je suis Sylvia, une petite pute qui aime se travestir pour exciter les mâles, s'exhiber en tenue de salope et cela depuis quelques années maintenant. je commence donc à avoir une bonne expérience et mes partenaires que je rencontre au gré des lieux de drague que je fréquente sont généralement satisfaits par ma bouche et ma chatte anale très accueillante.
Il n'en a pas toujours été ainsi. Au début, je m'exhibais dans des lieux que je savais fréquentés mais l'excitation venait surtout du risque d'être découvert en tenue de femme et la honte que cela engendrait. Je portais toujours des escarpins, bas, porte jarretelles, culotte dentelle, jupe ou robe, perruque et maquillage, mon clito encagé et un petit plug anal.
Petit à petit j'en suis arrivé à attendre un ou des voyeurs que je laissais me caresser et que je branlais, mais pas plus.

Un jour, alors que je m'exhibais dans un endroit du côté de Fabrègues, que je fréquentais régulièrement, est arrivé un coquin qui restait toujours en retrait à mater les autres autour de moi. Ce jour là, nous étions seuls. Je lui demandais de s'approcher mais il me répondit qu'il n'était pas intéressé par les allumeuses dans mon genre et qu'il cherchait une pute soumise. Depuis quelques temps j'étais tentée par la soumission et lui répondit donc que cela m'intéressait. Il me dit alors de le suivre et nous suivîmes un petit sentier sur une centaine de mètres jusqu'à arriver dans un espace entre les arbres un peu plus dégagé. Un vieux matelas était au sol et je vis une corde qui pendait d'un arbre avec une paire de menottes en cuir au bout.
"C'est ici que je m'occupe des petites putes comme toi et si tu es toujours d'accord, je vais t'entraver les poignets". "je suis d'accord" lui répondis je "je suis à ta disposition" ajoutais je, sans savoir à quoi je m'exposais. Je sentais mon sexe grossir sous l'excitation mais ne pouvais vraiment bander dans ma cage à bite. C'était même un peu douloureux.
Il me mit les menottes, releva ma jupe et baissa ma culotte. Il me caressa les fesses et brusquement il se mit à y mettre des petites claques, de plus en plus fortes en me demandant si j'aimais cela. j'étais de plus en plus excité par la situation et lui répondit que oui. Il glissait sa main entre mes fesses en me caressant puis les écartait et tapotait le plug. "Je vois que tu t'es préparée de ce côté là, mais on verra ça tout à l'heure". Il m'ordonna de m'agenouiller sur le matelas et je me retrouvais les bras tendus au dessus de ma tête, maintenus par la corde et les menottes.
Il vint alors se placer devant moi, défit sa ceinture puis baissa son pantalon et son slip. Une belle queue un peu grosse, encore molle, apparut. "Finit les branlettes" me dit il " tu vas me sucer et tu as intérêt à me faire bander , sinon il y aura une punition". Je répondis "d'accord mais je n'ai jamais sucer". 3 Tant pis pour toi et sache que je n'ai pas besoin de ton accord maintenant puisque tu as dit te mettre à ma disposition". je commençais à me demander dans quoi j'avais mis les pieds. "Tu peux essayer de te plaindre ou de crier, de toute façon avec le bruit de l'autoroute et l'endroit où nous sommes, personne ne t'entendras". "Suce moi et fais ça bien, espèce de salope" "Et applique toi sinon tant pis pour toi". Je me demandais ce qu'impliquait ses menaces mais je n'avais pas le choix. J'étais pris à mon propre jeu et me retrouvais dans une situation qui m'excitait vraiment mais dont je ne maitrisais plus rien.
Je le pris dans ma bouche et commençais à l'aspirer mais il me dit de d'abord lui lécher le gland et les couilles. Petit à petit son sexe durcissait et devenait de plus en plus gros. "j'ai senti tes dents, fais attention" et j'eu droit à une petite claque au visage. je ne m'y attendais pas et j'avais honte de subir ainsi. Mais je m'appliquais et il me dit que j'étais une bonne suceuse. Puis il saisit ma tête au niveau de ...

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