Après avoir franchi le pas de ma féminisation et de mon dépucelage en tant que fille, je continuais dans cette voie, entre les jolies habits, le maquillage, les faux ongles, j’étoffais ma garde-robe, et je cherchais la compagnie des hommes et de leur concupiscence.
Je fus rapidement relancée par mon vieux vicieux qui m’avait pris mon pucelage et m’avait violé la bouche. Comme à son habitude lorsqu’il me parlait, il ne s’embarrassait pas des manières et me bousculait en me parlant de manière très crue. Ce qui à vrai dire, ne me laissait pas indifférente.
Après avoir longuement discuté avec mon vicieux pervers et m être fait traiter de catin, de pute, de vide couille, celui-ci fixe un rendez-vous pour continuer mon apprentissage. Rendez-vous est pris, je dois arriver chez lui en fille et apprêtée. Ma tenue a été choisie par lui pour la circonstance : cuissardes noires en vinyle, bas résille, string ficelle soutien-gorge et porte jarretelle en vinyle noir, une petite veste légère en vinyle, ma perruque rousse, un maquillage appuyé avec un rouge a lèvre très rouge et des faux ongles rouge flashy. Me voilà donc apprêtée comme la plus vulgaire des filles de trottoirs.
Je fais attention en sortant de mon immeuble afin de rester discrète, ma tenue de péripatéticienne en dit long sur mes activités à venir. Je rejoins mon véhicule et part chez mon souteneur pour la nuit.
Arrivée la bas, personne dans la cour, je sonne donc apprêtée, une légère brise caressant mes fesses très peu couvertes. Il m’ouvre, me dévisage, me fait un grand sourire, apparemment, ma tenue a l’effet escompté. Il me lance un « salut putain » qui devient à présent naturel venant de sa part. Je pénètre chez lui, son chien vient renifler mes cuissardes, je tourne la tête dans le salon et la je vois un autre homme qui me dévisage de haut en bas. Il lance à mon pervers « tu as raison, c’est une belle pute ». Je suis prise au dépourvu. Je ne m’y attendais pas. Mon vicelard me mets une claque sur le cul et me dit dans l’oreille « tu es une pute et une pute ça vide des couilles, quand il y en a pour un, il y en a pour deux ». Me voilà bien assignée à mon rôle et à ma tenue. Le deuxième se rapproche de moi, et me tâte, le cul, les seins, comme une marchandise. Il se plante devant moi et me dit d’un air autoritaire « allez, bosse salope, branle moi avec ta bouche espèce de trainée « tout en appuyant fort sur mes épaule, ce qui me force a m’agenouiller. Je me retrouve devant un sexe assez long qu’il s’empresse de fourrer dans ma bouche en appuyant fort sur ma tête. La pénétration es soudaine et je hoquète en me prenant son gland dans la luette. Je prends tout doucement la mesure de cette bite et commence à m’activer à mon rythme pour bien la prendre en bouche et aller le plus loin possible. Le deuxième larron, a également sorti son sexe, toujours aussi épais, il me tripote le cul pour ensuite me saisir la tête et de nouveau me faire aller et venir de force sur la bite de son comparse. Me voilà en train de sucer, voire engloutir avec une vitesse folle ce chibre, la bave s’accumule sur sa bite, elle dégouline sur mon haut, ma jupe, mes bas, les deux compères se félicitent de me voir salie.
Une fois ce traitement terminé. Mon pervers s’assoit sur le canapé, me met à quatre pattes et m’enfourne sa bite dans la bouche en s’allumant une cigarette. Me voilà donc dans une position plutôt dégradante, je suis une vulgaire pompeuse qu’on prend et que l’on jette juste pour s’essuyer la bite et se vider les couilles. Mais cette image m’excite au plus haut point. Mon premier baiseur de bouche de la soirée, a écarté mon string et fourré une grande langue dans mon cul, elle est chaude, moelleuse et très baveuse. J’astique avec ma main et ma bouche tant bien que mal ce gros chibre, j’utilise ma bouche littéralement comme un sexe que l’on pilonne pour faire réagir mon fumeur et lui montrer de quelle pipe je me chauffe. Peu a peu, je me laisse envahir par la chaleur de cette langue dans mon cul, je jette un œil à mon second salaud, celui-ci n’est plus accroché a mon cul, il a son chibre en main et encourage le chien qui me fourre littéralement le cul avec sa langue, seconde surprise de taille, je suis à la merci d’un chien, les deux ont décidé de m’ avilir. Le premier en finissant sa cigarette me prend par les cheveux, en profite pour me cracher au visage et explique en rigolant que je suis maintenant une bonne chienne. l’autre protagoniste en profite pour me claquer le cul, me crache sur la rondelle et me dit « tu es lubrifiée poufiasse, maintenant on va te bourrer le cul » Mon cracheur me retourne, et appuie son gland sur ma raie et commence a appuyer dessus, afin de bien m’immobiliser, il mets son pied sur ma tête. Je suis donc le cul en l’air la jupe relevée avec son gland qui commence a m’ouvrir et la face contre le carrelage maintenue par son pied. Je suis vraiment considérée comme un sac ...
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