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Mon beau-père m'initie (10ème épisode)

Publié par : oscar29 le 26/08/2024

Enfin, je décidais qu’il était temps de donner satisfaction à Vincent en trouvant des occasions de faire l’amour, le but essentiel étant qu’ensuite je lui raconte tout dans le détail.
Les vacances d’été étaient arrivées. Vincent et ma mère partaient en couple en Haute Savoie, «histoire de tenter de réparer leur couple en perdition ». Il fut décidé que de mon côté j’irais en vacances chez l’un de mes oncles paternels qui habitait près de Toulon. J’aimais beaucoup mon oncle Michel et ma tante Annie et la perspective d’un séjour chez eux me faisait plaisir. Néanmoins, ils étaient tous les deux très « coincés » et je savais que je serais très surveillé. Vincent comptait sur moi pour lui ramener des souvenirs croustillants et j’avais décidé de ne pas le décevoir. Aussi, dès le lendemain de mon arrivée, je me mis en quête de jeunes filles à conquérir et la plage me semblait le lieu idéal.
En parcourant les chemins côtiers à vélo, je tombais un matin par hasard sur une plage que je ne connaissais pas. C’était une petite crique que le chemin dominait mais la végétation était si dense qu’on apercevait qu’un tout petit morceau de sable et oh, surprise ! les trois ou quatre personnes que je pouvais apercevoir étaient toutes nues. C’était une plage naturiste. Aussitôt mon sang ne fit qu’un tour et l’envie d’en voir plus m’envahit aussitôt. Je cachais mon vélo dans un bosquet et, descendant doucement le chemin, je me mis à l’abri pour observer à mon aise. Ainsi dissimulé dans un bouquet d’arbustes, je jouissais d’une vue complète sur la crique. Une vingtaine de personnes bronzait dans le plus simple appareil. Pas de gestes ou d’attitudes équivoques, juste des naturistes qui profitaient du soleil. Mais les hormones d’un jeune homme de seize ans sont si actives que la vision à la dérobée du moindre carré de peau inhabituel peut réveiller des feux vite incontrôlables. Accroupi dans mon buisson, je me caressais ardemment à travers mon short, avec une telle concentration que je n’entendis pas des pas s’approcher.
-Alors, on se rince l’œil, Monsieur le voyeur ?
Je sursautais et levant les yeux, je découvris deux jeunes filles d’une vingtaine d’années qui gloussaient en me regardant d’un air narquois. En une seconde, je me dis que je tenais ma chance et je me relevais pour leur faire face. A la bosse qu’il arborait, mon short révélait largement ma splendide érection et c’est sans aucune gêne que je les laissais l’observer. Elles ne firent d’abord aucun commentaire mais l’air moqueur qu’elles affichaient disparut. M’ayant pris pour un jeune puceau, elles étaient surprises de mon aplomb et manifestement troublées. Je rétorquais :
-Quand on se fout à poil à la plage, c’est qu’on aime se montrer, non ? autant que des voyeurs puissent en profiter. Vous descendez ?
-Oui, tu veux venir avec nous ? Tu n’auras pas besoin de te cacher comme ça ! à moins que ça te gêne… ?
-Pas du tout !
C’est donc accompagné de mes deux sirènes que je me retrouvais sur une plage naturiste pour la première fois de ma vie. L’ennui c’est que, malgré l’aspect inattendu de la situation, mon érection ne mollissait pas. Heureusement, elles décidèrent de longer la falaise pour aller s’installer à un bout de la crique et je n’eus pas à passer devant tout le monde avec mon short dressé comme un chapiteau de cirque. En quelques secondes, nous fûmes nus tous les trois mais comme je n’avais pas prévu de descendre prendre un bain de soleil ici, j’avais laissé ma serviette sur le porte-bagage de mon vélo. L’une des filles, Valérie, me proposa donc de partager la sienne. Heureusement que nous étions un petit peu à l’écart car des autres vacanciers car le contact de sa peau sur la mienne ne fit naturellement qu’aggraver ma bandaison.
-Tu as l’air cool, comme mec. Tu as quel âge ?
-18 ans, mentis-je.
-J’aurais pensé moins, déclara l’autre demoiselle prénommée Stéphanie. C’est la première fois qu’on te voit ici.
-Oui, je suis en vacances chez mon oncle à P…. Je suis tombé sur cette crique par hasard.
-Tant mieux pour nous, déclara Valérie.
Je la regardais, interrogateur. Que signifiait ce « tant mieux » ? Comme pour répondre à ma question muette, elle posa une main sur mon torse et commença à me caresser. Elle agaça mon téton entre son pouce et son index.
-Tu es mignon, murmura-t-elle, et tu as de beaux arguments.
Stéphanie, de l’autre côté, jouait avec mon autre téton.
-Nous, nous sommes à côté au club de G…. C’est la troisième fois qu’on vient. On est là pour s’amuser mais, cette année, il n’y a que des beaufs. Depuis deux jours que nous sommes arrivées, pas un mâle potable à l’horizon.
Au moins les choses étaient claires. Eh bien, si ces demoiselles voulaient de la bite, elles allaient en avoir !
Le parasol que Stéphanie avait intelligemment positionné ne nous protégeait pas du tout du soleil mais nous abritait presque entièrement des regards voisins et c’est sans hésiter que la main de Valérie descendit doucement vers mon ventre puis se saisit de mon sexe qu’elle commença doucement à branler. La faim les tenaillait manifestement, je n’avais qu’à m’offrir pour être dévoré. La bouche de Stéphanie descendit sur la mienne et sa langue au goût de pêche s’insinua doucement. Excité par ce contact buccal délicieux et la main de la copine qui me travaillait habilement, je sentais mon sexe prendre encore plus de rigidité au point d’en être presque douloureux. La bouche de Valérie se substitua bientôt à sa main, aussitôt rejointe par celle de Stéphanie. Bien protégées par l’opacité multicolore du parasol, elles se laissaient aller avec gourmandise à leur péché mignon. C’était sans compter sur une espiègle petite brise qui vint s’engouffrer dans notre bouclier de tissu et le fit basculer de sorte que notre petit jeu fut visible de toute la plage. Valérie bondit aussitôt pour le remettre en place mais le mal était fait. Nous avions été vus. Aussitôt, Stéphanie proposa que, pour davantage de tranquillité, nous montions à leur bungalow. Le club de G… en effet dominait presque cette crique et en cinq minutes nous pouvions y être. Maillots remis, nous avons repris le chemin en sens inverse. Au passage, un plagiste près de qui nous passions me lança d’un air goguenard : amuse-toi bien, petit. Nous fîmes un petit détour pour récupérer mon vélo et en quelques minutes, nous étions à la porte de leur logis. C’était un joli chalet composé d’une pièce principale et de deux chambres. Comme les portes des deux chambres étaient ouvertes, je notais qu’un seul lit était défait. Je le fis remarquer.
-Tu as l’œil dis donc ! rétorqua Stéphanie. Puis avec un sourire coquin : veux-tu voir comment se passent nos nuits ?
Sans même attendre ma réponse, elle me poussa légèrement pour me faire asseoir sur un petit pouf qui se trouvait près du lit. Là, je pus admirer avec délice le spectacle qui commençait.
Tout en s’embrassant langoureusement, elles commencèrent par se déshabiller. Une fois nues, elles s’allongèrent sur le lit. Leurs mains couraient sur le corps l’une de l’autre, effleurant un sein, caressant une épaule, suivant la courbe d’une hanche. Ce fut Valérie qui eut les premiers gestes décisifs. Avec précautions d’abord puis de plus en plus d’insistance, elle attarda ses lèvres sur les tétons dressés de Stéphanie. Celle-ci commença immédiatement à gémir. De temps en temps, Valérie jetait vers moi un regard complice et poursuivait sa mission avec ténacité. Manifestement, les seins de Stéphanie étaient très réactifs et sensibles à ce type de traitement. Valérie fit alors glisser ses baisers vers le ventre de son amie. Un petit moment, elle s’arrêta sur le joli coquillage du nombril, visitant la petite cavité du bout de la langue. Puis, reprenant son pèlerinage, elle vagabonda jusqu’au pubis impatient de la jeune fille. Avec douceur et patience, elle agaça le moindre centimètre carré de peau douce, toujours en évitant d’atteindre trop vite le temple du plaisir. Sa langue errait de l’aine aux cuisses, frôlant dangereusement au passage les lèvres déjà frémissantes. Après quelques minutes de ce doux traitement, Stéphanie posa la main sur les cheveux de Valérie. Celle-ci pris cela pour un signe d’assentiment et posa enfin ses lèvres sur la vulve gonflée. Avec toujou ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Jeunes, A plusieurs