Des vacances à la ferme… Quoi de plus riche et de meilleure pour un citadin ? La chance aura voulu que je passe les miennes dans une ferme d’élevage, à partir de l’âge de 16 ans. Des amis de mon grand-père, une famille très nombreuse. Puisque mes parents n’avaient pas assez de temps disponible pendant les grandes vacances, mon grand-père prenait deux chambres dans un hôtel proche. Lui, il allait se promener, pêcher, moi j’allais en vélo passer mes journées à la ferme. Sur les deux mois de grandes vacances, on passait ainsi au moins quatre ou cinq semaines.
Nous étions quelques ados à peu près du même âge : deux frères, un de leur cousin, de temps en temps des copains, et moi « le gars de la ville » qui n’y connaissait pas grand-chose à la campagne.
Parmi les garçons, l’un d’entre eux s’appelait Guillaume. Il avait mon âge et c’est avec lui que je me suis tout de suite senti bien. Lui aussi avait l’air de m’apprécier, et il adorait m’apprendre la campagne. Traire les vaches, nourrir les animaux de basse-cour, aller au potager… C’était tout aussi intéressant que de se promener avec lui et de faire du vélo. Et puis dans les fermes d’élevage, certains spectacles liés à la reproduction animale étaient diablement intéressants et instructifs pour moi.
Il faisait très chaud cet été là, donc, y compris la nuit, qu’en principe je passais dans ma chambre d’hôtel. Mais Guillaume m’a proposé de coucher une nuit dans le foin avec lui. Mon grand-père m’a autorisé à le faire, l’oncle et la tante de Guillaume, propriétaires de la ferme ont aussi donné leur autorisation et Dominique, leur grand fils, le cousin de Guillaume, a juste dit en rigolant à moitié : « J’espère que vous ne fumez pas encore ! » On était sages sur ce plan là ! Le soir arrivé, avec des couvertures, des lampes de poche, on est parti dans la grande étable où on avait passé la journée à s’arranger un bon coins entre les bottes de foin, style château fort.
On s’est couché c’était agréable, les longues journées de Juillet, la chaleur… Très vite on s’est retrouvé tous les deux en short et torse nu. Comme on allait souvent à la piscine, on en avait l’habitude, mais ce soir-là, Guillaume a entamé la discussion sur des sujets qu’on n’avait jamais abordés avant.
Les filles bien sûr ! Questions classiques : tu en as déjà embrassé une ? Les filles qu’on voyait à la piscine, leurs seins, leurs culs… Guillaume et moi on s’est monté des plans, on a parlé d’une de ses cousines qui étaient vraiment belle, d’une autre qui était restée plate comme un garçon…
La discussion provoquait ses effets dans nos deux shorts, et tout d’un coup Guillaume m’a demandé : « Et là, toi, tu bandes ? » Je lui ai répondu, après une petite hésitation : « Ben, oui ! » Il a tout de suite enchaîné en me disant que je n’étais « pas cap » de lui montrer que c’était vrai. Et moi, piqué, et un peu excité, je lui ai dit « Je le fais si tu le fais ! » Et nos deux shorts ont été abaissés tout de suite. On était allongés l’un à côté de l’autre, et nos deux sexes étaient fièrement dressés. Aucune gêne, pas de pudeur. Naturellement, ma main est descendue vers mon sexe, la sienne pareille et on a commencé chacun à se branler, sans rien dire.
C’était vraiment le premier sexe masculin différent du mien que je voyais « en vrai ». On ne se branlait pas exactement de la même façon. Moi, j’aimais les longs vas et vient, avec les doigts bien serrés autour de la tige. Lui était plus lent, il caressait son gland, le mouillait de salive, variait la vitesse… Et puis, on a joui tous les deux, à peu près en même temps, en regardant l’autre. On n’a plus tellement parlé, on a fini par s’endormir
Le lendemain, tout est normal, sauf que de temps en temps, Guillaume me demande « Tu bandes là ? » en faisant attention à ce que personne ne nous écoute… Durant les jours qui suivirent, les jeux furent comme avant, mais les allusions continuaient et pour ne pas avoir l’air bête, je lui demandais aussi de temps en temps des nouvelles de sa bite, en rigolant…
L’idée d’une autre nuit dans le foin avait fait son chemin, et on s’est tous les deux retrouvés dans la même situation, et les mêmes causes ont produit les mêmes effets. Sauf qu’après avoir joui, on ne s’est pas endormis tout de suite. A cet âge-là on reprend vite force et vigueur, et on a réussi à se réexciter rien qu’en continuant à délirer sur toutes les filles qu’on connaissait. Alors nos mains ont recommencé leur ballet. On était tous les deux allongés sur le côté, l’un en face de l’autre, et nos jeunes sexes étaient de nouveau érigés dans toute leur splendeur.
L’étape suivante, c’est moi qui l’ai déclenchée. J’ai demandé à Guillaume « Tu veux que je te le fasse ? » Là, j’ai vu ses yeux un peu se figer, son sourire aussi, il hésitait visiblement. Ma main est alors partie vers son sexe, et l’a saisi comme moi j’avais l’habitude me toucher. Son sexe était plus fin que le mien, un peu plus long, c’était une sensation merveilleuse. J’ai senti ...
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