C’était un dimanche soir, je venais d’arriver à la gare de la ville où je faisais mes études, depuis bientôt six mois. J’étais arrivé vers 19h, bien plus tôt qu’à l’habitude à cause de travaux sur les lignes de trains. Alors que je m’apprêtais à sortir de la gare, j’aperçus Lionel qui était devant un distributeur automatique. Lui aussi était peut-être arrivé plus tôt. Quand il me vit il me gratifia d’un beau sourire.
Il me proposa d’emblée d’aller boire un coup dans un bar à proximité de la gare. Après avoir rapidement raconté nos week-ends respectifs, la discussion porta sur ce que l’on ferait de notre soirée. J’étais sous son charme. C’était je crois la première fois que je me retrouvais seul avec lui et il était vraiment sympa avec moi. Passé l’évocation de nos études, de nos amis de la bande, il se fit plus intime dans ses propos… Au point qu’il me fit une proposition inattendue et inespérée : aller voir un film porno dans un cinéma situé non loin de la gare. Débarrassés à la consigne automatique de la gare de nos sacs, nous voilà partis vers le cinéma qui se trouvait dans une petite rue perpendiculaire à l’avenue de la gare. A cette époque, c’était courant de trouver des commerces de sexe autour des gares. Pas de problème pour choisir le film, il n’y en avait qu’un. Lionel était comme moi, il n’était jamais entré dans un ciné porno et je pense que ma présence lui facilitait la chose. Nous éprouvions un sentiment de honte mêlé de l’excitation d’une certaine transgression. Pour accéder à la salle de projection, il fallait emprunter un couloir au bout duquel une petite salle faisait la distribution entre la salle de ciné et des sanitaires. Quelques types étaient là à attendre on ne sait quoi. Nous poussâmes la porte battante et une fois franchie il nous fallut attendre quelques temps pour pouvoir distinguer les lieux, plongés dans une obscurité que les images du film éclairaient différemment suivant les scènes. Et quelles scènes ! Deux mecs très costaux étaient en train de baiser une jeunette qui hurlait de jouissance. Inutile de dire que l’on bandait déjà ! Il n’y avait pas grand monde dans cette salle qui n’était pas très grande. Finalement on se décida pour aller au bout d’une rangée de siège où il n’y avait personne. Une fois assis nous fûmes absorbés par la contemplation de toutes ces scènes qui s’enchainaient et qui montraient toutes sortes de pratiques sexuelles, toutes plus excitantes les unes que les autres pour des jeunes comme nous.
Dans la salle il y avait un peu d’activité…des mecs se déplaçaient pour se mettre les uns à côté des autres, et cela ne semblait pas pour seulement discuter ! Nous étions aussi très souvent regardés avec insistance, il faut dire que nous étions les deux petits jeunes de la salle ! Lionel était très excité par tout cela et il commença à déboutonner son jean pour sortir sa bite. Je n’en croyais pas mes yeux. Moi qui rêvait depuis des mois de baiser avec Lionel, c’est lui qui prenait l’initiative et m’incitait à me mettre moi aussi à l’aise… Ma queue, libérée d’une étreinte de plus en plus forte dans mon jean, se dressait et je commençais à me branler, comme Lionel, tout en matant le film. Mais l’un comme l’autre nous ne tardâmes pas à regarder nos queues, faiblement éclairées, mais bien raides. Et là, chose incroyable, c’est Lionel qui, le premier, pris ma queue en main pour lui prodiguer le mouvement masturbatoire si divin pour tout mec normalement constitué. A mon tour je saisi cette bite si convoitée. Elle était fine et plutôt courte, mais très dure. Lionel bandait fort et lorsque je commençai à jouer avec sa jolie paire de petite couilles je senti qu’il montait au septième ciel. Et pour la suite c’est moi qui pris la direction des opérations, après qu’il m’est chuchoté à l’oreille : je sais que tu bandes quand tu me vois, vas-y lache toi ! Je me penchai et commençai à lui faire une bonne pipe. Il était aux anges, et moi aussi. Je m’appliquai à le sucer le plus divinement possible, je pouvais enfourner sa queue complètement. Je me régalais de ses petites couilles. Il se relevait pour me faciliter mon exploration et je ne pus m’empêcher de glisser un doigt dans sa petite raie des fesses. Voyant qu’il ne protestait pas je prolonge ...

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