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Ma Soumission (2ème partie)

Publié par : jstrose le 20/08/2017

« Allez, je vais te remettre les menottes par devant, ce sera plus commode ».
La pause n’a pas été longue !... Mes bras engourdis apprécient de ne plus être tirés par l’arrière, mais les menottes, elles, sont toujours bien là !...
« Tu vas maintenant te mettre sur la table basse, à quatre pattes. Attends, je vais régler la caméra. Ca va !... Ne bouge plus, je vais mettre une chainette qui attachera les menottes au pied de la table, tu devras rester dans cette position… Hé bé ! Tes fesses sont bien rouges… Ecarte un peu plus les jambes… Tu as le ventre qui tombe un peu… Mais la petite cage de chasteté dégage bien tes testicules… »
Sur cette remarque, je sens que mes testicules sont empoignés vigoureusement et bien compressés, comprimés, j’ai l’impression qu’ils vont être écrasés, et je pousse un cri…
Farid rit : « Tu oublies que je peux faire ce que je veux !... Et que même, si j’avais envie de te castrer, tu ne pourrais pas m’en empêcher… ».
« Mais ce n’est pas cela que je vais faire… Au contraire !... Je vois que l’anneau scrotal de la cage ne te serre pas vraiment, je vais donc le doubler d’un cockring en élastomère thermoplastique en forme de donut. C’est bien élastique, c’est facile à mettre… Voilà, un bel anneau rouge, tu vas vite sentir comme c’est efficace… Et je t’en mets un autre, un bleu, autour des testicules, il fera comme un ballstrechter !... »
J’essaie de voir ces attributs que mon tourmenteur vient de mettre en place, mais, à quatre pattes, ça ne m’est pas possible : mon embonpoint empêche que je puisse les apercevoir, mon ventre me les cache !... Pourtant, très vite, je ressens leur effet : mon pénis doit gonfler un peu, un début d’érection causée par le cockring… Et comme il est prisonnier de la cage de chasteté, cela devient douloureux… C’est ce qui me reste de virilité qui est contrarié, ruiné !...
Farid passe et repasse devant mes yeux, je remarque qu’il doit prendre plaisir à me faire toutes ces petites misères, son sexe reprend une belle vigueur !...

« Allez, cambre toi, montre moi mieux tes fesses, quand tu es en levrette… Ca va, ne te contracte pas ! »
Une petite tape sur mes fesses, puis je sens des mains exigeantes qui les écartent, un souffle qui suit la raie qui les sépare… J’imagine la rosette de mon anus exposée…
Et soudain, une sensation de froid, un liquide qui me paraît glacial, qui la touche…
Immédiatement, c’est un doigt que je sens effectuer un massage circulaire sur tout son pourtour, puis vriller et pénétrer mon anus, le forer, le fouiner, le fouiller, le tarauder, puis se retirer… Alors, une nouvelle giclée du fluide si froid, puis ce sont deux doigts qui entreprennent d’élargir le passage, de distendre l’obstacle des sphincters en continuant les massages… Un troisième doigt me semble venir parachever cette tâche. Cela dure de longues minutes, mais elles ne me sont pas désagréables…
Tout à coup une nouvelle sensation de froid, mais plus seulement en surface de ma rosette, elle paraît se poursuivre à l’intérieur du corps…
A ce moment, je perçois qu’un engin beaucoup plus conséquent qu’un doigt vient appuyer sur ma rosette. A entendre les bruits divers émis par lui derrière moi, je comprends que Farid entreprend d’y faire pénétrer son pénis, je comprends qu’il a positionné son gros gland si puissant, dont ma bouche a expérimenté les imposantes dimensions tout à l’heure, à l’entrée de mon anus… Je crains une déchirure !... Mais non, il pousse doucement, assez lentement, marque des petites pauses… Le gland passé, c’est tout le sexe qui rentre, et je me sens, sodomisé, devenir « sa chose », son esclave soumis…
Alors, il me prend les hanches, me maintient fermement, et commence des mouvements de va-et-vient… Lentement, au début, puis à un rythme plus rapide, avec des à-coups, des soubresauts… Mon corps suit ces rythmes et s’offre… Je sens son gros et long sexe ressortir, puis pénétrer à nouveau, et cela, à plusieurs reprises. Il ahane, moi je halète… C’est bon !...
Quelques mouvements saccadés très rapprochés… mon dominateur éjacule, et cette fois, ce n’est plus dans ma gorge… Et j‘ai conscience, maintenant d’être devenu, comme il dit, sa « femelle »…
Il me le rappelle, d’ailleurs,
« Alors, enculé de ta race, tu t’es bien fait niquer, tu as aimé ça… C’est pas fini, tu vas apprécier la suite… »

Je suis toujours installé sur la table basse, les mains menottées, et attaché au pied de la table… Je sens couler dans la raie de mes fesses des liquides effluents résultant de la sodomie que je viens de subir. J’ai mon petit sexe contraint par les dispositifs qu’il lui a installé et qui me fait souffrir. Je sens encore la chaleur de la magistrale fessée que j’ai reçue… J’ai la tête qui commence à tourner, un effet de l’alcool qu’il m’a fait boire en quantité excessive… Que veut-t’il dire ?
Je n’ose bouger, en attendant son retour : il est parti dans son autre pièce, j’ai entendu quelques bruits d’ablutions, les vibrations des canalisations de la salle d’eau… Je ne peux me libérer tout seul : c’est lui qui a les clefs des menottes, de la cage de chasteté… et c’est lui qui a la valise avec tous mes vêtements… Que faire ?

Tandis que je me morfonds, Farid revient dans la pièce. Il a revêtu une djellaba, et je me sens humilié d’être maintenant, moi, encore nu, devant lui, habillé…
Et, comme si je n’étais pas là, il prend son téléphone portable, et passe un appel. Il parle en arabe, je ne comprends rien, mais la conversation semble plaisante, il rit à plusieurs reprises…
Puis il cesse de parler, pose son téléphone, et me regarde… Il rit !... Mon humiliation, et la séance de soumission à laquelle il vient de me contraindre l’ont mis de bonne humeur !...
« Il n’est que six heures du soir, tu m’avais dit être disponible pour la soirée… on a encore du temps !... Attends, je vais te rendre présentable… »
Il repasse dans le sas, revient avec une grande serviette de toilette, et entreprend de m’essuyer le corps, la raie des fesses, les jambes de tout ce qui les souillait. Il passe un moment à nettoyer, sans enlever la cage de chasteté, mon petit sexe, bien gonflé, du fait de l’action des anneaux de cockring, même s’il n’a pu entrer en érection… mais qui a quand même laissé passer du liquide préséminal, qui a mouillé  la partie de la cage qui opprime mon gland, et forme un filet qui pend sous mon ventre…

« J’ai été vendeur, pendant deux ans, dans un sex-shop du quartier… je connais bien tous les jouets que l’on y vend, et je connais bien, aussi, les envies des Français qui fantasment sur la soumission, comme toi… Allez, détend toi, tu peux resserrer un peu tes jambes, et… cambre toi bien, j’aime ça »…
« Tu t’es bien comporté, je vois que le whisky, que tu aimes, t’a desinhibé, on m’avait dit que c’était un effet de cet alcool. Je vais donc t’en redonner un verre, et tu le boiras en entier, je vais te le faire avaler gorgée par gorgée… »
Et il a bien fallu que je m’exécute… Je devais avoir avalé la moitié de la bouteille depuis mon arrivée !...

Trois coups brefs sont frappés à la porte extérieure, suivis de trois coups longs…
« T’inquiète pas, c’est Ghazi, c’est un copain, c’est avec lui que j’étais au téléphone, tout à l’heure. Il est arrivé d’Algérie il y a deux mois, il est de la même région que celle où je suis né. Il loge dans un foyer près de La Chapelle, il est très seul, depuis son arrivée ; je l’ai invité… »
Et Farid fait entrer dans le salon un homme d’un peu plus d’un mètre soixante quinze, petite barbe, moustache, chevelure drue, poivre et sel. Entre quarante et cinquante ans, je pense. Elégant, veste en denim et jean assorti, grand ceinturon, tee-shirt graphique gris « tour eiffel »… L’air sévère…
Je me sens très humilié d’être ainsi mis en présence d’un inconnu, exposé, nu et attaché, à sa vue…
D’autant qu’il s’approche de moi, me regarde, m’examine en tournant tout autour de la table sur laquelle je suis installé, touche mes fesses encore rosies, les caresses, passe une main sur mon ventre, vient tâter mes mamelons, descend jusqu’à mon pubis, et me dit :
« Oh, tu es tout lisse, sans poils, comme une vraie femme… Farid est un vrai frère de m’avoir invité… »
Puis tous deux entament un dialogue de quelques minutes en arabe…
« Voilà ce que nous avons décidé, »  me dit Farid. « Tu voulais, aujourd’hui, être soumis et bien dominé… Je t’ai déjà soumis tout à l’heure, et maintenant, nous allons, tous les deux ensemble, bien te dominer, comme tu le souhaites. Pour le moment, tu restes comme tu es là, et tu vas obéir aussi à ce que t’imposera Ghazi… Il n’a pas eu de relation depuis qu’il a quitté sa femme, il y a trois mois, et… tu lui plais bien !... »
Ghazi s’est déshabillé, et vient se mettre devant mon visage. Il est souriant, ce qui atténue un peu la sévérité de ses traits, et son sexe, en train de quitter son état de repos, est déjà d’un volume imposant.
« Tu as la tête un peu trop haute, sur cette table, tu vas te mettre les bras pliés, appuyé sur les avants bras, et tu cas bien cambrer tes fesses ...

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