Cet après-midi là, j'avais séché les cours du lycée et j'attendais une copine. Nous avions rendez-vous dans le parc ombragé vers 13h30.
Avec la chaleur écrasante de cette fin du mois de juin je m'étais vêtue d'une jupette à rayures et d'un tee-shirt à large échancrure qui m' aérait les seins.
Je somnolais, avachie sur un banc de bois, et profitant du soleil qui dardait ses rayons sur ma peau bronzée lorsqu'un monsieur âgé s'approcha et stoppa sa progression en arrivant à ma hauteur.
Il m'examinait de haut en bas, s'attardant sur mes cuisses dénudées, avec un regard qui en disait long sur ce qu'il avait envie de me faire s'il en avait eu la possibilité.
'' on se connaît '' me hasardais je
'' pas encore '' me rétorque-t'il en sortant de son short un billet de 100€ tout en l'agitant et en désignant du menton les toilettes publiques situées à quelques mètres de là.

Je ressentis comme un coup de poing dans le ventre. Ma parole ce gars me propose un gros billet pour que je le rejoigne dans les chiottes !!!!
Voilà pourtant que je le dévisage et l'envisage. Cet homme, la soixantaine, peut-être plus, semble propre sur lui. Bien coiffé et rasé. Il me fait l'effet d'un notaire. Vêtu d'un short, il porte également une chemise qu'il a dégrafée entièrement.
Sans réfléchir je me lève et, le précédant, je me dirige vers l'endroit indiqué en faisant en sorte de tortiller du cul pour qu'il en ait pour son argent.
Après tout me dis-je, je veux bien me faire peloter pour empocher un joli billet. Je ne suis plus une gamine depuis que, pour quelques bonbons, je laissais l'épicier de mon quartier me tripotait la chatte à travers ma culotte.
Aujourd'hui, pas de culotte mais un string ficelle. Le vieil homme pourra accéder facilement à ma foune s'il ose s'aventurer entre mes cuisses.

Je pénètre dans les toilettes et entre dans la première des trois pissotieres. À l'intérieur se dégage une forte odeur d'urine et d'excréments. Ce parfum m'excite immédiatement.
L'homme m'y rejoint et referme la porte en tirant le verrou. Il ne doit pas s'en revenir et doit se sentir chanceux.
Je n'ai pas le temps de me retourner qu'il plaque son ventre énorme contre mon torse, tout en relevant le bas de mon tee-shirt, de telle manière que je ressent la chaleur de son corps contre le mien.
D'une main il me tend le billet promis tandis que de l'autre il me saisit le menton, me faisant ainsi tourner le visage sur le côté., ce qui lui permet de m'embrasser. Le voilà qui me roule une pelle, et va jusqu'à introduire sa langue dans ma bouche.
Je me laisse faire et même je me surprends à lui rendre son baiser.
De sa main libre voici qu'il me caresse la poitrine par dessus mon tee-shirt. Il se rend alors compte que je ne porte pas de soutien gorge ce qui le rend fou.... Aussitôt il glisse la main sous le vêtement et empoigne mon sein droit et le malaxe.
'petite salope, tu me fais bander' ' souffle t' il

Effectivement, comme il se colle derrière moi, je n'ai pas de difficulté à constater dans quel état il se trouve.

Lâchant mon menton, il entreprend de s'aventurer sous ma jupe et, découvrant la taille de mon string ne peut s'empêcher de me glisser à l'oreille.
'' mon Dieu, tes fesses sont fermes et douces !!!
J'ai très envie de te caresser... Laisse toi faire, je serais très généreux ''
'' Et bien, petit cochon, vous n'avez pas honte ?
Je crois bien que je mouille. Voulez vous vérifier ?

Sans hésiter l'homme me p ...

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