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mon parcours de soumis

Publié par : soumdoc le 14/05/2019

Je me remets devant mon clavier pour continuer de vous raconter mon parcours. J’avoue qu’à la relecture de tout ce que j’ai déjà écrit, j’ai honte de ce que je suis devenu. Pourquoi honte ? Parce que j’aime ça. Je suis un objet sexuel mâle, prêt à tout pour satisfaire celui ou ceux qui veulent prendre du plaisir. Mon souhait aujourd’hui : Trouver celui qui va m’emmener, les yeux bandés, tenu en laisse, nu ou en dessous féminins, dans un endroit où m’attendront des hommes, combien ? Aucune importance. Ils m’obligeront à me mettre à quatre pattes, m’ordonneront d’ouvrir la bouche, écarteront mes fesses, enfonceront leur sexe, Deux me besogneront, les autres attendant leur tour en se masturbant excités par mes gémissements étouffés. Cela durera jusqu’à qu’ils se soient tous vidés dans ma bouche, mes fesses, répandus sur mon visage, mon dos. Qu’ils m’aient traité de pute, de salope, de chienne, de sac à foutre, tout ce qu’ils veulent, que j’ai entendu « avale salope » et « je viens de te féconder vieille pute » que j’ai répondu « Merci monsieur » à la question « qu’est-ce qu’on dit ? » J’aimerais que tout cela soit filmé pour pouvoir me voir subir et obéir, livré à leur convoitise.
Revenons à mon maître. Ce qu’il aimait, c’était m’attacher sur le lit, sur le dos ou sur le ventre, bars et jambes écartés. Quand j’étais attaché sur le dos, il s’asseyait sur mon visage « lèche-moi le petit trou », « Encule-moi avec ta langue ». S’il trouvait que je ne le faisais pas comme il voulait, le martinet tombait sur mon sexe « applique-toi » En même temps, il se branlait et quand il allait jouir, il se retournait et jouissait sur mon visage. Quand j’étais attaché sur le ventre, il commençait par me doigter, un, deux et enfin trois doigts, qu’il faisait aller et venir. Quand il jugeait que j’étais bien ouvert, il me sodomisait tout en passant ses mains sous mon torse pour aller me pincer les bouts des seins. Douleur et plaisir mêlés. Il me parlait à l’oreille « T’aime ça te faire enculer ma salope » « T’es ma femelle, ma petite pute à plaisir » « Sent comme je te remplis bien » et à la fin, je devais tourner la tête pour lui nettoyer la bite.
La deuxième visite des « copains » fut plus brutale que la première. Ayant toujours les yeux bandés, je n’ai pas pu voir, si c’était les mêmes. Après les préliminaires de la première visite, on m’emmena dans la chambre. Arrivé devant le lit, celui qui tenait ma laisse se mit derrière moi et enleva mon masque « Il faut que tu vois ce que tu vas faire » Il alla s’asseoir sur le lit, s’adossa au mur, écarta ses jambes. « Viens t’allonger entre mes jambes et engloutit ma bite dans ta bouche » Je m’exécutais. « Allez suce moi bien, bouge ta tête, salope » Je sentis qu’il prenait ma laisse dans sa main droite tout en posant sa main gauche sur ma tête en appuyant comme pour me donner la cadence « Allez suce, applique toi » L’instant d’après, il me donna un coup sur les fesses avec la poignée de la laisse « T’entends ce que je te dis, ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay