je me suis agenouillé dans l herbe lui prenant la queue en main quelques instant avant de sucer avec
fougue ! Je cédais enfin à mes envies et très vite me mettais à lui laper la queue sous ses râles et
autres compliments. Parmi eux , je me souviens d un ….. « Je ne pensais jamais me taper une bonne
bourge comme toi » … Ses quelques mots enflammaient le peu de lucidité me restant . Très vite, le
type m a stoppé me faisant relever et tourner vers la barrière….
Barrière ? Je n en avais plus moi ! Certaine de mon destin , je me positionnais en prenant appuis sur
celle-ci et creusais les reins en écartant les jambes sans aucun scrupule . J ai sentis ses mains me
trousser la robe et quel plaisir … je me suis mise à gémir tout en remuant les fesses de gauche à
droite avec volupté … Les doigts du type dans ma raie ont faillit me faire jouir … l entendre cracher
dans sa main , sentir cette même main glisser entre mes cuisses …. J ondulais de plus belle …. Un
doigt c est introduit furieusement en moi , quelques va et vient dans ma petite chatte détrempée et
le type qui me demande si je veut qu’ il m en mette un second ….. je ne me contrôlais plus et lui
répondre « non je veut ta bite » ne me ressemble vraiment pas ! C est pourtant ce que je me suis
entendu lui répondre ! Évidement monsieur ne s'en est pas plains , bien au contraire … j ai sentis son
gland sur mes lèvres et j ai râlé un oui iii tout en me poussant sur sa queue . Ho lala sentir enfin une
queue entrer en moi. .. je ferais les yeux sans cesser de râler ! Quelques allers retours en moi bien
accroché à mes hanches alors que je m offre à sa queue les rein creusés … quelques bonne petites
fessées sur mes fesses charnues. … je grondais de bonheur . Un instant je l ai sentis s entêter à
l’attraper un sein . Le décolleté de ma robe était si grand que je n'ai eu aucun mal à ôter les bretelles
de l étoffe qui déjà m arrivaient au avant bras . Le bougre s'excitait sur moi et c était loin de me
déplaire . La robe sur les hanches, ses coups de reins me proposaient en avant, mes seins venaient
allègrement toucher le métal froid de la barrière. … par instant mon cavalier me saisissait un sein qu’
il pétrissait sans vergogne … le sentir crisper, l entendre grogner derrière moi me rendait folle…. « tu
aimes cela m’a salope ? » plus rien ne me freinais. .. « oui j aime ta queue mon salop » « dit moi
que tu es ma pute ? » « ho oui mon cochon je suis une pute qui aime la bite »
Durant 10 minutes j ai subis ainsi les assauts de ce mâle en furie .. à force de coups de reins , j avais
les seins sur la barrière les avant bras passé entre les barres . Quelques f ...

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