et même avec une extrême lenteur comme si elle léchait un esquimau. « Hum c’est un régal, un délice, une délectation cette bite ! » Je commençais à trembler, mes jambes flageolaient, ma bite était dégoulinante de salive et de précum, elle n’en perdait pas une goûte. Mieux que dans le films pornos car Madame Lebarre se régalait réellement comme sur un sucre d’orge. Sa tête se trouvait parfois entre mes jambes pour me lécher les couilles, parfois elle écartait mes fesses pour attaquer mon anus et le lécher divinement, mais elle retournait toujours sur le sucre d’orge qu’elle aimant tant, on l’entendais gémir de bonheur quand elle léchait ma queue, puis elle ouvrit sa bouche en grand et goba mon gland, ses lèvres se refermèrent autour et elle essaya de sucer, la jolie madame faisait des efforts pour sucer mais c’était compliqué, sa bouche était petite et mon sexe énorme, elle forçait pour que ça rentre mais impossible. Alors en garçon gentil et obligeant j’ai attrapé l’arrière de sa tête d’une main et j’ai donné un bon coup de rein violent, madame Lebarre a gémit et mon gland a pénétré dans sa bouche, elle voulait creuser les joues mais ma bite était trop grosse, impossible d’aller et venir. Alors se contenta de me téter le gland, admirablement bien d’ailleurs. Je ne bougeait pas je la laissais faire son travail de téteuse en me tenant les couilles elle pompait le gland comme pour faire sortir le jus, je voyais ses joues se creuser, elle pompait, elle pompait sans pouvoir faire d’aller et venu. Sa bouche se déformait, son rouge à lèvres commençait à disparaître doucement, je sentais bien qu’elle voulait sucer, mais impossible vraiment ! Sa bouche se contractait sur mon gros gland, du jus sortait de sa bouche, était-ce sa salive ou mon précum ? Un peu ou beaucoup des deux sûrement. Puis elle variait sa besogne et lâchant mon gland pour lécher ma bite des couilles au gland et reprenait le gland en bouche pour continuer son travail de pompage. Elle tétait les yeux exorbités et me regardait pour voir ma réaction. La coquine. Je sentis soudain ses mains saisir mes fesses, elle les pétrissait mignonnement tout en continuant son travail de pompage, puis je sentis ses mains se crisper sur mes fesses et tirer, la coquine elle se violait elle-même la bouche en tirant de plus en plus fort mais ma grosse bite ne s’enfonçait pas d’un millimètre et ça l’énervait, elle n’était pas contente ça se voyait à ses gémissements « hum elle ne s’enfonce pas cette vilaine, violez moi la bouche s’il vous plaît, violez moi la bouche ! » « oh mais je ne peux pas madame Lebarre je ne peux pas votre bouche est trop étroite ! » « Déglingue moi la gueule ! Déglingue moi » Madame Lebarre voulait donc que je lui viole la bouche jusqu’à l’a déglingué mais je ne m’en sentais pas vraiment capable d’une telle violence à son égard, pourtant elle devenait très autoritaire et me demandait méchamment de lui déglinguer la mâchoire. « Déglingue moi connard, déglingue moi la gueule ! » Je ne pouvais pas être violent avec une aussi petite femme et surtout aussi jolie, mais l’excitation était telle que, que tout était possible, sauf réduire la taille de ma bite, je me serais bien enfoncé au fond de cette jolie bouche mais impossible d’aller plus loin que le gland ! Alors elle tétait, elle tétait, ses yeux étaient maintenant remplit de larmes, sa bouche bavait, son menton laissait couler un petit filet de bave, elle tétait mignonnement.
Et moi comme un con je ne pouvais que gémir « ooh madame Lebarre, madame Lebarre » « oh j’aime téter, j’aime téter, j’en ai besoin vous savez » ajouta-t-elle. « ah bon vous en avez besoin à ce point là Madame Lebarre ? » demandais-je étonné. « Oh que oui j’en ai besoin, si je pouvais téter tous les jours je serais la femme la plus heureuse et la plus épanouie du monde » elle se tue et continua sa tété, c’était divin, pas de mot pour définir. Il fallait la voir me tenir les couilles et téter le gland c’était une scène incroyable et elle parlait c’était divin « T’aime bien te faire traire les couilles quand on te tète le gland dis moi ? » « oh oui c’est bon madame Lebarre, c’est bon » « oh que j’aime cette sucette à deux boules, un délice » dit-elle sans aucun tabou. J’étais toujours sur l’escabeau la bite raide comme jamais, les boules pendante comme jamais et je me faisais traire comme jamais. Madame Lebarre ajouta « Vous savez monsieur, je n’ai eu qu’un homme dans ma vie, il avait une petite bite et n’aimais pas trop le sexe alors quand je tombe sur un sexe comme le votre je suis aux ange monsieur et je vais vous dire, je ne vais plus pouvoir me passer de cette merveille que je considère comme un sucre-d’orge, une sucette à déguster, à téter du matin au soir »
Surpris j’ajoutais : « ah bon à ce point là ? » « Oui monsieur c’est un besoin, sucer, téter, biberonner est un besoin et je dois avouer que votre sexe me va parfaitement, par contre mon minou est trop étroit je ne vous promets pas de vous l’offrir, par contre le lécher vous pouvez monsieur, ma minette à besoin de câlins. Votre délicieux sucre d’orge à besoin de câlins aussi je le sais et je vous promets de ne jamais le délaisser... » J’étais aux anges je ne vous le cache pas, jamais je n’avais entendu de tels propos venant d’une femme. J’ajoutais donc « Attention madame Lebarre vous allez me faire jouir, je ne vais pas me retenir longtemps. » « Hum oui je désire votre jus, votre liqueur, votre délicieuse poupoute ! » Surpris « Ma poupoute ? » « ouiii cette délicieuse soupe, ce somptueux bouillon que vous allez me donner, ma poupoute... » De tels mots si mignonnement dit me rendait encore plus fou d’excitation et je sentais bien que je n’allais plus résister bien longtemps. La langue de madame Lebarre continuait et je me mis à trembler de la tête aux pieds, elle se cramponna à mon sexe raide et poussa le prépuce de plus en plus loin, à la limite de la rupture. Impossible de me retenir j’envoyais donc 4 ou 5 giclées en hurlant comme un damné. Madame Lebarre reçu mes giclées partout sur son visage, dans ses cheveux aussi et elle s’exclama « oh ma poupoute, ma poupoute ! » Je n’arrêtais plus de gicler c’était un véritable geyser, une fontaine de sperme qui dégoulinait sur le visage de madame Lebarre, elle était débarbouillée ! Au bout de quelques minutes j’avais encore un filet de sperme qui coulait de mon gland et madame Lebarre s’appliquait à déguster jusqu’à la dernière goûte en gémissant et s’exprimant « hum ma poupoute, ma poupoute »
Rapidement ma verge devint flasque et mes couilles comme des gants de toilette. Madame Lebarre continuait à définir mon sperme comme sa poupoute (soupe en langage enfantin). Croyez vous qu’elle arrêterait de lécher ? Pensez donc !! Cette dame avait des ressources insoupçonnées… elle continuait à lécher ma bite comme pour ne rien perdre de son goût, de son odeur etc etc.
Ça faisait plus de trois heures maintenant que j’étais déculotté devant cette femme et autant de temps qu’elle me léchait la bite, enfin pour elle ce n’était pas une bite mais un sucre d’orge et sa poupoute, elle n’était pas écœurée du tout parce qui sortait de ma bite, bien au contraire, elle récupérait chaque giclée, chaque dégoulinure, chaque goûte comme un délicieux nectar qu’il ne fallait pas gaspiller. Combien de temps est ce que ça allait encore durer ? J’avais envie de remonter mon boxer et mon pantalon et en finir car ma bite devenait une petite chose informe, mais madame Lebarre ne l’entendait pas ainsi et m’empêchait de remonter le boxer. Je m’exclamais « madame Lebarre c’est pas raisonnable je veux remonter mon boxer maintenant et ranger ma bite » « Quoi ? Ranger ta bite mais il est hors de question, elle est à moi pour toujours maintenant ! Jamais plus tu ne remettras un boxer de ta vie, plus JAMAIS ! » « Mais madame Lebarre faut bien que je rentre chez moi et je n’ai pas fini mon travail ! »
« Pour le travail ça peut attendre et c’est moi qui paye et qui décide, je ne pourrais plus jamais me passer de ce délicieux sucre d’orge et ses jolies boules pendantes, comment ne pas avoir envie de les traire du matin au soir ? » « oh madame Lebarre ! » « Je serais ta trayeuse, ta tireuse de poupoute ! » ajouta-t-elle sans aucun complexe. « Ma tireuse de poupoute ? » ajoutais-je étonné. « Oui depuis que j’y ai goûté je ne pourrais plus m’en passer sans devenir folle ! » « Oh madame Lebarre comme c’est mignon ce que vous dites ! » « Dorénavant tu seras un homme épanoui, métamorphosé, un homme nouveau, ta poupoute sera tirée autant de fois que tu le voudras ou que ce sera nécessaire à ton épanouissement ! » « Ooooooh » « Tu auras juste à demander : madame Lebarre tirez moi la poupoute et je ferais le nécessaire ! » « oh c’est incroyable tout ce que vous me dites madame Lebarre ! » « un jour il faudra que j’essaye de téter ce bon gros biberon, même si ma bouche est petite et ce biberon volumineux je pense qu’il va falloir que j’y arrive » ma bite était maintenant une chose informe et pendante, le gland demi-décalotté pendait lui aussi vers le bas et ce fut l’occasion pour madame Lebarre d’essayer de téter car elle léchait depuis plus heures et voulait maintenant passer à l’étape supérieur. Je vis sa bouche s’approcher de mon gland, elle l’ouvrit au maximum et mon gland rentra totalement à l’intérieur, doucement madame Lebarre se mit à sucer en creusant les joues pour bien aspirer le gland au fond de sa bouche, avec une extrême lenteur elle tétait, je l’ ...
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