Je reprends mes récits après une longue absence du site. Pour bien comprendre ce qui suit, il est bien d’avoir lu mes précédents récits de la série ‘étudiante’.
Depuis ce dimanche soir, où j’eu avec Lionel une expérience incroyable et inespérée, nos relations furent évidemment bien différentes. Mais nous avions la préoccupation de ne pas nous exposer aux autres. Aussi, Lionel ne changea pas d’attitude vis-à-vis de moi dans la vie courante, et il continua de s’entourer des plus belles filles de la promo…si elles savaient…
Nous avions, au détour d’un couloir de brefs échanges sur notre expérience commune dans le cinéma porno. Cela nourrissait mes branlettes du soir, et je fantasmai dur, dans tous les sens du terme, sur son petit cul. Je rêvais de le caresser, le bouffer, le défoncer… Et je me disais qu’il serait peut-être intéressé par la chose. Quand je lui avais mis deux doigts dans sa petite rondelle, pendant que je le pompais au cinéma, j’avais bien compris qu’il avait aimé çà, et que cela avait déclenché son éjaculation.
Après de multiples discussions, toujours très brèves et discrètes, je réussi à le convaincre de venir chez moi, chez mon logeur, un jeudi après-midi. C’était le seul lieu possible, car il logeait dans une chambre de la cité U, pas assez discrète pour une bonne baise. Mais je devais aussi être discret vis-à-vis de mon logeur, qui pourrait ne pas apprécier mon plan…alors qu’il ne serait pas de la partie !
Enfin le jour tant attendu arriva, après de multiples annulations, pour différentes raisons. Je l’avais amené chez moi, avec ma mobylette, lui assis sur le porte bagage. Il avait commencé à me chauffer en s’agrippant bien bas sur moi…
Nous étions tous les deux gonflés de désir. Nous entrâmes le plus discrètement possible dans la maison, ma chambre était au rez-de-chaussée, à côté du garage. Pas de préliminaires, on s’est mis à poil direct. Allongés sur le lit, nous fîmes l’amour avec de longs roulages de pelles. J’avais envie de lui, de l’embrasser, de le lécher partout. Le 69 arriva tout naturellement. Lui au-dessus, il me suçait divinement, pendant que je lui rendais au mieux la pareil. Mais je ne pu m’empêcher de passer très rapidement à sa petite rosette qui frémissait sous mes coup de langue. Il se redressa pour se positionner bien au-dessus de mon visage, pour pleinement s’offrir à ma langue. Il commença à gémir et je dû lui demander de la discrétion…car Mr Paul était peut-être chez lui, à l’étage. Je connaissais ...

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