Ado dans une époque où le porno ne se trouvait que dans les cassette VHS, les cinés spécifiques ou les revues. Les deux premiers étant peu accessible restait pour les ados la version papier glacé dont les pages pouvaient vite devenir « usées » à force d’être regardées.

Cet automne là nous étions en famille dans un chalet isolé sans électricité et avec l’eau du puit. C’était un chouette endroit perdu en forêt ou chaque jour était une aventure.
Je m’étais fait une petite entorse sans trop de gravité, mais celle-ci mettait en péril la sortie prévue le lendemain pour une cueillette de champignons. L'ami de la famille décida de se sacrifier.
- Je n’ai pas trop la forme pour une journée de marche et de cueillette. Allez-y sans moi je reste avec lui ici.

Tôt le lendemain la petite troupe se mit en marche et partit.
Quelques minutes après le départ, l'ami de la famille me tendit quelques magazines et me demandant si j’aimais bien ça.
Tu parles des magazines pornos allemand vraiment très chaud que je commençais de dévorer plein de pensées lubriques. Je vois que ça te plait me dit-il, tu peux te tripoter si tu veux. J’avais déjà la main dans mon jogging et je sentais ma queue bien dure. A cet âge de toute manière le mot soutien-gorge, seins ou cul te fais bander illico.

On était sur des lits superposés, et il ne tarda pas à descendre. Nu comme un vers et sa queue tendue en avant, il bandait aussi. Je ne m’attendais pas à ça et bien qu’un peu choqué et surpris je ne vis rien à redire à la situation. Sort la tienne te gêne pas. Je découvris alors ma bite. Je me branlais et lui aussi. Après quelques instant à tourner les pages du magazine, il finit par me dire. Allez, vas-y goute… et mis sa queue sur mes lèvres.

J’étais partagé entre un sentiment de honte et l’excitation de l’inconnu, voire de l’interdit. J’ouvris la bouche et je me mis à sucer sa queue. Il se déplaça pour se mettre coucher sur le côté tête bêche et se mit lui aussi à me sucer, me masser les couilles et me doigter. J’adorais cette sensation ou il mouillait son doigt pour me l’enfiler dans le cul. Notre excitation mutuelle était perceptible et il n’en fallut pas plus à mon phallus pour gicler son jus.
Je continuais de le sucer avec passion et conviction tout en appréhendant un peu le moment ou il allait jouir. Comment allais-je réagir ? Mes deux copines à l’époque n’avalait pas et vu les commentaires des potes et même d’autres filles, elles n’étaient pas nombreuses à avaler voir même à se retirer avant l’éjaculation.
Perso j’avais, comme beaucoup qui n ...

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