chaleureuse et j'ai été très naturellement intégré aux conversations. Il y avait une jeune femme, Olivia, qui riait systématiquement à tout ce que je pouvais dire d''un peu drôle. Même presque pas drôle. J'en ai rapidement conclu que je lui plaisais. De mon côté ses cheveux auburn coupés au carré, sa bouche aux lèvres finement dessinées, ses yeux noisette, sa taille souple et ses gros seins n'avaient conquis au premier regard. Elle était la bienvenue pour me passer sur le corps où et quand ça l'arrangeait. Nous nous sommes rapprochés sur le canapé tout en bavardant. Nous étions dans un coin plutôt mal éclairé ce qui m'a permis de poser ma main sur son genou. j'ai essayé de l'embrasser mais elle m'a repoussé en chuchotant. Mon mec est pote avec la moitié de la pièce on ne peut pas être vus en train de s'embrasser. J'étais largement déçu mais elle m'a fait un grand sourire tout en posant sa main directement sur ma braguette. Je me suis mis à bander comme un âne. Elle s'en est bien évidemment rendu compte et a palpé ma queue gonflée. Elle a retiré sa main comme si elle s'était brûlée et m'a dit bon moi je pars d'ici, tu attends cinq minutes et tu me rejoins au coin de la rue. Elle me fait la bise et commence à faire le tour de la pièce pour dire au revoir à tout le monde.
J'attends les cinq minutes et me mets à dire au revoir à mon tour, Tout le monde prend ça de façon totalement normale à part Denis qui me regarde d'un air interrogateur avec un petit sourire en coin.
Je dévale les escaliers quatre à quatre et m'oblige à marcher pour aller vers le point de rendez vous avec Olivia histoire de lui montrer que je ne lui cours pas littéralement derrière. Elle est là, au coin de la rue, placée de telle façon qu'on ne puisse pas la voir depuis les fenêtres de l'appartement que nous venons de quitter. Elle me fait un grand sourire, je m'approche, la prend dans mes bras et l'embrasse fougueusement. En posant une main sur ses fesses, je plaque mon bassin et ma queue bien dure contre son ventre. Elle répond en ondulant et en se frottant contre moi. D'un coup elle brise notre baiser en se reculant et me dit d'une voix essoufflée : Allons chez toi il faut que tu me baises tout de suite.
Je loue une chambre dans un foyer de jeunes travailleurs à côté du bureau mais son principal inconvénient est que je la partage avec un parfait inconnu. J'explique la situation à Olivia tout en la dévorant des yeux. Elle me répond j'ai trop envie, on verra sur place. Au pire il nous matera, on survivra non ?
Nous courrons presque jusqu'au foyer. Une fois à l'intérieur je lui demande de passer devant moi dans l'escalier. elle n'est pas dupe et roule du cul tout au long de sa montée. Son cul qui ondule devant moi m'hypnotise. arrivés devant la porte de ma chambre, j'ouvre la serrure tout doucement pour ne pas réveiller mon coloc s'il est en train de dormir. Nous entrons dans le noir, je lui guide en lui tenant la main jusqu'à mon lit. La pièce est séparée en deux par un rideau opaque. Olivia s'assied sur le lit pendant que je jette un oeil de l'autre côté du rideau. Je n'y vois pas grand chose mais si mon coloc est là une chose est certaine il dort profondément et silencieusement. quand je me retourne vers le lit, Olivia est totalement nue et en train de se glisser dans le lit.
Je me suis déshabillé le plus vite possible et l'ai rejointe sous les couvertures. Nous nous sommes embrassé fougueusement mes mains pétrissant ses fesses et son abondante poitrine, les siennes caressant ma queue et mes couilles avec empressement. Elle m'a tiré vers elle par les couilles pendant qu'elle ouvrait les cuisses aussi largement que possible en feulant Baise moi. Je ne me suis pas fait prier et l'ai prise d'un coup jusqu'à la garde. Elle était trempée et sa chatte s'est ouverte dans une étreinte brûlante. Elle a poussé un long soupir de contentement et m'a chuchoté à l'oreille : Défonce moi avec ta grosse queue. Ce que j'ai fait avec plaisir, lui donnant de grands coups lents qui me faisait sortir de sa chatte à chaque fois. elle glapis ...
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