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mon rêve de cette nuit_partie 1

Publié par : sally_soumise le 13/01/2018

je viens de me réveiller et j'ai terminé ma nuit par un rêve assez surprenant mais très agréable.
nous sommes plus d'une centaine d'hommes regroupés dans un centre de détention.
certains savent que j'adore me travestir et que je suis une bonne femelle mais je pense que personne n'est au courant et je reste très discret là-dessus, surtout du fait des conditions de détention: grande promiscuité entre tous les détenus (grandes pièces, aucun local plus petit) et présence quasi inexistante des gardiens dans notre enceinte. heureusement, nous avons chacun notre armoire et tous mon attirail de femelle est bien caché dedans.
un jour, nous devons préparer un fête et on nous donne plein de produits pour préparer le repas (plats à cuisiner, pâtes diverses, desserts). nous nous regroupons dans une grande salle et on commence à s'affairer par groupe pour préparer chacun un plat.
je tombe dans un groupe assez sympa et nous sommes chargés de décoller de leur emballage des pâtes (type gnocci) qui sont un peu difficile à enlever (une cinquantaine de gnocci par emballage sous vide.
comme les autres je commence à défaire mon paquet mais je tombe sur un paquet assez ancien donc les gnocci sont super difficiles à décoller, je suis obligé de les sortir un par un en faisant très attention à chaque fois de ne pas les casser. je prends du retard. à un moment donné, voyant que les autres hommes du groupe ont presque fini, je me retourne vers certains pour leur dire de m'aider. personne ne veut. je commence à m'énerver et je commence à dire ce que je pense. un grand gars super costaud me répond et me dit de fermer ma gueule et de continuer à défaire mon paquet. je lui réponds, la discussion commence à s'envenimer entre nous deux sous le regard de tous les autres hommes, qui ne réagissent pas. personne ne bouge mais je sens que le costaud et moi commençons à devenir le point d'attention de toute la salle, qui devient de moins en moins bruyante.
je ne me démonte pas et je continue à répondre au costaud.
je suis en danger.
au bout d'un moment, il s'approche de moi et me dit qu'il va me casser la gueule maintenant si je continue à l'ouvrir.
il m'indique une petite table avec une chaise au centre de la salle et me dit d'aller m'y asseoir tout de suite sinon il me tape.
personne ne réagit, le silence dans la salle est complet.
je décide qu'il est temps de m'exécuter.
je vais m'asseoir et je continue à défaire seul mon paquet de gnocci (il en reste une quarantaine à sortir, j'ai perdu beaucoup de temps).
le costaud ne se calme pas pour autant, il continue à m'insulter, il s'est même approché de la table à laquelle je suis assis et est très énervé, très menaçant.
je sens qu'il va avoir besoin de se défouler...
au bout d'un moment, quelqu'un lui fait passer un petit papier. il en est surpris mais il ouvre le papier et le lit rapidement.
dans la foulée, un petit sourire s'affiche sur son visage de brute, il a une idée en tête, une idée que quelqu'un de bien attentionné lui a suggéré...
c'est toujours le silence dans la salle, plus personne n'est affairé aux préparatifs du repas, on dirait que tout le monde attend quelque chose...
alors, il s'approche tout près de moi et très fort il me crie dans l'oreille: "alors? on a des choses à cacher?"
le souffle de la salle s'arrête.
je réponds que je n'ai rien à cacher, que c'est bon, que je vais continuer à défaire mon paquet de gnocci et je lui demande poliment de me laisser tranquille.
il m'attrape par le col, me soulève et dit à la cantonade: "hey! les gars! je crois qu'on en tient une!"
ça commence à rigoler de plus en plus fort dans la salle, je commence à sentir des effluves de mâles autour de moi, les hormones de certains commencent à se réveiller...
comme je commence à protester, il me répond qu'on va aller voir mon armoire et que s'il ne trouve aucun indice il me laissera tranquille.
je prends peur. en même temps, je me dis que mes affaires de femelle sont bien cachées alors je me laisse entraîner vers mon armoire sans trop protester. d'un côté, je me rassure en me disant qu'il ne trouvera rien mais d'un autre côté, je n'ai pas trop le choix, je sens qu'il est à deux doigts de me taper dessus. d'ailleurs en m'amenant vers mon armoire, il me tient bien fermement par le col de ma chemise, qui me serre le cou et il en profite pour commencer à me donner des petites claques sur le visage en me disant qu'il est sûr que je suis une petite lope qui adore prendre des bonnes queues...
on arrive aux armoires, toute la salle à suivi, tous sont attente.
j'ouvre mon armoire, pensant rester à côté pour diriger la fouille.
il me pousse sur le côté, je tombe par terre.
il se tourne vers moi et me dit: "toi, tu ne bouge pas de là!"
je commence à m'inquiéter. mais pas de panique, mes affaires de femelle sont cachées dans l'une des doubles parois de l'armoire.
d'un coup, le costaud se retourne et appelle: "Jean! Viens, j'ai besoin de toi!"
on attend. rien... puis ça commence à bouger dans la foule compacte qui s'est rassemblée autour de nous... je suis toujours assis sur le sol. puis ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Mûrs, Première fois, Soumission/domination, Trav, A plusieurs