Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Roland a des mains et des doigts énormes épais comme ma bite. C'est un travailleur manuel depuis toujours. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait Samuel, s'occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu'il abaissa pour gouter sa verge. S'abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Mon fils s'était abaissé pour sucer son zob, je m'étais abaissé à nettoyer ce qu'il a de plus sale. On s'abaisse pour lui.
Une caresse prodiguée par les doigts de Roland courant dans mon rectum. Je gémissais pour de bon, en continu. Il me défonçait l'anus avec ses doigts. Pendant ce temps, ma langue s'enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J'avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c'était son anus qui contentait ma faim. Car c'était cela : j'avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J'eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.
Je le regardais, l'oeil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui, à présent, ne m'intéressait plus. J'avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et ses énormes burnes. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchai mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brulant.
D'un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il m'attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.
" Salope ! "
Puis il me retourna sur le ventre, j'avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.
Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m'asséna une claque sonore sur la fesse.
" Écarte tes fesses, grosse pute ! "
Encore une fois, je m'exécutais. Je baissais les yeux, rouges de honte. Mon beau-père allait m'enfiler, comme une femelle. Et moi, je n'attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J'étais une salope pour lui. Il rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m'avait doigté.
Je n'en pouvais plus. J'étais humilié comme jamais mon anus s'ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit. Je ne tenais plus. Je l'implorais, le cul ouvert.
" Baise-moi, baise-moi prends-moi ! Je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te tèterai la bite, mais pitié, BAISE-MOI ! "
J'essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n'était apparemment pas suffisant. Il ne me pénétrait toujours pas. Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n'importe quoi. Je commençais à pleurer. Il faisait durer le plaisir, je ne pouvais rien faire qu'attendre son bon vouloir. Puis d'un coup, une douleur fulgurante me traversa le cerveau. J'avais les yeux écarquillés et le souffle coupé.
Mon fils se pencha sur moi :
" Il en a enfoncé la moitié d'un coup. Tu dois avoir mal. Mais ne t'inquiète pas, tu aimeras ! "
Il me caressait le dos, lentement, en me parlant doucement.
" Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m'occuper de toi, va. Tiens, mange ça ! "
Il me présenta ses doigts à sucer.
Après quelques instants, je commençais à me détendre. Il le sentit et commença à reculer doucement sa bite, avant de me la ré enfoncer avec force.
Je me sentais... envahi. J'avais quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prenait possession de mon fondement. Des mains rassurantes me retenaient par les hanches.
Il prenait quelques instants pour me flatter la nuque, ou caresser mes flancs. Il jouait quelques secondes avec mes seins. Mon souffle revenait. Il devenait chaud, et profond... Je soupirais bientôt. Lorsqu'il était entré, je me sentais rempli. J'étais bien... Lorsqu'il se retirait, je me sentais vide, et je voulais qu'il reprenne sa place. Mais c'était la lente caresse de sa virilité dans mon humidité qui me procurait le plus de plaisir. Je commençais à sentir quelque chose au niveau des couilles. Une sorte d'électricité passagère. Soudain, dans un râle, il plongea entièrement en moi en m'attirant à lui.
" Voilà, c'est à moi ! "
Ses énormes couilles recouvraient les miens, plus modestes. Son bassin collé au mien témoignait de sa domination sur moi. Son ventre qui écrasait à présent mes reins, ses jambes qui contrôlaient les miennes, ses larges mains qui lui permettaient de m'enfiler. Il ressortit la longueur de son zob, et la replongea avec vigueur et détermination dans mon trou béant. Était-ce lui qui m'empalait, ou moi qui servais de gant à sa bite ? Je lui servais de sac dans lequel il plongeait sa virilité. Il accéléra peu à peu le mouvement, et moi je commençais à ahaner mon plaisir.
" Ah, putain, t'aimes ça hein ? Regarde Samuel ton papa il aime se prendre ma queue... "
Roland imprimait sa vitesse, de plus en plus grande, et c'est lui qui ret ...
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