Durant ma petite enfance, j’ai été assez fréquemment pris en charge par un oncle et une tante pendant les vacances d’été.

Cette période s’est étalée sur deux ou trois jusqu’à l’âge de cinq ou six ans.

Ce couple était adhérent à la Fédération Française de Naturisme et fréquentait régulièrement un camp de la région rennaise.

À l’âge adulte, je n’ai pas pratiqué le naturisme, même si à l’aise dans mon corps la nudité ne me déplaisait pas.

Puis vers cinquante ans, imprégné de quelques vagues souvenirs de bien être, je me suis rendu dans plusieurs camps ou j’ai apprécié le liberté de vivre nu.

Mon plaisir était de ressentir une folle impression de bien-être avec le soleil sur la peau.

Puis un jour de détente dans un camp de Dordogne, je m’étais installé au soleil; une couple hétérosexuel dont l’homme avait une cinquantaine d’années et la femme environ quarante ans s’est allongé à trois ou quatre mètres de moi.

Nous nous sommes salués et avons échangé quelques regards. Ils faisaient des aller-retour avec la piscine voisine et j’ai pu admirer les jolies formes de Madame.

Après une bonne heure, l’homme s’est adressé à moi pour me demander d’enduire le corps de sa femme d’une crème hydratante.
J’ai accepté, sa peau était douce, chaude. Bien entendu j’ai évité les zones sensibles mais ce massage a eu rapidement un effet sur mon sexe qui s’est raidi subitement. Étant dans un camp avec des familles, j’ai caché mon appendice sous une serviette et m’en suis excuser auprès du couple. Madame m’a complimenté sur la taille de mon sexe.

Après avoir échangé quelques paroles sur les camps que nous fréquentions, j’ai repris ma place et j’ai essayé de retrouver mes esprits non sans difficulté tant je revoyais mes mains parcourir ce corps magnifique.

Avant de quitter l’emplacement, le couple s’est approché de moi pour m’inviter à prendre un pot dans le mobile home qu’il louait pour une semaine. J’ai accepté cette invitation.

Assis dans le canapé j’ai dû mettre une serviette afin de cacher ma forte érection, Monsieur que j’appelais désormais André m’a dit que cet état ne gênait nullement Véronique.

Très directement André m’a dit qu’ils appréciaient ma compagnie, que lui rencontrait des problèmes d’érection et il était très souvent observateur des ébats de Veronique.

En cette fin d’après-midi, nous n’avons pas eu de rapports mais ils m’ont invité pour une rencontre à leur domicile en banlieue bordelaise.

Quelques jours plus tard, muni d’un bouquet de fleurs, je sonnais à leur porte et là Veronique et André m’ont invité à pénétrer. Ils étaient nus. Après avoir rapidement et délicatement posé le bouquet de fleurs, elle a dégrafé ma ceinture, pris mon sexe entre ses mains et a entrepris une fellation. André nous observait tout en me parlant et en me souhaitant la bienvenue.

Effectivement j’ai remarqué qu’André ne bandait pas, je n’ai pas joui et Véronique m’a invité dans le salon avec André. Il m’a demandé l’autorisation de nous f ...

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