Cela fait quand même bien longtemps que je fantasme sur l’envie d’être soumis à un partenaire viril, actif et dominateur, même un peu macho…
Je ne suis plus un jeune homme, et n’ai pas un physique particulièrement efféminé : barbu, chauve, et un peu bedonnant… Rien d’un Apollon, encore moins d’un Antinoüs !...
Seule solution : chercher, sur internet, celui qui voudra bien m’aider à transformer cette obsession en un jeu réel…
Ca y est, Sur ce site, un homme d’une cinquantaine d’années, un peu plus jeune que moi, partage quelques dialogues, et manifeste son intérêt pour mieux nous connaître, voire plus…
La photographie ne montre pas son visage, mais son corps bien proportionné, musclé, une pilosité appréciable, et un sexe… impressionnant !... Il se qualifie d’ailleurs lui-même de très bien monté… Actif, il ne cherche que des partenaires de plus de cinquante ans, et souhaite des plans directs, éventuellement renouvelables, pour lesquels il peut recevoir chez lui, à Paris, dans le 10ème° arrondissement, où il a un petit appartement « confortable », me dit-il. Il a eu une formation universitaire, il parle un français impeccable…
Il indique qu’il est algérien. Il bénéficie donc, à mes yeux, de la réputation qu’ont, dans le domaine des ébats sexuels, les maghrébins…
Il me signale avoir quelques petites exigences, pour les soumis : si la moustache et la barbe ne le gênent pas, il suffit qu’elles soient bien taillées et pas hirsutes, il tient à ce que, comme le font les femmes lors de leur mariage, ils aient le corps entièrement épilé, complètement lisse. Pas de poils sous les aisselles, pas de poils pubiens, un corps, dénué de toute pilosité…
Bon, cela paraît raisonnable, et je me sens prêt à souscrire à son souhait, d’autant qu’avoir la peau qui a retrouvé ainsi sa « nature primordiale », sa « fitra », m’explique t’il, celle que l’enfant a à sa naissance, cela doit accentuer les sensations qui peuvent lui être procurées à tout contact…
Je lui indique que je n’ai pas d’expérience en ce domaine, et que si mes envies de soumission sont fortes, je crains un peu de les voir diminuer, quand il s’agira de les voir devenir réalité, et que c’est pour cela que j’aimerais, le moment venu, être mis entièrement nu, les mains attachées ou menottées, voire un peu entravé, pour ne pas pouvoir revenir en arrière sur ce qui aurait été convenu entre nous.
Il me dit que cela lui plait bien, et même l’excite, qu’il suffira que je vienne avec une valisette dans laquelle il me fera mettre tous mes vêtements dès que j’arriverai chez lui, et qu’il ne me rendra qu’au moment de mon départ. Pour le reste, il a des menottes et quelques cordes qui pourront faire l’affaire !... Et que je ne dois pas m’inquiéter : il ne me sera pas possible, une fois à sa disposition, de reculer ni de refuser les jeux que nous aurions évoqués…
Aujourd’hui, je me suis préparé, ce devrait être un grand jour, j’ai rendez-vous avec Farid : je me suis complètement rasé le corps, j’ai complété cela par une finition à la crème dépilatoire et une bonne douche. J’ai une vraie peau de bébé, et cela me fait une impression bizarre, je me sens déjà comme moins viril…
Un bon lavement, avant de sortir de la salle de bains… Tout prêt, je pense, pour la première rencontre…
Nous devons nous retrouver à la sortie du métro, gare de l’Est. Farid a reçu la photo que je lui ai envoyée, il me reconnaitra et m’abordera…
Quinze heures trente, c’est l’heure… une correspondance un peu plus longue que prévue, j’arrive avec quelques minutes de retard. En haut de l’escalier, mon interlocuteur m’attend déjà, jean et blouson de cuir noir, visage buriné, menton carré, et abondante chevelure argentée… Tout en lui dégage une autorité naturelle de bon augure…
« Viens, me dit-il, j’habite à deux pas d’ici… ». Au 47, à coté d’un restaurant américain de hamburgers au nom un peu curieux, un grand portail, dans un immeuble de style hausmannien… « C’est ici, mon appartement est au sixième, mais il faut monter par l’escalier de service. Je loue deux pièces et une salle d’eau »
En suivant Farid, c’est l’escalade, c’est un peu comme monter au sommet d’un phare, ça n’en finit pas !...
Au bout du couloir du sixième, une porte, nous sommes arrivés.
« C’est ici que tu te mets à poil, que tu mets tes affaires dans ta petite valise, que tu brouilles son code de fermeture et que tu me la donnes ». Je suis un peu surpris, nous avions parlé de faire cela à l’entrée de son logement, mais là, nous sommes dans le couloir commun, il y a d’autres portes… Un peu inquiet de voir une de ces portes s’ouvrir soudainement, ou que quelqu’un ne monte l’escalier, je m’exécute, et me retrouve, entièrement nu, sur le seuil.
« C’est bien, tu es sans aucun poil sur le corps, c’est ce que j’aime… Tu as obéi à ce que je demandais.»
La clef dans la serrure, et Farid me fait entrer, en me donnant une bonne claque sur les fesses qui, tout de suite, met en place son statut de dominant et m’annonce que je vais être dressé et asservi.
La pièce dans laquelle nous pénétrons est, à ma grande surprise, un véritable salon algérien, avec un grand sofa en angle encadrant une table basse posée sur un très loli tapis, et un pouf assorti aux coussins du sofa, d’un pourpre profond.
« Voilà, c’est ici !... Attends, je vais retirer les coussins de dos d’un des canapés, et mettre un grand drap pour en protéger l’assise. Ca y est, c’est fait. Maintenant, tu vas t’y mettre, allongé sur le ventre, la tête vers l’extrémité du canapé, et tu mettras tes mains au-dessus de ta tête, pour que je puisse les menotter, comme nous l’avons convenu. Tu vois, j’ai de vraies menottes, tu ne sauras pas t’en dégager… J’ai d’autre matériel, aussi, tu verras… Et, comme tu m’as dit que toi, tu aimais assez boire de l’alcool, quand tu étais en société, j’ai acheté pour toi une grande bouteille de whisky, que tu seras seul à goûter, moi, je ne bois pas d’alcool. »
« Maintenant, retourne toi, mets toi sur le dos.. Parfait !... Oui, tu as bien le petit sexe que tu m’avais décrit, et j’ai une surprise pour toi, elle devrait te plaire, puisqu’elle va renforcer ta soumission forcée. Je vais y mettre une petite cage de chasteté en acier… Voilà, j’ai posé l’anneau scrotal, ses 4 centimètres et demi de diamètre ne te serrent pas du tout. Et maintenant, je glisse ton petit pénis dans les anneaux de la cage, je pousse la goupille de verrouillage dans l’anneau, je mets en place le petit cadenas… et ça y est, c’est verrouillé ! Je garde la clef avec celle des menottes !... Tu me pourras plus avoir d’érection… Et tes testicules me restent accessibles, si je veux jouer avec…»
« A présent, remets toi sur le ventre, et montre moi tes fesses… »
Farid commence alors à se deshabiller, il ôte son blouson, son jean et son t-shirt. La photo sur le site correspond bien à ce qu’il est, et le visage ne gâte en rien l’ensemble. Mais la photo le montrait en érection, et là, pour le moment, il ne semble pas encore excité par le fait de me voir à sa disposition.
Moi, par contre, je sens l’effet de la cage de chasteté, le petit début d’érection que ressent mon sexe se trouve réfréné par la faible longueur de la cage qui m’a été posée… Une contrainte que je n’avais pas imaginée, mais qui est réelle… et pas vraiment désagréable, pour dire vrai…
Mon partenaire, nu lui aussi cette fois, vaque dans son appartement. N’osant bouger, je le vois installer sur un trépied une caméra vidéo visant le canapé où je me trouve, puis apporter et ouvrir un coffre en matière plastique d’où il sort des boites et flacons qu’il dispose sur la table basse.
Puis il revient près de moi, et m’examine : je suis allongé, nu, sur son canapé, les mains menottées. iIl contemple mes fesses offertes, il sait qu’il a le complet contrôle de la situation. Et tout à coup, je sens sa grande main claquer sur elles. Une fois, deux fois, dix fois, posément espacées…. Cela fait mal, cela brûle… puis bientôt, je ne sens presque plus la brûlure des claques, j’entends juste le bruit qu’elles font…Cinquante !... Farid s’arrête, je le vois se rendre près de la table basse, et en revenir. Une nouvelle claque sur mes fesses, plus dure, celle-là, et portant sur une surface bien plus large : il a été chercher un paddle… Un coup d’œil me permet de voir l’instrument, une sorte de raquette recouverte de cuir, qui tape largement… La douleur cuisante redevient sensible… Des gémissements sortent de ma bouche…Vingt-cinq… Trente !... Ouf, j’ai l’impression que mon cul est à vif, la correction a été sévère… Cela m’apprendra à vouloir être soumis !... Je sens que cela commence à se manifester par ces élancements douloureux, que je ne peux que ressentir, sans rien pouvoir faire pour les atténuer…
« Tu as chaud au cul !... Viens, on va aller dans la salle d’eau », me prévient Farid, qui me prend par le bras et me conduit dans le sas sur lequel donne la porte du salon. De là, il me pousse dans la salle d’eau, assez vaste, équipée d’une grande douche, d’un lavabo et d’un WC.
« Va dans la douche, je reviens, je vais chercher la cam et la clef des menottes ! »
Je ne sais pas pourquoi il filme ce qui se passe, ni pourquoi il a besoin de la clef des menottes ? Peut-être va t’il me libérer, pour que je puisse profiter d’une bonne douche calmante ?...
Le voilà de ret ...
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