Je mets du gel dans ma main, et enduit le trou du cul de la grosse lope, et là tout va très vite, j’ai maintenant quatre doigts dans l’oignon de la grosse soumise, je fais des mouvements d’avant en arrière et des mouvements circulaires, puis avec le flacon, je reverse directement du gel dans la raie du cul de la grosse qui se tortille de plaisir.
Je continue mes mouvements avant et arrière et sans le vouloir, ma main entre complètement dans son gros cul, j’enfonce même maintenant une partie de mon avant-bras dans ce gros derche.
La grosse gémit de plaisir ou de douleur, peut être les deux. Pendant que je la fiste de la main droite, je lui claque son gros cul avec la gauche.
- C’est bon hein pouffiasse, c’est ce que tu voulais ! Tu aimes qu’on t’insulte en te baisant hein grosse lope, truie lubrique, trou à pines, vide couilles, garage à bites, pute, salope.
Dis-le que t’aimes ça connasse. Tu es au paradis avec mon avant-bras dans ton gros cul de pute.
- Oh oui c’est super bon, t’arrêtes pas, chérie continue. Dit-elle
Je prends ma ceinture et lui file des coups qui claquent très fort et font rougir son dos et ses cuissots
Dis bien fort que t’es vraiment une grosse radasse, une grosse pouffiasse, une super salope qui aime la bite.
- Ho ! Oui c’est super bon, je suis une grosse radasse, une grosse pouffiasse, une grosse salope qui aime la bite. Dit-elle
- Mais putain de merde, gueule plus forte que t’es qu’une grosse truie, une vide couille. Lui dis-je en lui claquant le dos, son gros cul et ses cuisses à coup de ceinture.
Et là elle crie aussi fort qu’elle peut qu’elle est une super salope, une vide couille.
Plus elle crie fort, plus je tape fort, alors je retire mon bras de son gros cul qui reste grand ouvert, et lui file des coups de ceinture qui la font vraiment rougir.
La grosse à chaud et transpire, son parfum qui sentait si bon a disparu avec la sueur.
Je passe ma main en dessous pour prendre sa bite, mais je la retire immédiatement d’un coup sec.
- Qu’est-ce que c’est. Demandé-je
- Chéri, tu ne penses quand même pas que ma femme se barre une semaine en vacances sans prendre des précautions, j’ai la bite percée en dessous du frein, et elle m’a posée un petit cadenas comme on le faisait dans le temps pour les esclaves.
Si tu veux la clef, elle est à plus de 6 heures de route. Me dit-elle
- Non j’hallucine. Alors je ne peux pas sucer ta bite avec ça ? Dis-je
- C’est ça, mais en même temps c’est le but. Me répond la grosse esclave
- Donc si je comprends bien tu es soumis à ta femme. Dis-je
- Oui ! Et te plaint pas chéri quand on va en camp naturiste, je peux trainer partout où je veux quand j’ai mon plug métallique dans le cul (ce dernier a une tête de lion et un anneau) donc elle passe une chainette dans l’anneau et dans le cadenas, comme çà il n’y a pas assez de débattement pour le retirer, et elle est sûre que je ne peux pas me faire sucer, ni prendre, moi je peux juste sucer.
Si elle me chope en train de sucer un mec, je dérouille, mais je m’en fous, j’adore ça. Dit la grosse pouffe
Pendant ce temps son cul semble s’être refermé, et je ne peux pas m’empêcher de mettre une capote et de fourrer ma queue dans ce trou qui appelle la bite.
Là je cramponne le gras de sa hanche gauche et avec ma main droite lui tient la tignasse, maintenant je peux la chevauchée et la baiser à la cosaque comme elle aime cette grosse salope.
La grosse lope pousse des Ah ! Ah ! À chaque fois que je m’enfonce complètement dans son fion, je lui défonce sauvagement le cul, elle crie, elle hurle que c’est vraiment trop bon. Ensuite elle hurle qu’elle est une grosse salope qui aime la bite.
- Vas y défonce moi mon gros cul Oui ! Oui ! Oui ! Encore t’arrêtes pas, putain c’est bon.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Oui ! Oui ! Elle est bonne ta grosse queue. Dit-elle
Mais comme moi je suis très long à jouir alors je lui lime longtemps son gros cul , elle est vraiment pas discrète! Elle continue de brailler comme un âne Ah ! Oui ! Oui ! Ramone-moi bien mon gros cul de salope ! Défonces moi bien ! Claques moi le cul bordel, c’est comme ça que je prends mon pieds moi ! Vas-y ! Frappe !
Du coup je lui claque le cul, mais moi je ne connais pas ma force, alors en peu de temps son cul et ses cuisses deviennent rouge écarlate, je suis sûr qu’elle a mal, mais elle continue de crier que c’est bon.
Je passe la surmultipliée comme on dit, j’ai passé mes jambes devant ses cuisses et je suis quasiment comme un jockey au galop, je la lime et lui claque ses cuissots.
La grosse dinde gueule
- Vas y ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Oui Vas-y !Fais la jouir ta grosse salope ! Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! Ah ! A ! Oui ! Oui ! Oui ! Oh ! Ah ! Ah ! Ça y est je jouis Haaaa ! Hoooo !!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii qu’elle gueule, moi de l’entendre jouir et gueuler ainsi m’as mis à l’unisson avec elle car nous jouissons ensemble, et dans un grognement d’ours, je lâche la purée dans la capote, et nous nous écroulons tous les deux sans force, nous sommes vidés, usés tellement ce coït était intense.
Nous restons bien dix minutes allongés l’un à côté de l’autre, puis elle me dit
- Viens sur le lit on sera plus a l’aise. On se lève pour aller dans la chambre mais on s’aperçoit que des fenêtres sont restées ouvertes.
Comme il fait chaud, ma grosse lope me dit attend je vais sortir pousser les volets et c ...
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