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MADAME LEBARRE

Publié par : teuteute92 le 29/08/2022

Je m’appelle Laurent, j’ai 59ans et je suis ouvrier carreleur depuis des années, je fais aussi des travaux de peinture et de plomberie et un jour je suis contacté par une femme veuve très riche du village que tout le monde connaît, Madame Astrid LEBARRE, une jolie petite blonde de 60 ans environ qui me demande de passer chez elle pour m’expliquer les travaux que je dois faire chez elle. Quand je sonne à sa porte, elle m’ouvre la porte dans une robe rouge légère ou on voit qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, très poliment elle me demande de rentrer et tout en tentant de me séduire elle m’explique les travaux que je dois faire chez elle. Elle me propose un café et nous discutons des travaux à faire, je vois bien qu’elle est en mode séduction, avec sa robe sexy elle porte des talons aiguilles sans collant étant donné que nous sommes en été et qu’il fait chaud. Je dois dire que je suis très attiré par cette femme et nous nous donnons rendez-vous pour le lendemain pour commencer les travaux. Le lendemain matin j’arrive chez elle vers 9h comme prévu, j’ai mis ma tenue de travail une salopette bleue avec bretelles et juste un T-shirt car il fait déjà 30°… Je sonne à la porte de madame Lebarre, quelques secondes plus tard la porte s’ouvre et elle apparaît en nuisette rose transparente, elle porte encore ses talons aiguilles et m’accueille avec un grand sourire jusqu’aux oreilles montrant ses jolies dents blanches et son rouge à lèvres très rouge vif. « Entrez, je vois que vous êtes à l’heure c’est bien, voulez vous un café » me demanda-t-elle en marchant devant moi, balançant ses hanches à gauche et à droite. J’imagine des jolies petites fesses et arrivé dans la cuisine elle me demande de m’asseoir et elle prépare le café, nous discutons des travaux pendant que le café coule, elle ouvre des placards et se penche en avant me laissant découvrir le haut de ses cuisses et la naissance de ses fesses, la nuisette est tellement légère qu’elle se soulève très facilement laissant voir un jolie petit string rouge bien encré dans la raie des fesses. Faisant mine de ne rien voir je vais commencer les travaux, je décide de commencer par la peinture au plafond et je monte sur l’escabeau de madame Lebarre . Je monte environ trois marche car le plafond est haut dans son château et je commence donc à peindre. Madame Lebarre s’approche de moi et me parle en me regardant peindre, elle est encore plus en mode séduction en me voyant monté sur l’escabeau. Il fait très chaud et je décide innocemment de faire tomber les bretelles de ma salopette et j’ajuste mon T-shirt au dessus de la salopette, madame Lebarre continue à me parler tout en me regardant et soudainement alors qu’elle me parle, elle attrape les côtés de ma salopette et commence à la faire glisser, j’arrête immédiatement de peindre mais elle met les choses au point « dites donc, n’arrêtez pas de peindre, je vous paye pour repeindre le plafond ne l’oubliez pas ! » « euh oui oui bien sur madame Lebarre » répondis-je éberlué. Ma salopette arriva rapidement au niveau de mes mollets et je laissais donc découvrir un joli boxer noir moulant bien mon gros fessier, sans tarder Madame Lebarre se rendit de l’autre côté de l’escabeau pour regarder la bosse qu’il y avait devant, elle ne se cachait pour regarder. Elle faisait la navette devant et derrière et contemplait ce boxer qu’elle trouvait joli « Joli boxer monsieur » « euh merci madame Lebarre » répondis-je en bégayant. « J’adore les hommes raffinés vous savez et un beau boxer ou un beau slip ne me laisse pas indifférente je dois l’avouer, même si je considère qu’il est fait pour être baissé, j’adore voir un belle homme en slip, d’ailleurs demain si vous pouvez, venez avec un slip je préfère, mais pas cette horreur de slip kangourou, un beau slip sexy bien échancré sur les côtés si vous avez ça. » je ne savais quoi répondre à ce genre de demande, je restais même scotché par une telle demande. Je continuais donc à travailler avec ma salopette sous les genoux et madame Lebarre continuait à faire la navette devant et derrière, cette ronde de séduction dura un bon bout de temps, elle contemplait sans dire un mot, je me rendais compte que pour elle c’était un réel amusement.
J’avais les deux bras en l’air, d’une main je tenais le rouleau qui peignait le plafond et l’autre main s’appuyait sur le plafond. Bien que concentré sur mon travail je voyais tout de même la ronde que faisait madame Lebarre et me demandait même combien de temps ça allait durer encore. La réponse arriva rapidement lorsqu’elle s’approcha encore plus et qu’elle attrapa les rebords de mon boxer et qu’elle le fit très lentement glisser le long de mes jambes musclées et poilues. J’avoue que j’étais très gêné par ce genre de situation mais c’était ma patronne et elle payait très bien (3000 euros). Je ne pu m empêcher de faire une réflexion « Mais que faites vous madame Lebarre ? » ça réponse ne tarda pas « Mais je me rince l’œil monsieur, ce n’est pas un crime » Mon boxer était avait maintenant rejoint ma salopette sous le genoux et madame Lebarre repris sa petite ronde contemplative, elle regardait mes fesses avec les yeux brillants et passait de l’autre côté pour regarder mon sexe qui pendouillait avec insignifiance. Pourtant les commentaires de madame Lebarre étaient plutôt gentil à mon égard. « Quel belle homme vous êtes et quelle belle marchandise vous avez là monsieur, ce n’est que du bonheur de vous regarder ainsi déculotté. » « Mais je suis gêné madame vous savez » « Oh mais il ne faut pas, je suis un vraie femme vous savez et j’aime les beaux garçons, soyez à l’aise je vous trouve merveilleux » « Facile à dire madame mais je suis déculotté devant vous quand même ! » Allez, continuez à travailler » me dit-elle avec une claque sur les fesses. Elle s’absenta un instant du salon et j’en profitais pour remonter mon boxer, j’étais réellement gêné. Quand elle revint elle poussa un cri « Ooooooh le vilain il a remonté son boxer ! Je vais me fâcher ! » Avec une terrible moue sur son visage elle fit glisser à nouveau mon boxer à toute vitesse. En activant son index elle ajouta « Attention hein, ne le remontez pas ! » « euh ok madame » ajoutais-je gêné de la situation. Ma bite pendouillait de façon insignifiante, mon gland n’était pas encore décalotté, mais je commençais réellement à accepté la situation car elle ne faisait que des compliments sur mon corps et surtout ce qu’elle voyait devant donc mon sexe. « Joli service trois pièces monsieur, on en mangerait !! » Puis, ce qui devait arriver arriva, elle approcha sa jolie bouche rouge de mon sexe pendouillant et sans les mains commença à le prendre dans sa bouche, ses lèvres montaient et descendaient, elle me décalottait avec sa jolie bouche, elle montait et descendait sur la pointe des pieds pour téter ma bite alors que ses mains étaient posées sur l’escabeau. Waouh je dois avouer que j’étais dans une drôle de situation, ma bite encore molle avait quand même changer de volume, c’était bon et je me mis à bander bien raide, ma bite se redressa fièrement et maintenant madame Lebarre ne pouvait plus la téter dans la position où elle était car mon gland touchait presque mon nombril maintenant. Mes couilles par contre étaient toujours à portée de sa bouche et elle entreprit justement de s’en occuper en les léchant. Je frétillais de la bite pendant qu’elle me léchait admirablement bien les couilles, elle léchait divinement en lapant comme un petit chien « oh tu frétilles du manche beau gosse ! » « oh oui madame Lebarre » En effet je frétillais du manche, j’avais du mal à me contrôler, ma queue bougeait en effet de haut en bas, c’était du vrai frétillage de bite et mon gland laissait apparaître un joli petit filet de bave qui coulait ensuite le long de ma verge pour atteindre mes couilles… Madame Lebarre fut carrément aux anges quand le petit filet arriva jusqu’à sa jolie bouche, elle le lécha sans attendre avec un mignon petit gémissement. Plus je frétillais du manche, plus la bave coulait, j’étais une véritable fontaine de précum pour la bouche de cette jolie dame. « Hum qu’elle belle sucette baveuse, mais je suis trop petite même sur la pointe des pieds pour aller téter le joli bonbon d’amour décalotté, hum je ne savais pas qu’on pouvait baver du gland comme ça hum, je crois que je vais me contenter de lécher ces jolies boules et laisser cette belle bite baver ! » Elle se contentait donc de lécher mes boules pendantes, récupérant le bon nectar qui s’écoulait de beaucoup plus haut, je bandais comme un pur-sang tout en continuant à peindre le plafond. Madame Lebarre lapait mes couilles à n’en plus finir et d’une main elle branlait ma bite raide qu’elle avait du mal à tenir en main tellement elle était grosse, sa deuxième main rejoignit celle qui branlait et elle se cramponnait à mon gros manche de pioche en léchant les boules. « Hum je n’ai pas la bouche assez grosse pour sucer ça, c’est pas de la trique à deux balles ! »
En effet j’étais admirablement bien membré (22 cms de long, 8cms de large et un bon calibre de 18), pas de la trique à deux balles comme elle disait donc. En me déculottant Madame Lebarre ignorait qu’elle aurait à faire un tel morceau, fallait qu’elle assume maintenant. Bien cramponnée à mon manche elle s’appliquait pour bien lécher les boules qui lui étaient offertes. Ses mains commençaient à être toute baveuse et poisseuse de mon abondant précum et sa facilitait bien la branlette évidemment ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro