J’étais encore jeune et plein de vigueur. Je n’avais pas le physique d’un mannequin mais j’avais une bonne bouille et un corps de sportif. Au niveau sexe, je ne manquais de rien et les filles ne se plaignaient pas de mes performances. Quand j’ai vu dans le journal qu’une société de production cherchait des acteurs porno, j’ai tenté ma chance et j’ai été convoqué dans une suite d’un hôtel classe.
On me fait entrer et une jeune femme est totalement nue en train de poser dans des positions très hard. Celui qui prend des photos ne se gêne pas pour la toucher. Il y a aussi une caméra qui filme en continu. Le photographe tend un gode à la nana et lui demande d’effectuer une fellation. La jolie minette y met du cœur et elle me paraît très douée. Le gars lui demande désormais de se le mettre dans le cul sans aucun ménagement. Elle hésite, essaye de faire rentrer ce gode de belle dimension mais elle n’y parvient pas. Le gars s’énerve en lui reprochant de ne pas s’être préparée pour son casting, qu’il n’a pas que ça à faire et déclare faire une pose en attendant que mademoiselle se dilate l’anus.
Il se tourne vers moi et me demande pourquoi je suis encore habillé. Pourquoi ne suis-je pas déjà à poil ? Il n’a pas que ça à faire, il est tard… Pas facile le gars ! Il me demande de me désaper illico et de poser mes fringues sur le fauteuil où se trouvent les frusques de la nana. Et puis il se ravise : « Tu es le dernier pour aujourd’hui, tu vas jouer une scène de striptease ». Puis il se tourne vers la fille et la pauvre grimace après avoir réussi à s’embrocher sur le gode. Il prend le gode en main et commence des va et vient avec. Je vois des larmes qui coule sur les joues de la pauvrette et suis prêt à protester quand je vois son visage qui commence à rayonner. Il y a un miroir qui est placé de façon à ce que je la vois de face et de derrière en même temps. Elle commence à haleter et je vois qu’elle comprime et relâche régulièrement son sphincter. Le gars insiste avec un rythme qu’il accélère et la nana pousse désormais des gémissements puis des cris de jouissance au moment où un jet de cyprine jaillit de sa vulve. Le photographe lui retire alors le gode du cul et prend une photo de ce magnifique cul bien rond avec l’anus complètement ouvert.
Ma bite commence à se tendre dans mon boxer et je me dis que je la lui mettrais bien. J’hésite à lui demander ses coordonnées pour faire plus ample connaissance mais je suis immédiatement interloqué par le gars qui lui dit que c’est fini, qu’elle peut se rhabiller et partir, sans plus de considération. Quel goujat ! Il me regarde et me dit de me placer à tel endroit en me tournant ainsi et de commencer mon striptease. C’est la première fois que je fais ça et il voit bien que j’hésite. Il s’énerve directement et me demande si moi aussi, je ne me suis pas préparé pour ce casting. Je lui avoue que non et de façon surprenante, son visage se transforme : il devient apaisé. La fille est partie ; nous sommes seuls Il s’approche de moi et me regarde avec une certaine tendresse. Il me chuchote : « allez mignon, je suis sûr que tu peux être super excitant ! » Il recule et fait comme un clap de cinéma et il dit « moteur ». Je me lance, je le regarde dans les yeux avec un air des plus coquins. Je commence par les chaussures puis les chaussettes que je jette dans sa direction. Je défais le haut en conservant ce regard provocateur. Je passe même ma langue sur mes lèvres et je dégrafe ma braguette. Dans un déhanchement qui me surprend, je fais coulisser mon pantalon le long de mes jambes. Il tombe lentement jusqu’à mes chevilles et je m’assois pour retirer une à une mes jambes de ce bout de tissu. Je reste assis et je commence à me flatter la bosse qui pointe au niveau de mon entrejambe. J’entre une main dans mon boxer et commence à me branler de façon ostentatoire tout en commençant à pousser de légers gémissements. Je me relève et me tourne. Je descends mon boxer et le laisse coulisser de la même façon que mon pantalon. Mon cul se dénude ainsi progressivement et je vois dans le miroir l’effet obtenu sur mon photographe : il sourit largement. Ma bite est au garde-à-vous et je remarque qu’il la regarde dans le miroir en même temps qu’il mâte mon joli petit cul bien rond, bien musclé et sans graisse. Je me tourne et il me félicite.
Il me dit qu’il est temps de passer à la scène de l’éjaculation. Là, je m’étais préparé car je m’en doutais. Pas de rapport ni de branlette depuis une semaine, je sens que je vais assurer. Il s’approche de moi et saisit ma queue en me fixant dans les yeux. « C’est bien, elle est bien raide. Je vais faire quelques photos en gros plan. » « Commence à te branler et essaye de faire vite. Approche-toi de la caméra. Tourne-toi comme ça et vas-y. » Il se place derrière la caméra et la manipule pour optimiser les réglages. Je ne fais pas traîner et sans mot dire, j’éjacule dans la direction imposée, un jet puis un deuxième qui va encore plus loin que le premier, au troisième, le photographe s’est positionné derrière moi et c’est désormais lui qui me branle en visant la caméra. Je suis surpris et super excité par cette main qui me branle et n’est pas la mienne. Du cou ...

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