A l’âge que nous avions, Guillaume et moi, au début de ces deuxièmes grandes vacances dans sa belle campagne, se vivent beaucoup de changements. Intellectuels, psychologiques, physiques…L’adolescence est bien là, avec son cortège de bons et moins bons moments à passer. Nous n’en passions alors que des bons. Nos journées se ressemblaient beaucoup : travaux à la ferme, moissons, balades en vélo mais surtout et avant tout, exploration commune de délices clandestines.
Après nos retrouvailles si chaudes et si fortes, notre vigueur nous faisait rechercher la jouissance au moins deux fois par jour ; nos corps nous semblaient inépuisables.
La variété des positions aussi. Le « peau contre peau » nous faisait planer. J’adorais être nu, allongé sur le dos, cuisses écartées, sexe dressé et le voir s’allonger sur moi de tout son long. Sa main saisissait nos deux tiges gonflées en même temps, et les branlait tout doucement, engoncées quelles étaient entre nos deux ventres. Je serrais ses cuisses et ses flancs entre les miennes, mes deux mains lui caressaient le dos, le cou, de plus en plus les fesses en les pétrissant fermement. Je le pressais contre moi, souvent je sentais ses frissons, ses contractions, la caresse de son souffle. Ma main allait rejoindre et remplacer la sienne autour de nos sexes. Il se soulevait alors un peu, se mettant à quatre pattes, nos regards plongeaient vers nos sexes. Nous sentions monter la sève, et cette année-là, l’un comme l’autre, nous commencions à comprendre que la vitesse de jouissance n’était pas toujours souhaitable. Alors, on savait arrêter le mouvement, garder les doigts bien serrés à la base des deux tiges, sentir le sperme s’arrêter de monter, avant de repartir dans les mouvements de poignet du plaisir animal partagé. On roulait l’un sur l’autre, c’est moi qui me retrouvais au-dessus de lui, faisant en sorte de me redresser, serrant toujours ses flancs entre mes cuisses, continuant la masturbation en alternant une prise ferme et un poignet souple. Les souffles se faisaient plus forts, jusqu’à se trouver au bord du plaisir que nous faisions en sorte de ressentir en même temps. La jouissance venait, accompagnée de jolis soupirs, d’exclamations feutrées, de « putain ! c’est bon » ou de « je jute ! » chuchotés. Les jets de sperme mélangés atteignaient souvent nos poitrines, quelquefois aussi nos cous. Une fois la source tarie, celui qui était dessus se réallongeait de tout son long, dans le but de frotter nos peaux ainsi spermées. On appelait ça nos crèmes solaires, et on aimait cette sensation.
Inévitablement, nous en sommes venus à sentir le goût de ce sperme ainsi mélangé sur nos lèvres et nos corps, car nos embrassades reprenaient presque toujours après le premier jet expulsé. Pas de dégoût, mais au contraire, une curiosité éveillée sur cette façon radicale d’associer le sens du goût à nos ébats. De plus en plus souvent aussi, on a pris l’habitude d’humecter nos doigts de salive avant de saisir le sexe de l’autre, pour les replier ensuite afin de saisir et malaxer le gland, alors que, de l’autre main, on tirait le prépuce en maintenant ainsi le pénis décalotté. Les sensations devenaient quasi électriques et remontaient jusqu’au creux du ventre.
Nous apprenions ainsi, tous les deux, à améliorer mutuellement nos techniques masturbatoires, alors que la plupart du temps, ce type de manœuvre exploratoire se pratique honteusement seul, sous la couette.
Insensiblement, instinctivement, cela nous amenait à quitter le champ du plaisir purement manuel, pour nous rapprocher de pratiques plus « orales ». Plus le goût du sperme nous était familier, plus naissait en nous l’idée d’explorer encore plus loin cette nouvelle gamme de sensation.
Souvent, après un premier assaut, si nous en avions le temps, un deuxième ne tardait pas à suivre. Mais pas dans la même position. Celui qui n’était pas sur le dos se mettait à genou à côté de l’autre, fesses contre talons, et se remettait à branler allégrement son partenaire, lequel envoyait son bras pour lui rendre la pareille, malaxant son sexe et ses bourses. On parlait quasiment normalement de choses et d’autres tout en se branlant de la sorte, racontant nos histoires d’ados, nos délires, exprimant nos fantasmes qui étaient toujours peuplés de corps féminin inaccessibles.
La jouissance revenait alors, d’autant plus fournie que nos fantasmes étaient puissants. Celui des deux qui dominait l’autre se vidait copieusement sur le corps allongé du partenaire, qui recevait lui-même son propre sperme sur le ventre. J’aimais la sensation de chaleur du sperme arrivant sur mon ventre et ma poitrine, dans le creux situé à la base du cou, en dess ...
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