Ce jour-là, j'allais avec ma femme à la plage du métro à Tarnos. Nous nous étions garés un peu loin faute de place et avions décidé de nous éloigner un peu plus vers le nord pour éviter le trop plein de touristes.

En passant par un chemin latéral derrière les dunes, je remarquais vite que des mecs « tournaient » à l’affût de quelque chose. Je compris très vite l'objet de leur intérêt quand j'en vis deux disparaître discrètement dans un buisson.

Nous passâmes l’après midi à la plage, mais ma découverte tournait dans mon esprit.

J’avais 55 ans, mes relations avec ma femme avaient perdu le peps de nos jeunes années, sa libido étant tombée à zéro suite à une maladie.

Les jours qui suivirent, je sentis mon trouble envahir mon esprit à l’idée de franchir le pas.

Je suis curieux et j’ai souvent envié mon épouse quand elle me suçait ou quand elle jouissait quand je la prenais en levrette.

Et si je vivais ça ?!

Les jours passaient et l’idée m’obsédait. Le soir, je m’isolais et me masturbais en imaginant des scénarios de rencontres homo.

Ce matin, je me lance !

Fébrile, Je me fais un petit sac à dos de plage et je part rejoindre la plage de mes rêves.

Quand je descends de la voiture, mon cœur bat trop vite et mes mains tremblent un peu, mais mon envie est forte et je prends le petit chemin. C’est le milieu de matinée et il y a encore peu de monde. Très vite, devant moi, j’aperçois des silhouettes furtives ici et là.

Je ralentis mon allure et observe. Je passe devant un petit sentier qui part sur ma droite et débouche sur un espace dégagé ombré par des pins. Un homme la cinquantaine est planté là. Il me Jette un regard, mais intimidé, je poursuis mon chemin. Mon sang tape dans mon cerveau, je suis effrayé et excité.

Je finis par m’arrêter pour voir un peu d’eau à ma gourde.

Je me retourne, l’homme est là à 30 mètres de moi, au petit croisement du chemin. Il me semble qu’il m’observe, puis doucement, il disparait dans le sentier.

Je n’hésite plus, je veux aller au bout de mon obsession.

Je fais demi-tour et reviens sur mes pas, je tourne à gauche et m’approche de l’homme qui m’attend au centre de la petite clairière, d’un ton mal assuré je le salue, il me répond brièvement. J’essaie de dire trois mots pour éviter un éventuel malentendu, mais il me coupe et me fait comprendre qu’il est espagnol.

Je ne sais pas pourquoi, mais ça me rassure. Il me fait signe en me désignant un petit espace avec un tronc d’arbre couché. Mécaniquement, je m’y dirige, il me suit, il dépose son sac au sol, je l’imite et me retourne face à lui.

Je n’ai plus peur, il est un peu plus petit que moi, peut-être un mètre soixante-quinze, mais plus trapu. Je pose ma main sur sa poitrine en le questionnant du regard, j'y lis l’assentiment, je laisse ma main glisser vers le bas, je n’ai jamais été aussi excité. Quand je sens la bosse de son sexe sous le tissu, je sais que je ne m’arrêterais plus.

Il pose la sienne sur mon entrejambe et malaxe mes couilles doucement.

Je lui déboutonne son pantalon de toile qui finit par tomber à mi-cuisses, sa queue déforme son slip, je baisse l’élastique et elle jaillit, épaisse, le gland humide et violet.

Lui a glissé ses doigts dans mon bermuda, il joue avec mon gland, je suis humide de précum, mais je n’ai qu’une envie, je tombe à ses genoux et enfourne son énorme queue dans ma bouche, il pousse un grognement. Je le lèche, l’aspire, le suce, déguste son gland et m’applique à faire du bien à cet homme. Enfin j’y suis, je suis à la place enviée de ma femme, je m’applique, je me rends compte que j’adore ça, je le prends le plus loin possible dans ma bouche, j’avale son précum abondant, j’ai posé mes mains sur ses fesses, m’enhardissant à lui caresser l’anus.

Il prononce des mots de plaisir en espagnol, quand de l’autre main je soupèse ses couilles magnifiques.

Très vite il passe sa main sous mon aisselle et me fait me lever, il les glisse dans mon bermuda et le fait tomber à terre, nos deux queues se pressent, il m’attrape la nuque et plaque sa bouche sur la mienne, je suis surpris, jamais je n’aurais voulu embr ...

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