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Mes années étudiant - Episode 7

Publié par : bilaurent7829 le 14/01/2024

Il est bientôt minuit lorsque j’entends frapper à la porte de ma chambre. Ce jeudi après-midi a été très chaud avec mon plan avec Lionel. Après son départ, il m’a fallu me remettre dans les bouquins et bosser pour un contrôle prévu le lendemain. Ce fut un peu compliqué tant la baise de l’après-midi m’avait épuisé, et j’avais de la peine à me concentrer ! Je savais bien évidemment qui était devant ma porte, et cela n’était pas dans son habitude de venir me ‘visiter’ si tard dans la soirée, d’autant que nous n’étions pas un jeudi où sa femme était partie pour deux jours. C’est avec un air de reproche qu’il se présenta à moi. Malgré les précautions que je pensais avoir pris, Monsieur Paul m’avait bien vu arriver avec Lionel, cet après-midi, et sa curiosité l’avait poussé à venir écouter à la porte…et il ne fut pas déçu du spectacle sonore, qui ne laissait aucun doute sur la nature des évènements ! On m’avait pourtant interdit d’amener qui que ce soit.

J’étais donc un peu penaud devant lui, et il fallait que je me rachète. Dans un premier temps, c’est lui qui m’indiqua ce qu’il convenait de faire dans l’instant. Raconter par le détail ce que nous avions fait. Ensuite, alors que mon récit s’était fait pendant qu’il était assis sur mon lit, le pantalon de pyjama bien baissé, et sa queue bien dressée, il m’ordonna de me foutre à poil. Je prenais plaisir à me déshabiller devant lui, qui, avec son regard lubrique, me faisait déjà bien bander. Invité à me mettre à genoux, je commençais une bonne pipe, en veillant à lui prodiguer tous les plaisirs que je lui connaissais : m’attarder sur son gland en faisant tourner ma langue autour, lécher la hampe sur toute la longueur, jouer avec ses bourses avec ma langue, et enfin l’enfourner avec avidité et le sucer à fond. Il ne fut pas long à jouir, et je fus contraint de tout avaler, ma tête maintenue fermement au moment de l’éjaculation.

Voulant me faire pardonner, je lui proposais de me défoncer le cul comme il le voulait. Je cru comprendre que je n’avais pas besoin de le proposer car cela faisait partie, de toute façon, du traitement qu’il comptait m’infliger. Des punitions comme celles-ci, j’en redemande encore ! Suivant ses instructions je me remis debout et me penchais sur mon bureau, jambes bien écartées. Moi qui avais rêvé de me faire prendre par Lionel, je finissais quand même ma journée par une sodo ! Mais çà je me suis bien gardé de lui dire… Il me prit sans ménagement, par une pénétration à fond direct. Il ne fut pas dupe de ce que ma rondelle avait dû bénéficier d’une dilatation tant la pénétration fut aisée. J’en rajoutais néanmoins un peu, sachant à quel point il était sensible au fait que je me sente un peu violenté. Mais mes gémissements devaient être discrets car nous n’étions pas seuls dans la maison, madame dormait à l’étage ! Il me lima longuement. Je sentais qu’il voulait en profiter au maximum. Mais il pris soudainement conscience que cela faisait bientôt une demie heure qu’il avait quitté le lit conjugal, et il accéléra le rythme pour me remplir avec ce qu’il lui restait dans ses burnes. Puis il parti très vite sans m’accorder le moindre regard. Si j’étais déjà un peu fatigué avant sa venue, là j’étais complètement claqué ! Je m’endormais vite, conscient que je venais de passer une journée de sexe incroyable.
Le lendemain matin, chose inhabituelle, Monsieur Paul vint me saluer au moment de mon départ. Cette démarche n’était pas neutre. Il m’indiqua qu’il voulait que je lui ramène Lionel pour notre prochaine séance de baise du jeudi après-midi…quand madame serait partie pour deux jours.

Ce que je lui avais dit du petit cul de Lionel l’avait terriblement excité et il ne rêvait que d’une chose : nous baiser tous les deux. Je lui indiquai que j’avais évoqué la chose avec lui, et que passé le moment où il était plutôt contre un tel plan, la description de nos ébats avait suscité finalement un réel intérêt. Mais rien n’était joué, et je lui expliquais combien il avait été compliqué de monter le plan d’hier. Si un certain Jean-Pierre, que j’avais eu la surprise et le bonheur de connaitre, pouvait être de la partie, alors la perspective d’un plan à quatre, avec deux queues pour nous défoncer, serait certainement un argument décisif !

Je retrouvais Lionel, seulement le soir, au restaurant universitaire. Il avait mis son pantalon jean blanc bien serré. C’était très à la mode à l’époque et c’était surtout bien mieux que les fringues des jeunes d’aujourd’hui où l’on ne distingue plus aucune forme… Après le repas, pris avec une dizaine d’étudiants (es), je réussis à lui ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay, Branle, Sodomie, Jeunes, Etudes