Dans les semaines qui suivirent, je devins la star de la cour du collège. Je n’avais pu m’empêcher de raconter à mes camarades que j’avais perdu mon pucelage et j’étais naturellement le premier à qui cela arrivait. J’avais naturellement omis soigneusement tous les détails scabreux comme le rôle de mon beau-père, la participation à une orgie ou ma découverte du plaisir anal. J’avais pris des détails ici ou là pour constituer un scénario plausible et chaque fois que l’on me demandait de raconter mon aventure (ce qui arrivait souvent), je m’y conformais scrupuleusement.
Curieusement, Vincent ne m’avait pas reparlé de tout cela et la vie avait repris un cours normal. Je me caressais souvent en repensant à ce week-end hors du commun, sans plus. Un jour pourtant, il me demanda :
-Dis-moi, tu as retrempé ton biscuit depuis ton initiation ?
-Non, répondis-je un peu honteux, je n’ai pas eu l’occasion.
-Putain, mais qu’est-ce-que tu branles ? Ça a servi à quoi tout ça si tu n’en profites pas ? Je ne vais pas continuer à te fournir des chattes à fourrer, mon gars. Sors-toi les doigts, bordel !
Certes, il avait raison mais les filles de mon âge ne couchaient pas et je connaissais peu de jeunes filles plus âgées qui auraient voulu de moi.
Un vendredi soir, Vincent m’annonça :
-Paulo va passer te prendre demain après-midi. Il a quelqu’un à te présenter je crois.
Le samedi, vers 14h, Paulo arrivait. Il m’embarqua et m’emmena à l’extérieur de la ville vers une sorte de zone artisanale désaffectée. Il gara sa moto dans un bâtiment, alla fermer la porte métallique derrière nous et me fit signe de le suivre à l’étage. Là, une douzaine d’hommes nous attendaient. La plupart d’entre-aux avaient une bière à la main, un sourire narquois sur les lèvres.
-Les gars, voilà la suceuse qui va nous vider aujourd’hui. Vincent nous donne carte blanche pour en faire ce qu’on veut.
Et il me poussa violemment au milieu du groupe de mâles.
Trois ou quatre mecs se jetèrent aussitôt sur moi et en un instant je fus à poil au milieu d’eux. Les rires, les quolibets et les commentaires orduriers ne tardèrent pas à fuser dans lesquels revenaient les mots putain, cul, soumise, queue … J’allais être violé par 12 hommes avec l’autorisation de mon beau-père ! Quel enfoiré ! Mais je compris bien vite que je n’étais pas de taille à résister et que je n’avais aucune chance de fuir, surtout en tenue d’Adam. Aussi, quand le premier me présenta sa bite, je la pris en bouche sans hésitation.
-Putain, vous avez vu comme il se jette dessus. Elle n’attendait que ça cette petite salope !
Les autres mecs déboutonnaient leur jeans et je fus bientôt entouré d’une foule de pines dressées. Je découvris ainsi toute une variété de sexes masculins : petites, grosses, fines, épaisses, surmontant des couilles poilues ou totalement rasées, au gland rose, violacé ou même carrément brun, certaines déjà luisantes de pré-cum. Ma bouche passait de l’une à l’autre et je suçais, suçais, suçais à la chaîne tandis que des mains que je n’identifiais pas pelotaient mes tétons et mon cul. Ma langue comparait les goûts différents de leur mouille et s’en régalait. Rapidement, je sentis des doigts s’insinuer en moi et, bien qu’à genoux, je me cambrai davantage pour mieux offrir mon trou à leur possession. Progressivement, ils se mirent tous à poil. Ils étaient tous du même type que Paulo : forts, musclés, la plupart étaient velus. L’un d’eux se tourna pour me présenter son cul. J’engageai aussitôt ma langue dans la raie poilue et je sentis qu’on m’appuyait sur la tête pour me forcer à m’engager bien au fond. J’écartais moi-même les deux collines duveteuses pour déguster plus à l’aise la rondelle brune qui m’était offerte.
Soudain, je sentis un liquide chaud tomber sur mes reins et couler sur mon cul. Cette sensation de tiédeur sur m ...

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