Je m'appelle Arnaud. Je venais d’avoir 18 ans. J’étais un jeune homme plutôt joli, j’avais le corps bien proportionné, une musculature harmonieuse, de belles cuisses, de beaux mollets ronds, de larges épaules, et les fesses bien rebondies et fermes. Châtain clair, les cheveux assez courts, un léger duvet blond sur les joues, j’avais les yeux verts et les lèvres assez pulpeuses. Je plaisais beaucoup aux filles… Mais moi je n’en avais pas envie. Je venais de passer mon bac avec succès et m’apprêtais à rejoindre l’université à Paris pour étudier l’histoire. Il me restait un été avant la rentrée et je comptais bien en profiter avant de me plonger dans les études. J’avais donc accepté l’invitation de mon ami d’enfance, Olivier, qui m’avait proposé de le rejoindre en Italie chez son oncle qui habitait près de Rome. Mes économies m’avaient permis de m’acheter un billet de train pour ce long voyage. A Paris, je pris le soir du départ le train de nuit qui devait me mener jusqu’à Rome (il y avait encore des trains de nuit à l’époque).
J’étais installé dans une cabine à 4 couchettes, relativement confortable où, pour l’instant, j’étais seul. Je pris donc mes aises et, le train ayant démarré depuis un moment, je décidai de m’installer sur une des couchettes du bas après avoir rangé mes bagages. J’étais en t-shirt et je portais un short assez léger et un fin boxer blanc. Tout cela moulait à la perfection mon joli cul bombé et mon jeune sexe palpitant. Fatigué, je ne tardais pas à m’endormir sur le lit, toujours seul dans la cabine.
Quelques instants plus tard, je ne saurais dire combien de temps, je fus réveillé par le bruit des freins du train qui faisait une halte, sans-doute à Lyon. J’entendis quelqu’un entrer dans la cabine. Il dut allumer pour se repérer mais constatant que j'étais là, il sa fit assez discret. Je l'observais d'un oeil. C’était un homme la cinquantaine, cheveux poivre et sel, plutôt grand, barbu, assez corpulent. Il était seul.
Je faisais comme si je dormais, mais la vue de cet homme très viril fit aussitôt monter en moi des désirs incontrôlés et je dus me tourner pour cacher une érection qui commençait à venir. Ainsi, sur mon lit, je tournais le dos à ce gros monsieur qui s’installait dans l’autre couchette du bas, très près de moi. Je l’entendis se déshabiller et s’installer dans le lit voisin. Une légère odeur de sueur se dégageais. J’étais surexcité de savoir un inconnu, viril à souhait, dormant juste à côté de moi, à portée de bras. Il éteignit la lumière rapidement. Exténué par ma journée, je m’assoupis. Pas longtemps car la chaude nuit d’été rendait la cabine étouffante et je décidai d’enlever t-shirt et short, restant en boxer et chaussette sur ma couchette. Je jetais un œil : l’homme avait l’air de dormir. Il était en slip et marcel, allongé sur le dos, également au-dessus de ses draps, un bras pendant hors du lit, et je devinais dans la pénombre à peine illuminée par le panneau de sortie de secours que son slip cachait un paquet très généreux. Je ne pouvais détourner mon regard de cette énorme bosse, comme hypnotisé. L’homme ouvrit les yeux subitement. Je pense qu’il m’avait vu le reluquer. Mais je fis comme si de rien n’était et tournai à nouveau le dos à mon compagnon de voyage. Cet homme très macho m’excitait de plus en plus et je ne pouvais plus fermer l’œil. Je décidai de tenter ma chance, subtilement : je tendis doucement mon petit cul rebondi que soulignait parfaitement mon boxer très moulant et légèrement translucide, au point que j’avais le derrière quasiment en dehors de la couchette, à portée de main de mon voisin.
Au bout d’une minute ou deux, je sentis la main du gros monsieur me toucher très délicatement une fesse. Je ne rêvais pas : il testait clairement ma réaction. Il était donc intéressé par mon corps de jeune-homme en chaleur allongé à sa portée ! Je n'en revenais pas et je sentis battre mon coeur, la chaleur envahir mon corps et le désir sexuel me posséder totalement. Je me fis donc un devoir de le laisser continuer. Il se fit plus hardi, plus insistant. Je bougeai mon petit cul de jeune mec de façon à lui faciliter la tâche, si bien qu’à un moment je sentis un de ses doigts au niveau de la raie de mon cul, qui imprimait de subtils va-et-vient. Il commençait à respirer fort. Moi aussi, en transe du fait cette situation si excitante : un inconnu me tâtait le cul. J’étais à sa merci désormais. Je poussais et ouvrais ostensiblement mon cul de façon à ce que ses doigts puissent me tripoter l’anus à travers mon boxer. Il se mit alors à me tâter doucement la rondelle à travers le tissu, puis de façon plus nette alors que je me déhanchais en rythme avec ses mouvements. Je gémissais doucement et lui commençait à grommeler de plaisir.
J’étais maintenant arc-bouté, le cul tendu en l’air, le dos cambré, la tête sur l’oreiller je regardais mon nouveau compagnon de jeux. Il retira mon boxer qu’il porta à son nez pour le sentir longuement. Un peu gêné, c’était un sous-vêtement que je portais depuis maintenant deux jours, j’avais peur de le dégoûter. Au contraire, il semblait prendre du plaisir à renifler les arômes que ma jeune bite et mon cul moite avaient laissés dans le tissu. Il se lécha le doigt puis le porta à l’entrée de mon trou pour un massage très sensuel. Je m’ouvrais progressivement et il faisait pénétrer doucement son énorme index dans mon anus de jeune salope, aidé par la moiteur de ma raie humide de sueur. Le va-et-vient qu’il m’imprimait me décontractait de plus en plus, j’étais aux anges et m’ouvrais en entier. Il en profita pour passer deux doigts, puis un troisième, transformant peu à peu mon trou du cul en véritable chatte anale béante et accueillante, lubrifiée avec sa bave et ma sueur. Il me travailla ainsi pendant plusieurs minutes, faisant de moi une jeune chienne totalement à la merci de ces grosses mains expertes, appliquées à me faire un massage interne. J’étais en chaleur.
Tout en continuant de me travailler le cul avec ses doigts, il se leva et se campa sur ses deux jambes velues. Son paquet était à hauteur de mon visage. Au-dessus de ses grosses cuisses musclées, son slip cachait à peine une énorme paire de couilles poilues et une large verge en semi-érection. Je devinais à travers l’étoffe un gros gland recouvert d’un épais prépuce au bout duquel fuyait un filet de mouille qui tachait son slip. J’approchais mon visage de ce volumineux paquet cadeau et fus saisi par la puissante odeur qui s’en dégageait. Un mélange de pisse et de sueur accroché à l’étoffe d’un slibard douteux, manifestement dans son deux ou troisième jour d’utilisation, produisait un parfum amer et puissant qui emplissait l’espace et me piquait les narines. Cela me mit dans un état d’excitation extrême et je commençais à frotter mon visage, mon nez, mes lèvres, contre l’énorme renflement odorant qui s’offrait à moi. En même temps, je roulais et tortillais du cul dans le rythme qu’imposaient ses gros doigts à mon anus complètement dilaté. Ma chatte était grande ouverte comme une rose entièrement épanouie.
D’une main j’allais chercher sous l’élastique de son sous-vêtement jauni le chibre que je convoitais. Je sortis une énorme saucisse mi-molle, de près d’une vingtaine de centimètres et d’une largeur impressionnante. Cet homme avait vraiment des proportions incroyables. Le gland était toujours recouvert de son prépuce dont l’extrémité pendante bavait de plaisir. Le liquide épais et visqueux était suspendu à ce gros bout de chair. Je m’en approchais avec ma langue et m’en sa ...
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