Je me souviens de cette fin d’année scolaire comme si c’était hier, avec cette prof d’écologie qui m'a fait fantasmer pendant des mois. Un vrai canon, une bombe blonde avec des seins et un cul à damner un saint, et elle le savait. À 19 ans, insouciant et plein d’envie, je n’en croyais pas mes yeux quand elle m’a proposé de la suivre chez elle après un cours au bord du lac, sous prétexte d’assouvir nos envies réciproques de sexe.

L’excitation montait à chaque virage dans sa 2CV Charleston, mes yeux rivés sur son maillot qui ne cachait pas grand-chose. À peine arrivés chez elle, elle m’a ordonné de libérer ses seins et je n’ai pas hésité une seconde. Je les ai pétris comme un affamé, avant qu’elle ne glisse mon maillot pour avaler mon chibre, le gober comme si c’était son dernier repas. Sa bouche chaude et gourmande m’a fait grimper aux rideaux, mais elle m’a vite prévenu de ne pas éjaculer trop vite, car elle avait d’autres plans pour moi.

Quand elle m’a dit de la baiser, je ne me suis pas fait prier. Missionnaire, j’ai plongé en elle, gobant ses seins comme un gosse affamé, tandis qu’elle me griffait les fesses, me hurlant d’y aller plus fort. L’explosion finale m’a laissé à bout de souffle, et elle en a profité pour me lancer une pique bien sentie : « Les jeunes, ça ne tient pas la route, mon mari me baise pendant une demi-heure. » Touché dans ma fierté, je me suis dit que je devais lui prouver que je pouvais faire mieux.

Alors que je reprenais mon souffle, allongé à côté d’elle, j’ai soudain aperçu une silhouette dans le jardin. « Heu, Madame, votre mari nous espionne… » Ma bite a dégonflé d’un coup, et elle a éclaté de rire : « T’inquiète, il va même nous rejoindre… ça ne te dérange pas, hein ? » Tremblant mais excité, j’ai acquiescé. Et là, son mari est entré dans la chambre, prêt à se joindre à la fête…
Son mari est entré dans la chambre, avec un sourire en coin, comme s’il savait exactement ce qui allait se passer. Je ne savais pas où me mettre, à moitié nu, le drap à peine couvrant mon sexe qui n’avait pas encore retrouvé toute sa vigueur. « Bonjour Thierry… » m’a-t-il dit d’un ton étrangement calme, presque complice. Je l’ai regardé, encore tremblant, incapable de formuler une réponse cohérente.

Virginie, toujours nue, s’est levée pour aller embrasser son mari, les mains posées sur son torse comme si de rien n’était. Ils ont échangé un regard qui en disait long sur leurs habitudes. « Mon chéri, je crois que notre jeune ami a encore beaucoup à apprendre… » a-t-elle murmuré en mordillant son oreille. Il a simplement hoché la tête, ses yeux rivés sur moi, et j’ai senti un frisson me parcourir l’échine.

Son mari s’est approché, et avant que je puisse réagir, il a tiré le drap de mes mains, dévoilant mon sexe qui commençait lentement à reprendre de la vigueur. « On va t’apprendre comment faire durer le plaisir, petit… » a-t-il dit en dégageant sa chemise, révélant un torse sculpté et une ceinture que ses doigts ont rapidement dénouée.

Virginie est revenue vers moi, ses mains douces explorant mon corps avec une lenteur calculée, alors que son mari, maintenant nu, se tenait derrière elle, ses yeux noirs de désir rivés sur nous deux. Elle a commencé à me caresser à nouveau, mais cette fois, son mari s’est penché pour m’embrasser, son ...

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