Me voilà installé à l’avant de sa voiture. Le trajet n’est pas très long et nous avons juste le temps de faire connaissance. Il s’appelle Luc, la trentaine, militaire célibataire. Il m’emmène dans son appartement dans une petite copropriété. Il habite au dernier étage d’un immeuble de quatre étages. Son voisin de palier est absent pour plusieurs mois. Nous sommes donc tranquilles…
Il me propose une bière et me demande si j’ai déjà maté un film porno gay. Non, car à l’époque ce genre de film ne devait se trouver que dans les sex shop. Il me demande de choisir parmi une dizaine de cassette. Mon choix se porte sur un film avec des cowboys. Toutes les cassettes semblent américaines. Je ne me souviens plus évidemment du film dans le détail, si ce n’est que çà n’arrêtait pas de baiser et que les mecs, tous blonds, étaient canon et très bien montés. Luc ne resta pas inactif pendant le visionnage. Il s’était foutu à poil et en avait fait de même pour moi. Je le suçais délicatement sur fond de fornications très chaudes du film. A son tour il me pompa tout en commençant à me travailler la rondelle.
Je lui dis que je ne m’étais jamais fait enculer, un mensonge que je savais exciter au plus haut point les mecs, qui adoraient jouer le rôle de dépuceleur. Il me doigta alors avec douceur afin que ma ‘première sodo’ reste un bon souvenir. Le troisième doigt me fis mal et il ne fut pas avare sur le lubrifiant. Sa queue était bien raide et je sentais qu’il bandait à mort dans la perspective de me dépuceler. Il me fit me mettre à quatre pattes sur le tapis et me prévint que j’allais sans doute avoir mal au début.
Vas-y défonce moi, j’en rêve depuis trop longtemps !
Oui mon petit pédé, je vais bien t’enculer à fond, tu vas adorer. Quand on y a goutté on ne peut plus s’en passer.
S’il fut délicat et bienveillant au début, m’arrachant des simples gémissements, rapidement le rythme devint plus soutenu et au bout de 10 minutes, je n’étais plus qu’un trou à bite qu’il ramonait comme un déchainé. Ses couilles s’écrasaient sur mes fesses, qu’il claquait de temps en temps, de plus en plus fort. Là je criai, le suppliant d’arrêter de me défoncer comme çà. Trop tard, il était dans mon cul et il entendait bien de défoncer comme il veut. Au bout d’un long moment je n’étais plus qu’un jouet sexuel, prêt à tout prendre. J’avais éjaculé sans m’en rendre compte, tellement j’étais au septième ciel.
Il me rempli le cul de son foutre en poussant un cri de bête !
Une fois retiré, et manifestement satisfait de ce moment de baise intense, il m’informa que la partie était loin d’être terminée. A la télé, la cassette continuait et c’était maintenant une partouze.
J’eu droit à une autre bière pendant ce qui était présenté comme une pause avant la deuxième mi-temps…
Il changea de cassette et le film fut bien différent du précédent. Des mecs assez âgés se payaient un petit jeune et il prenait cher avec des queues bien raides. Puis l’un des protagonistes arriva avec un gode de belle taille. J’ai le souvenir des cris du jeune qui se faisait éclater le cul avec ce gode, qui passait de mains en mains, chacun ayant à cœur de le ramoner comme il se doit.
C’est alors que Luc, qui s’était absenté, r ...

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