Cela fait maintenant deux mois que je suis logé chez M. Paul. Depuis notre baise d’un jeudi après-midi, nos relations ont changées. Il est beaucoup moins présent dans la pièce où je prends ma douche, et il affecte une certaine indifférence à mon égard. Mais je sais que tout cela est une façade, car il sait que mon petit cul lui est acquis et que le prochain jeudi où nous serons de nouveaux seuls, il pourra à nouveau me le défoncer.
Pour l’instant, côté étudiant, même si certains ont déjà retenus mon attention et qu’ils alimentent mes branlettes du soir, c’est le calme plat. Je reste toujours tétanisé à l’idée de faire le premier pas et j’angoisse de tomber sur une fausse piste avec les conséquences qu’on peut imaginer si la chose se sait. Aussi j’attends avec impatience le futur deuxième jeudi. Monsieur Paul, la veille, s’est assuré de ma présence le lendemain après-midi et il m’a annoncé une surprise… Tout cela a évidemment nourri mon imagination…et excité au plus haut point.
A peine arrivé dans ma chambre, le lendemain, M. Paul frappe à ma porte. Il a le sourire jusqu’aux lèvres et il est en simple peignoir. J’imagine qu’il n’a rien dessous… Il me roule une pelle d’enfer pour me souhaiter la bienvenue. « Rejoins moi dans notre chambre, pas celle de la dernière fois, la porte sera ouverte. Viens à poil, nous sommes qu’entre nous. ». Le temps de ranger mes cours et me déshabiller, me voilà à monter l’escalier. L’impression est bizarre et je reste malgré tout gêné de me balader à poil dans la maison. Arrivé à l’étage des chambres, il est là dans l’encadrement de la porte de la chambre. Il est nu et bande déjà…moi aussi ! Il a la main un masque occultant pour les yeux, ceux que l’on donne dans les avions pour dormir. Je comprends à ses dires que cela fait partie du jeu et que la surprise en est la raison. Me voilà, entrant les yeux bandés…et dirigé vers le lit. Une fois allongé sur le ventre, M. Paul se place entre mes jambes pour mieux les écarter et commence à me caresser les fesses. Très vite sa langue vient lécher mes rondeurs, puis se dirige vers ma rosette. Qu’il me bouffe bien le cul, c’est divin. Il me fait mettre sur le dos, jambes que je maintien relevées, et il reprend l’exploration de ma rosette.
C’est alors que je sens le matelas s’affaisser sur un côté et je me retrouve avec quelque chose de chaud et humide se présenter devant mes lèvres… une queue !? Je comprends immédiatement que c’est la surprise, et c’est donc l’invité qui m’enlève mon masque. Une belle et grosse bite est fièrement dressée devant moi et son propriétaire m’adresse un sourire très vicieux. « suce petit pd. Paul m’a parlé de toi et il n’a pas menti, tu as un superbe petit cul à défoncer. Je vais bien t’enculer, et tu vas te la prendre bien à fond ». Le mec est bien plus jeune que M. Paul, la quarantaine. Il est grand, peu poilu, et plutôt beau mec, et sa queue…sans doute pas loin des 20 cm ! Je commence à le sucer, tout en me faisant bouffer le cul. Je ne peux pas enfourner complètement sa queue. Je suis maintenant à quatre pattes occupé à sucer Jean-Pierre et à me faire doigter par M. Paul. J’ai peine à assumer ma suce tant le travail de mon orifice anal me procure d’incroyables sensations. Jean-Pierre semble le comprendre et il est raisonnable dans ses exigences vis-à-vis de moi. J’ai compris que c’est mon petit cul qu’il veut… M. Paul va bien lui préparer le terrain. Je sais à l’avance ce que je vais ressentir, le passage aisé du petit gland et des premiers centimètres. Mais mon envie me pousse…à pousser en arrière et à accélérer la pénétration de ce chibre en forme de cône. Que c’est bon de se faire défoncer comme une salope. Jean-Pierre regarde la scène avec envie, et il se branle devant moi en me montrant, dans le détail, ce que je vais prendre dans quelques minutes. C’est vrai qu’elle est grosse, et pourtant je crève d’envie de me la prendre à fond ! M. Paul me lime longuement, pour faire durer son plaisir. « ...

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