Cela commence à faire un certain temps que j’ai pu faire venir Lionel dans ma chambre, chez M.Paul. Depuis ce jour, comme décrit dans l’histoire précédente, ce dernier n’a de cesse de me demander de refaire venir Lionel, un jeudi après-midi, pour qu’il s’occupe de son petit cul, qu’il a entrevu. En plus, la fréquence des déplacements de sa femme est plus importante, et il est désormais seul tous les jeudis ! Occupé à mes études, je lui ai quand même fait comprendre que je ne pourrai pas lui consacrer tous mes jeudis après-midi, mais il est clair que la fréquence va s’intensifier. Enfin, après pas mal de discussions, d’annulations de dernière minute, le plan tant attendu a pu se réaliser. M. Paul a réussi à obtenir la présence de Jean-Pierre conformément à mes souhaits. Je rêve d’un plan à quatre et cela fait aussi partie des fantasmes de Lionel, qui s’avère être encore plus obsédé que je l’imaginai…
Arrivés dans ma chambre, M. Paul se présente immédiatement à nous. Rapides présentations, M. Paul nous demande de le suivre. Nous montons, et contrairement à l’habitude, nous allons jusqu’au grenier, que je n’avais encore jamais vu. Nous sommes au printemps, et malgré la rusticité des lieux, il fait une température agréable. De toute manière, nous sommes là pour nous réchauffer ! Jean-Pierre est installé sur un divan, il feuillette une revue porno. Là encore, les présentations sont rapidement effectuées. Il ne m’échappe pas que Lionel est l’objet de toute leur attention. De là à en concevoir un peu de jalousie…Il nous est demandé de nous foutre en slip. Pendant ce temps, M. Paul et Jean-Pierre se sont mis en tenue d’Adam. Nous sommes maintenant debout devant eux, assis sur le divan, à nous détailler. S’en suit un jeu de comparaison qui place d’emblée Lionel, loin devant moi, au niveau de son petit cul. Je serais malhonnête de ne pas reconnaître son avantage dans ce domaine. Une fois nu, après avoir été longuement caressés au travers de nos slips, je reprends l’avantage au niveau de ma queue, plus grosse que la sienne ! J’aime que l’on baisse mon slip, doucement, après avoir été caressé à travers le coton et avoir eu la queue attrapée dans le slip. La suite est bien évidemment un peu confuse dans mon esprit, les années ont passées, mais je me suis beaucoup branlé en repensant à cette après-midi. Lionel a été pris en main le premier. En position de levrette, M.Paul s’est occupé de sa rondelle pendant que Jean-Pierre présentait sa belle queue à sucer. Du coup, je me retrouvai à être spectateur de tout ça. C’était comme regarder un film porno, mais en tellement mieux. Rassuré, par nos deux baiseurs qui m’indiquaient que mon tour viendrait, je peux apprécier comme il se doit ce long moment. Lionel se montra encore plus chaud que je l’imaginais. Le bouffage de cul de M. Paul, que je savais particulièrement performant dans ce domaine, excitait au plus haut point Lionel, qui gémissait de plaisir, quand il n’avait pas la queue de Jean-Pierre bien enfoncée en gorge. Quel vorace ! Même si je commençais à trouver le temps long, je découvrais à quel point il est bandant de voir un mec se faire baiser devant soi. Quand en plus, on est juste à côté et que l’on perçoit le bruit et les odeurs… Ne voulant pas être en reste, j’eus l’idée de me glisser sous Lionel, en position de 69. Je pouvais à loisir regarder M. Paul lui sucer la rondelle, le branler. Lionel, lui, continuait de sucer Jean-Pierre. Bien ouvert et lubrifié, c’est la queue bien raide de M. Paul qui se présenta à l’entrée de son intimité. Le point de vue était génial. J’assistais au plus près à la défonce de Lionel, qui se cabrait pour mieux répondre aux désirs de M. Paul. Très vite, M. Paul lui mit sa queue bien à fond, ce qui ne manqua pas de faire gémir très fort Lionel. C’est peu de dire qu’il faisait bien la salope et cela contribua grandement à un limage très énergique. Il était secoué comme un prunier, et il ne pouvait plus sucer Jean-Pierre, ce dernier se préparant à prendre la suite… Quelle sensation incroyable de voir tomber dans ma bouche grande ouverte, la semence de M. Paul, au moment où il se retira du cul de Lionel. Quelques tapes sur ses fesses annonçaient la suite, et la superbe queue de Jean-Pierre apparue dans toute sa beauté de dessous devant moi. Le calibre de Jean-Pierre, et je sais de quoi je parle, n’ai rien de comparable à celui de M. Paul. Pourtant, Jean-Pierre ne fut pas tendre avec Lionel, car il l’enfonça, bien à fond, en seulement trois coups. Que dire des cris de Lionel ? Ce fut, à n’en pas douter, au début des cris de douleur, mais Jean-Pierre n’en fut pas pour autant particulièrement sensible. Au contraire, cela sembla l’exciter davantage et il fut encore plus rude dans ses assauts. Il savait ce qu’il faisait, car très rapidement, les cris de douleur laissèrent la place à une longue plainte qui av ...

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