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moi et ma belle mère

Publié par : marcello11 le 04/08/2020

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Dans les années 80, j’avais 25 ans et j’étais marié depuis 5 ans. La mère de ma femme, Josée, avait elle 50 ans et elle était vraiment très belle. C’est pas compliqué, depuis 8 ans que je connaissais ma femme, elle me faisait fantasmer, mais bien sur vu mon jeune âge, je n’avais jamais oser aller plus loin que mes pensées, même si lorsqu’elle s’habillait un peu plus court, je lui faisait toujours remarquer que cette robe ou ce chemisier lui aillait parfaitement.
A cette période là j’avais passé plusieurs mois au chômage et j’avais donc du temps de libre. Un été, alors que je trouvais seul en banlieue parisienne, mon épouse étant parti quelques jours avant nous dans le sud de la France, Josée me demanda si je pouvais venir l’aider un jour ou deux pour remettre en ordre sa cuisine (peinture, déplacement et achat de mobilier de cuisine).
On a bien bossé durant ces 2 jours pour remettre sa cuisine comme neuve. Le premier soir j’avais dormi chez Josée pour commencer de bonne heure le lendemain. Et le second soir, je pensais rentrer chez moi, mais Josée me dit :
« Ce soir, pour te remercier, j’ai prévu un bon petit repas ici tous les deux, et puis tu dormiras ici et tu repartiras demain matin »
Devant mon approbation, je suis allé me doucher et quand je suis descendu dans le salon, la table était mise et l’apéritif servi. Josée avait mis une petite robe légère, très simple mais très près du corps et surtout échancrée, ce qui me faisait penser qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Déjà je commençais à bander.
Le repas s’est super bien passé et nous avons bavardés tous les deux comme des adolescents, l’apéro et le vin y étaient aussi pour beaucoup. Bref, super soirée.
Josée me proposa d’aller marcher un peu en bord de seine, tout près de sa maison.
Il devait être 22h et nous sommes sortis. Je fus surpris que sitôt dehors elle passa son bras sous le mien, ce qu’elle n’avait jamais fait. Devant mon étonnement, elle me dit :
« Je te prends le bras, c’est plus sécurisant pour moi , ça ne te gêne pas, j’espère ?».
« Du tout Josée, je suis très fier de donner mon bras à une belle femme comme vous »
Elle n’a rien dit, mais j’ai senti que mon compliment lui avait été droit au cœur, et qu’elle l’avait bigrement apprécié.
Nous avons marché au moins une heure en bord de seine, et c’était très agréable. D’un coup Josée me dit :
« J’ai très envie de faire pipi, tu crois que je peux le faire là ? ».
Oui, elle aurait pu le faire là, mais voyant immédiatement une opportunité possible, je lui répondis :
« Non Josée ici il y a trop de passage, je connais un endroit tout près d’ici ou vous pourrez vous soulager sans risque d’être vue ».
Effectivement, a moins de 200 m, je connaissais un endroit ou il y avait un escalier qui descendait tout au bord de la seine, et ou j’avais déjà été et où je m’étais même branlé.
Une fois arrivés à cet endroit, je voyais que Josée avait très envie de pisser. Il y avait une très grosse pierre devant elle, et elle me dit :
« Tu sais la nuit, je ne me baisse jamais pour pisser, j’ai trop peur qu’une bête me pique »
« Appuyez vous sur le rocher et je vais tenir votre robe relevée ».
Quand j’ai vu qu’elle écartait tout grand ses jambes, j’ai compris de suite qu’elle ne portait rien sous sa robe. Non seulement, je me suis mis à bander comme un taureau, mais j’ai pris sa robe et je l’ai nouée autour de sa taille, laissant apparaître ses magnifiques fesses potelées et toutes nues. Putain qu’elle était belle comme ça.
« C’est sur que comme ça je vais pas me pisser dessus, mais toi tu vas te rincer l’œil »
« Oui Josée non seulement je me rince l’œil sur vos fesses si belles mais en même temps vous portez la tenue favorite pour une femme, c’est à dire nue sous sa robe »
Elle ne dit rien, mais ni tenant plus, je me suis risqué à passer ma main sur ses hanches nues, et comme il ni avait aucun recul, j’ai poursuivis mes caresses sur le début de ses fesses en lui disant :
« Josée vous avez une peur très douce, une peur de bébé »
« c’est gentil et toi tu as des mains très douces aussi »
Je bandais encore plus, et là j’ai commencé à passer ma main carrément dans sa raie, tout en me mettant à genoux. J’avais une main dans sa raie chaude et je commençais à lui faire des baiser sur les fesses, puis je suis allé caresser son minou rasé. Sa chatte était humide et j’ai commencé à la branler.
« ho mais fais attention je vais finir par te pisser sur la main ».
Ni tenant plus, je me suis relevé, j’ai retourné Josée en lui disant :
« Josée embrassez moi, vous m’excitez trop, cela fait des années que j’ai envi de vous, que je me branle en pensant à vous, embrassez moi Josée, je vais vous donner tout le bonheur que vous méritez »
Elle m’a embrassé, je ni croyais pas, ma belle mère avait sa langue au fond de ma bouche et moi ma main sous sa robe en train de la branler. J’ai vu qu’el ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Uro/Scato